Soros reconnaît sa défaite contre la Russie !
Au lieu de faire faillite et de se disloquer, la Russie reste parfaitement stable et devient par son existence-même un bon exemple de la défense efficace des intérêts nationaux !
George Soros est l’un des rares russophobes éminents capables de reconnaître leurs fautes.
L’oligarque américain, connu pour avoir "cassé" la banque d’Angleterre par le passé, avait pronostiqué la faillite de la Russie en 2017.
Et ce n'est pas arrivé.
Parmi les politiciens et les experts médiatiques pour lesquels les prévisions négatives sur la Russie sont pratiquement une obligation, il est de mise de simplement reporter un peu la date de l'explosion si elle ne s'est pas produite au moment attendu.
Quant à Soros, cet opposant de principe à la Russie met en pratique une vieille règle boursière : si les faits changent, il faut modifier son opinion.
Le problème est que ce financier légendaire et maître des intrigues politiques a visiblement appris ces nouveaux faits sur la Russie dans la stratégie américaine de sécurité nationale — document qui a déjà scandalisé beaucoup de monde — dont les auteurs font de Moscou et Pékin les adversaires principaux de Washington.
Dans une interview accordée au quotidien d'affaires britannique The Financial Times, il a surpris tout le monde en changeant sa position sur la Russie.
Qui plus est, il n'a évoqué Moscou que pour souligner l'état très grave de l'Union européenne.
George Soros a gardé sa manière traditionnellement agressive de parler et annoncé que l'UE était une "organisation au bord de la dissolution" et que la Russie était, selon lui, une «puissance renaissante fondée sur le nationalisme".
Curieusement, cette interview ne souligne pas que la Russie "passera du mauvais au pire".
Soros se présente comme un "combattant pour la liberté offensé" qui fait face à l'opposition personnelle de Poutine.
Cela pourrait vous surprendre, mais ces propos ne font que renforcer l'image positive du président russe car beaucoup de lecteurs occidentaux sont en mesure de suivre une chaîne logique simple : George Soros, acteur politique très influent qui se permet de faire des leçons à Angela Merkel, se plaint de l'efficacité de l'attaque internationale lancée par Vladimir Poutine contre son organisation.
Conclusion : le président Russe est beaucoup plus fort, libre et influent que les principaux politiciens de l'UE.
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