Trump l'a fait se produire - Il sort le 6 février dimanche, 28 janvier 2018 1:01 Source: Avant ses nouvelles Dans un mouvement qui a été très en retard. Nous recevons maintenant des informations selon lesquelles le gouvernement britannique ouvre la voie pour permettre à Julian Assange de quitter l'ambassade équatorienne le 6 février.
Sans crainte d'être arrêté, un tribunal britannique est désormais appelé à se prononcer sur la levée du mandat d'arrêt britannique. Il est intéressant de noter que tout cela se produit après que le président Donald Trump a rencontré cette semaine le Premier ministre britannique Theresa May.
L'avocat d'Assange, Mark Summers, a confirmé à la Westminster Magistrates 'Court que le retrait du mandat d'arrêt européen signifierait que le mandat d'arrêt britannique ne s'applique plus. Il devrait donc être libéré sans aucune menace d'arrestation de la part des autorités britanniques. Reuters a également confirmé que l'argument de Summers à la Westminster Magistrates 'Court était une formalité. Que le but du mandat d'arrêt britannique n'a été autorisé qu'en raison des poursuites judiciaires qui ont eu lieu dans l'affaire de viol suédoise d'Assange. En d'autres termes, les accusations britanniques n'ont été portées que pour s'assurer qu'Assange ferait face à ses accusations dans Sweeden.
Assange s'est réfugié à l'ambassade d'Équateur dans le quartier de Knightsbridge à Londres en 2012 pour éviter l'extradition vers la Suède en se retirant sous caution et en cherchant refuge à l'ambassade. Mais dans un renversement de situation, les Equatoriens envisagent maintenant d'accorder à Assange une immunité diplomatique complète, ce qui le rendrait intouchable par la loi britannique. Tous les officiels britanniques pourraient faire pour lui le déclarer "Persona non Grata" qui lui donnerait automatiquement un certain temps pour quitter le pays.
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