Pour obtenir le droit de mettre la campagne Trump sur écoute, le FBI de l’Administration Obama s’est adressée à un tribunal secret, la Cour FISC, afin d’obtenir un mandat secret (FISA) autorisant exceptionnellement, en cas de danger pour la sécurité nationale, d’espionner un citoyen américain.
Depuis des mois, les journalistes d’investigation Sara Carter de Circa News, et John Sullivan du Hill, à qui Sean Hannity de Fox news a offert une tribune chaque fois qu’ils avaient des révélations nouvelles à faire, ont enquêté sur ce qu’ils soupçonnaient être un coup monté par les Démocrates pour accuser Trump de collusion avec la Russie, afin de le faire démettre. Ils avaient raison, les dossiers sortent, et ce n’est pas terminé. Le degré de perversion de la gauche américaine dans cette affaire, qui aurait été enterrée si Clinton avait été élue, apparaît enfin aux yeux de ceux qui veulent regarder.
A cet effet, Hillary Clinton et le parti Démocrate ont financé à hauteur de 7 millions de dollars la fabrication d’un faux dossier de collusion, réalisé par la firme Fusion GPS, qui a confié le travail à un ancien espion britannique du Mi6, Christopher Steele, spécialisé dans les rapports avec la Russie.
James Comey, l’ancien directeur du FBI qui a été renvoyé par le directeur du département de la Justice pour ses irrégularités, a déclaré devant une commission d’enquête du Sénat que le dossier était un ramassis de « ragots salaces et non vérifiés ». Le New York Times, le Washington Post, farouchement engagés dans une guerre médiatique contre Trump, ont également refusé de publier le dossier, tellement il leur est apparu sentir le souffre et la fabrication.
Sous la pression des trois journalistes cités plus haut, des commissions d’enquête du Sénat ont réclamé des documents au FBI et au département de la Justice, lesquels ont tenté de résister, jusqu’à ce que le directeur de la commission, Devin Nunès, les menace de mesures judiciaires.
A la lumière des documents que la commission d’enquête a réunis, un mémo de quatre pages a été préparé, qui récapitule ce que les enquêteurs ont découvert.
Puis un bras de fer s’est engagé pour tenter d’en interdire la publication. Notons que pour une rare fois, le mémo n’a filtré à personne, à aucun média, à aucun officiel non autorisé.
- Les membres Républicains du Congrès ont tous pris connaissance du mémo il y a 8 jours. Les Démocrates ont refusé de le lire.
- Il y a 4 jours, le FBI a fait pression pour que le mémo ne soit pas publié, au prétexte qu’il contenait des informations qui mettent en danger la sécurité nationale. Problème, le FBI faisait cette déclaration alors qu’aucun dirigeant du FBI n’avait connaissance de son contenu.
- Des élus Démocrates ont déclaré cette semaine que le mémo était un tissu de mensonges. Problème, eux non plus ne l’ont pas eu entre les mains : il est publié ici pour la première fois, simultanément avec les quelques médias qui ont pour ambition d’informer les citoyens.
- La suite sur: https://www.dreuz.info/2018/02/02/le-memo-explosif-obamagate-ou-comment-clinton-obama-et-le-parti-democrate-ont-mis-lequipe-trump-sur-ecoute/
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