Preuve d’une catastrophe cosmique il y a 12 800 ans : La Terre est entrée en collision avec les fragments d’une comète

Preuve d’une catastrophe cosmique il y a 12 800 ans : La Terre est entrée en collision avec les fragments d’une comète


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ASR 2 février 2018
Il semblerait que tous les mythes anciens sur une grande inondation sont vrais après tout.


Il y a environ 12 800 ans, la Terre est sortie d’une autre ère glaciaire. Les choses se réchauffaient et les glaciers s’étaient retirés. Soudain, le ciel s’illuminait de boules de feu et des ondes de choc suivaient.

Les scientifiques ont trouvé la preuve qu’une catastrophe cosmique a changé le climat de notre planète il y a 12 800 ans.

Des incendies se sont précipités dans le paysage et la poussière a obstrué le ciel, coupant la lumière du soleil. Au fur et à mesure que le climat se refroidissait rapidement, les plantes mouraient, les sources de nourriture disparaissaient et les glaciers reprenaient de l’altitude. Les courants océaniques se sont décalés, faisant passer le climat dans un état plus froid, presque “glaciaire”, qui a duré un millier d’années de plus.


Finalement, le climat a recommencé à se réchauffer, et les gens sont réapparus dans un monde où il y avait moins de gros animaux et une culture humaine en Amérique du Nord qui a laissé derrière eux des types de pointes complètement différents.

Les scientifiques de l’Université du Kansas ont publié les résultats de leur étude massive dans Journal of Geology. La recherche est basée sur des mesures effectuées sur plus de 170 sites différents à travers le monde.

Selon les chercheurs, des données suggèrent que le désastre a été déclenché lorsque la Terre est entrée en collision avec les fragments d’une comète en train de se désintégrer qui avait un diamètre d’environ 100 kilomètres, dont les restes persistent encore aujourd’hui dans notre système solaire.

Selon Adrian Melott, professeur émérite de physique et d’astronomie à la KU, “l’hypothèse est qu’une grande comète s’est fragmentée et que les morceaux ont eu un impact sur la Terre, causant cette catastrophe”.


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“Un certain nombre de signatures chimiques différentes (dioxyde de carbone, nitrate, ammoniac et autres) semblent toutes indiquer qu’un étonnant 10% de la surface terrestre de la Terre, soit environ 10 millions de kilomètres carrés, a été consumé par les incendies.”


Selon Melott, l’analyse du pollen suggère que les forêts de pins ont probablement été brûlées pour être remplacées par le peuplier, une espèce qui colonise les zones déboisées.


En effet, les auteurs affirment que l’impact cosmique aurait pu déclencher l’épisode du Dryas récent, la combustion de la biomasse, l’extinction tardive du Pléistocène d’espèces plus grandes et “les changements culturels humains et le déclin de la population”.


“Les calculs suggèrent que l’impact aurait appauvri la couche d’ozone, causant une augmentation du cancer de la peau et d’autres effets négatifs sur la santé”, a dit Melott. “L’hypothèse de l’impact est toujours une hypothèse, mais cette étude fournit une quantité massive de preuves qui, selon nous, ne peut s’expliquer que par un impact cosmique majeur.”


Source : Ancient Pages





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