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jeudi 22 mars 2018

HÔPITAUX OU MOUROIR?

HÔPITAUX OU MOUROIR? 


Nous ne pouvons plus mourir de notre belle mort dans notre lit, comme nous ne pouvons plus accoucher chez nous. Pris en otage par le système.

"Nous avons une augmentation d'activité". Oui puisque la Cabale a tout fait pour créer les maladies.
Saturation des urgences :  Mme Buzyn ne voit pas que les gens meurent en salle d’attente

Quelle hypocrisie, j'ai accouché il y a 35 ans de mes jumeaux dans un couloir sale. Ma mère, morte à cause d'un médicament en 2003 (Le cordarone toujours en vente), déjà très affaiblie a été placée (sur son lit d'hôpital avec perfusion et matériel respiratoire), dans le sas où arrivent les pompiers, chaussures souillées avec les nouveaux arrivant, en plein froid, c'était l'hiver à Calmette, un grand hôpital à Lille qui voit tant de décès qu'on pourrait éviter. Ils l'ont par la suite maintenue en réanimation pendant 2 mois pour faire des expériences sur elle avant que je menace le chef de service. Et là ils ont compris que j'étais prête à toutes les extrémités.
Des histoire de scandales dans le milieu hospitalier, j'en connais! Et nous allons y mettre fin.

Pourquoi ne dit-on jamais que des gens qui se vident de leur sang n'ont pas de priorité par rapport à une masse de personne, dont beaucoup d'étrangers, qui vont aux urgences avec leurs enfants au moindre rhume ou mal de ventre parce que c'est gratuit. Enfin, nous payons, Nous? Peur de se faire traiter de racisme?

Urgences : le dispositif "hôpital sous tension" en vigueur dans près de 100 établissements. Et ils en ferment!
À vingt ans, Julie est opérée d'une appendicite aiguë. Quelques mois plus tard, elle apprend qu'elle risque d'être stérile. Nicolas est admis à l'hôpital pour une crise pancréatique. II en ressort paralysé du bras gauche. Une fillette de dix ans est opérée des dents de lait. Le surlendemain, elle meurt des suites de l'opération. Véronique décide de se faire faire un lifting. Elle restera défigurée à vie.
Les cas de ce genre sont nombreux. Trop nombreux. Diagnostics erronés, complications imprévisibles, décès inexplicables : chaque jour les scandales éclatent. Des erreurs commises par des médecins sur des patients qui, à force d'être patients, sont devenus des victimes. Mais au dialogue et à la transparence, les hôpitaux préfèrent la loi du silence.
Après le succès de Assurés, si vous saviez ! maître Jehanne Collard, avocate spécialisée dans la défense des victimes et Jean-François Lacan, journaliste et auteur de La République bananière, dénoncent les excès et les bavures du corps médical. Ce voyage dans les coulisses des milieux hospitaliers nous révèle ce que parfois il serait plus confortable d'ignorer. Mais il nous informe aussi sur un droit fondamental : se défendre.

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