TÉTANOS LE MIRAGE DE LA VACCINATION.
A VOIR IMPÉRATIVEMENT.
Le livre "Tétanos : le mirage de la vaccination" 1998
Qui n’a pas tremblé devant le spectre du tétanos après une blessure, une piqûre de rosier, ou une brûlure ?
Les autorités médicales, depuis qu’il existe un vaccin, ont tellement martelé la peur dans nos esprits en dressant un tableau très noir de la maladie et en nous persuadant que seule la vaccination était salvatrice, que bien peu d’entre nous prennent le temps de réfléchir et de considérer avec bon sens la réalité des faits.
Quels sont les faits ?
Voici trois points importants : Le tétanos est une maladie non contagieuse. Un individu ne peut pas contaminer son voisin, il ne peut pas y avoir d’épidémies. Ceci doit nous interpeller.
Pourquoi vacciner une population entière massivement alors que la maladie ne représente pas un danger en santé publique ?
Le tétanos est une maladie non immunisante, on ne trouve pas d’anticorps antitétaniques chez un individu guéri du tétanos. Ceci doit nous interpeller.
Comment le vaccin peut-il immuniser si la maladie elle même ne le peut pas ? Le tétanos est une maladie rare, c’est dans cette catégorie que l’OMS le classe. Elle ne touche que des personnes âgées ; les enfants ne sont pas atteints dans les pays industrialisés. Ceci doit nous interpeller.
Pourquoi vacciner tous les enfants dès le bas âge contre une maladie qui ne les menace pas ?
Un peu d’immunologie pour expliquer ces faits. Le bacille du tétanos ou bacille de Nicolaïer se trouve dans le tractus intestinal de nombreux animaux qui l’évacuent dans leurs déjections. Il se retrouve donc dans la terre où il prend la forme d’une spore afin de résister longtemps dans le sol. On sait que ce bacille doit se trouver dans une atmosphère en totale anaérobie, c’est-à-dire privée d’oxygène, pour qu’il puisse germer et devenir un Clostridium tetanii, le germe responsable de la maladie. C’est un ANAEROBIE STRICT : en présence d’une molécule d’oxygène il meurt. Attention : ce n’est pas le bacille lui-même qui est dangereux pour l’homme, mais la toxine qu’il diffuse s’il se trouve dans une zone en anaérobie, par exemple une blessure contuse avec des chairs nécrosées, non vascularisées et anfractueuses où précisément l’oxygène ne circule pas étant donné l’absence de sang et de lymphe. Cette toxine, cantonnée dans la zone anaérobie, va pouvoir rejoindre les terminaisons nerveuses qui se trouvent dans la plaie et remonter vers le système nerveux central à l’abri de la circulation sanguine, et c’est là qu’elle va pouvoir faire des dégâts au niveau des synapses neuronales en bloquant l’ordre de décontraction des muscles. Sans entrer dans les détails techniques des mécanismes mis en jeu lors de la remontée de la toxine dans le système nerveux, une chose saute aux yeux : dans le trajet effectué par la toxine tétanique, il n’y a aucune présence d’anticorps éventuels puisque ceux-ci ne se trouvent que dans le sang et la lymphe. Il n’y a donc aucune rencontre entre la toxine et le système immunitaire dans le déroulement naturel de la maladie.
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