lundi 2 avril 2018

L'alliance Poutine-Trump prend un élan incroyable. "L'État profond" a la trouille


L'alliance Poutine-Trump prend un élan incroyable. "L'État profond" a la trouille
Un nouveau rapport stupéfiant du Conseil de sécurité circulant au Kremlin aujourd'hui 30/3 détaillant sa réunion d'hier révèle que le président Poutine a "accepté le consensus" d'expulser 59 diplomates de plus de 23 pays différents en plus des 150 expulsés jeudi à cause de l’empoisonnement par la GB d’un agent double, mais dont la conséquence la plus inattendue est "l'élan incroyable" donné aux relations américano-russes après que le président Donald Trump ait déclaré que Moscou pourrait immédiatement remplacer les 60 diplomates russes qu'il venait d'expulser des États-Unis.

Et cela vient après que de nouvelles preuves montrent la mort prochaine du complot du gouvernement de l'ombre américain "Deep State" pour la domination mondiale.
En effet, le 20 mars ; les présidents Poutine et Trump ont eu une longue conversation sur le fait que les organes de propagande de "l'Etat profond" aux États-Unis ont menti en prétendant qu'il y aurait en ce moment une course aux armements entre les États-Unis et la Russie. Mais la réalité est que les deux présidents préparent les mécanismes nécessaires pour faire échouer la vision unipolaire et démoniaque des mondialistes pour notre monde contrôlé par la puissance militaire américaine, afin de passer à une vision multipolaire basée sur les marchés libres et le commerce ouvert, et dont "grand marché" entre Poutine et Trump conduira à la dénucléarisation de la Corée du Nord et à la fin de la guerre inutile en Syrie.
Sachant que les "vents de l'histoire" "remplissent les voiles" de cette nouvelle alliance multipolaire Poutine-Trump, Richard Haass qui est l'un des plus fervents mondialistes du "Deep State", et qui est le président du Council on Foreign Relations (CFR) , a sonné le glas de ce complot mondialiste [4] démoniaque dans son article intitulé «Ordre mondial libéral, RIP» [1] - et dans lequel il a déclaré:
Le libéralisme est en recul. Les démocraties ressentent les effets du populisme croissant. Les partis politiques extrêmes ont gagné du terrain en Europe. Le vote au Royaume-Uni en faveur de quitter l'UE a attesté de la perte de l'influence de l'élite.
Même les États-Unis connaissent des attaques sans précédent de la part de leur propre président sur les médias, les tribunaux et les institutions chargées de l'application de la loi. Les systèmes autoritaires, y compris la Chine, la Russie et la Turquie, sont devenus plus lourds. Des pays comme la Hongrie et la Pologne ne semblent pas intéressés par le sort de leurs jeunes démocraties.
Nous assistons à l'émergence d'ordres régionaux. Les tentatives de construction d’ensembles globaux échouent.
Or, ces "ensembles globaux" sont des projets de Constructivisme social sont imposés aux peuples par des bureaucraties gouvernementales massives - forçant ainsi des sociétés entières à accepter moralement des politiques corrompues et dégénérées, comme celles imposées par Bruxelles aux peuples européens.
Pour les pays qui choisissent de permettre à leurs citoyens de choisir eux-mêmes les règles sociétales qu'ils veulent respecter, ces mondialistes démoniaques les ont longtemps considérés comme «autoritaires» et «extrêmes», comme la Russie [2] et Poutine est détesté [3].
Dans ce "grand marché" conclu entre Poutine et Trump, le problème le plus important est la dénucléarisation de la Corée du Nord. Poutine a accepté de "suspendre" le projet russe de "pipeline pour la paix" qui devait fournir aux deux Corées (Nord et Sud) un approvisionnement illimité de gaz naturel. En contre partie, Trump a accepté de retirer toutes les forces militaires américaines de Syrie afin que cette guerre inutile puisse être rapidement terminée.
Ainsi, Trump vient de geler plus de 200 millions de dollars qui étaient destinés aux militaires et aux agents du "Deep State" qui voulaient construire illégalement une nouvelle base en Syrie. En outre, il a été révélé que le plan directeur du Deep State américain en Syrie consiste à inonder les terroristes kurdes et islamistes de nouvelles armes lourdes, afin de saigner la Syrie, car l’armée américaine et ses sicaires ont été incapables d’infliger une défaite militaire sur le terrain à l’Armée Arabe Syrienne.
La guerre de "Deep State" en Syrie est devenue si chaotique et dangereuse que des soldats américains et britanniques ont été tués hier par une explosion dans la ville de Manbij, au nord de la Syrie. En réaction, le président français Emmanuel(le) Macron a décidé d’envoyer des forces spéciales en Syrie, qui seront rejointes par de nouvelles troupes américaines, sachant que leur principal ennemi est leur propre allié de l'OTAN, la Turquie qui vient de promettre de prendre la ville de Manbij et d'attaquer toutes les forces françaises ou autres sur leur chemin.
Rejoignant cette guerre sans précédent entre alliés de l'OTAN qui s'entretuent, la population arabe syrienne vient de lancer un soulèvement contre les unités contrôlées par les États-Unis dans la banlieue de Raqqa en Syrie, que les Américains ont transformé en un «enfer catastrophique». Ce qui a amené le président Trump à réitérer son avertissement du 23 février à «l'état profond» pour «se débarrasser de Daech et rentrer à la maison» en déclarant plus fermement cette semaine: «Nous sortirons de Syrie très bientôt. Laissez les autres s'occuper de ça maintenant. Très bientôt - très bientôt, nous partons. "
Hannibal GENSERIC
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