BLACK BLOCS - CENTRALIEN, FILS DE CHERCHEUR AU CNRS :
LES PROFILS DES "BLACK BLOCS" INTERPELLÉS LE 1ER-MAI.
Ces enfants de nantis qui disent "il faut qu'il y ait des pauvres pour qu'il y ait des riches" ne veulent pas que le peuple reprenne le pouvoir et que la police se range du côté du peuple les fait enrager. Facile pour l'état voyou de les utiliser!
De jeunes riches qui jouent aux Robinson, aux justiciers....
Un tiers des "black blocs" interpellés sont des femmes ou des jeunes vingtenaires. Abribus saccagés, voitures brûlées, panneaux publicitaires et vitres de restaurants brisées : le traditionnel défilé du 1er-Mai avait été marqué par de nombreux heurts dans la capitale, attribués par les autorités à des militants de l’ultragauche.
Selon la préfecture de police, près de "1.200 black blocs" avaient jeté des projectiles sur les forces de l’ordre et causé des dégradations. 102 personnes avaient été placées en garde à vue mardi suite à ces violences.
Si la plupart ont été libérés le lendemain, sept suspects vont être présentés ce vendredi à un juge d’instruction en vue d’une éventuelle mise en examen. Les autres sont jugés depuis jeudi suite à leurs gardes à vue. La justice franc-maçonne sera compréhensive.
Un "casseur" au salaire mensuel de 4.200 euros
Au fil des gardes à vue et des audiences de comparution immédiate, les différents profils des "black blocs" interpellés se précisent. Et c’est pour le moins surprenant : un tiers des personnes placées en garde à vue mardi sont des femmes et des jeunes nés entre 1990 et 2000. Cinq sont même mineurs.
On retrouve également cinq étrangers, d’après une source judiciaire : un Allemand, un Belge, un Suisse, un Colombien et un Syrien. Parmi les fauteurs de trouble présumés jugés jeudi se trouve un diplômé de la prestigieuse École centrale, révèle franceinfo. Consultant, il touche un salaire mensuel de 4.200 euros et a un casier judiciaire vierge.
Les deux prévenus qui comparaissent à ses côtés ont donné une fausse identité aux policiers, "dans la panique de la garde à vue", rapporte le site d’information. Le jeune homme est le fils d’un chercheur au CNRS ; son acolyte, la fille d’un grand directeur financier. En attendant l’audience, renvoyée au 30 mai, tous deux resteront en détention provisoire.
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