samedi 19 janvier 2019

L'énergie Tachyon : de quoi s'agit-il ?

L'énergie Tachyon : de quoi s'agit-il ?


L’espace est certainement rempli par un champ d’énergie dont la concentration est extrêmement élevée.

Dans son discours d’ouverture du congrès de Hanovre, en 1980, le Pr. Eberhard Hamer dit que des scientifiques Japonais, Américains et Européens estiment sa tension à plus de 800 millions de volts par cm3. Ce champ n’appartient pas au spectre des ondes électromagnétiques, on le nomme champ de tachyon ou mer de neutrinos.



Il n’y a probablement qu’une petite partie des tachyons qui voyagent à une vitesse supérieure à celle de la lumière. La majorité d’entre eux reste relativement stationnaire, on les appelle bradyons. En raison de leur comportement oscillatoire (tremblotement comme dit Seike), ils ont une énergie énorme. Toute matière baigne dans un champ d’énergie extrêmement dense que nous ne pouvons percevoir. Voilà qui peut expliquer les résultats qui se produisent dans les expériences de photos Kirlian.

La photo Kirlian permet d’obtenir une image sur plaque sensible de toute matière biologique vivante, selon l'exemple suivant. On expose en général pendant huit heures une feuille fraîchement cueillie. Si l’on coupe un petit morceau de feuille avant de prendre la photo, l’image de la feuille demeure complète, partie manquante comprise. L’espace doit donc posséder des caractéristiques qui lui permettent de retenir l’impression de la matière qui y était précédemment contenue (au moins pendant plusieurs heures). C’est le concept de champ de bradyons au repos, mais doté d’une importante énergie qui peut expliquer ce phénomène Kirlian.

L’accélération gravitationnelle peut être expliquée par des tachyons s’entrecroisant dans l’espace. L’effet de bouclier produit par la proximité d’une masse a pour résultat l’accélération d’une seconde masse vers une précédente, et vice versa.



L'énergie du Point Zéro : de quoi s'agit-il ?


L'énergie du point zéro : ou plutôt les champs du point zéro respectant les invariants de Lorentz.
Ce sont des champs "résiduels" d'énergie, fluctuant autour d'une valeur moyenne nulle (même au zéro absolu) et présents dans tout espace, même vide de matière ou de rayonnement. Ils forment ce que certains appellent des "potentiels scalaires" dont le niveau d'énergie a comme valeur zéro (par défaut); ce niveau peut cependant énormément varier en positif ou en négatif .

Ils ont été initialement "découverts" suite aux hypothèses de base de la théorie quantique, théorie qui implique obligatoirement leur existence.

Cette énergie est à l'origine de phénomènes bien réels et mesurables, tels que les forces de Van Der Waals, l'effet Lamb, l'effet Casimir, ainsi que le phénomène de sonoluminescence.
Certains auteurs ont essayé de chiffrer la densité d'énergie volumique de ces champs; tenant compte des contraintes imposées par la théorie, ils arrivent à des densités proprement astronomiques : de l'ordre de 1092joules/m3 !

<je traduis : ce qui correspond à des milliards de milliards … (etc., ça ne tient pas dans cette page) de fois l'énergie volumique du gaz domestique qui alimente la chaudière de votre appartement>


Transformation de l'énergie tachyon


Selon les connaissances actuelles, il semble que l'on puisse transformer l’énergie tachyon en d’autres formes d’énergie; voici diverses voies :

1. Le champ de tachyon qui détermine la vitesse de la lumière et l’accélération gravitationnelle est capable de traverser n’importe quelle masse, mais cède à celle-ci par l’effet de freinage, une partie de son énergie. Par exemple, en traversant la Terre, le champ de tachyon perdrait à peu près 4 % de son énergie, ce qui entraînerait un échauffement de la masse terrestre (géothermie).

3. Des variations de tension extrêmement rapides arracheraient de l’énergie au champ de tachyons. Un moteur se base sur ce principe : celui de Gray. (voir aussi Kromrey)

4. La marge qui sépare les ondes électromagnétiques des champs de tachyons semble réduite par les ondes stationnaires et certains types de modulations. C’est sur ce principe que Nikola Tesla a fait ses recherches, il y a plus de 100 ans.  Récemment son principe a été développé sous forme de canon Tesla, où les ondes électromagnétiques prennent la forme de faisceau laser, captant une énergie supplémentaire provenant du champ de tachyons. En 1889 Tesla avait dirigé son canon sur une plaque éloignée, allumant plus de lampes que ne l’aurait fait l’énergie entrant dans ce canon.

5. En culbutant brutalement le plan d’un système giratoire, il est possible d’extraire de l’énergie du champ de tachyons. L’accélération qui en résulte conduirait soit à des effets antigravitationnels, soit à l’obtention d'un courant électrique, ou bien aux deux à la fois. Ces systèmes sont connus sous le nom de disque de Faraday (un aimant en rotation) et de "pivot " de Laithwaite (gyroscope mécanique tournant à la périphérie d’un gyroscope central). (Voir N-Machine de De Palma et le disque flottant de l’anglais Searl).

8. Il existe une sorte de conversion d’énergie tachyon en chaleur qui affecte particulièrement les organismes biologiques, y compris ceux des humains. C’est le cas des espaces entourés de membranes conductrices. (Voir W. Reich et F. A. Popp, biophysicien allemand et le "Condensateur humain" du Dr Nieper).

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