USA. ATTAQUE CONTRE LE SYSTÈME D’ALERTE D’URGENCE DU 911
APRÈS QU’UN MESSAGE INQUIÉTANT DE TRUMP : «NOUS ARRIVONS»,
ANNONCE LA FIN DU GÉANT DES TÉLÉCOMS DE «L’ÉTAT SECRET» : CENTURYLINK.
Par : Sorcha Faal le 29 décembre 2018
Un nouveau rapport fascinant du Service de Renseignement Extérieur (SVR) circulant aujourd’hui au Kremlin affirme que de grandes parties du Système d’alerte d’urgence 911 des États-Unis ont été mises hors service au cours des dernières 24 heures
un système géré par le géant Américain des télécommunications CenturyLink, dont le Président et Directeur général, Jeffrey Storey, que l’ancien Président Barack Obama a placé à la tête du crucial National Security Telecommunications Advisory Committee (NSTAC) (Comité de conseillers aux Télécommunications de la Sécurité Nationale), quelques semaines à peine avant que le Président Donald Trump ne prenne le pouvoir
et contre la soudaine attaque duquel Trump avait été averti par la redoutable société privée de renseignement et de mercenaires Blackwater, qui le 26 décembre a payé une pleine page de publicité pour prévenir agressivement «l’État Secret» que : «Nous arrivons!»
La redoutée société privée militaire Blackwater s’offre une pleine page de publicité dans Recoil Magazine pour avertir « l’État Secret » que « Nous arrivons ». Selon ce rapport, bien que la grande majorité des Américains utilisent leur Système d’alerte d’urgence 911 pour appeler la police, les pompiers ou le SAMU dans des situations d’urgence, ils savent moins qu’il fait également partie du Système Public Intégré d’Alerte et de Secours (IPAWS), qui est habituellement connu sous le nom de Système Présidentiel d’Alerte, dont le premier test a été mené en octobre 2018.
La probabilité que le Président Trump soit dans l’obligation de recourir au Système d’Alerte Présidentiel, afin de pouvoir communiquer directement avec le peuple Américain en cas d’urgence nationale, note ce rapport, s’est accrue exponentiellement au cours de la dernière semaine en raison de la fermeture du gouvernement – dont la raison est que «l’État Secret» refuse de financer un mur pour protéger la frontière méridionale de l’Amérique, et que Trump menace maintenant de fermer entièrement si ce financement ne lui est pas accordé.
Le risque encouru dans cette lutte de fermeture du gouvernement entre Trump et ses ennemis de «l’État Secret», explique ce rapport, est une bombe à retardement dont le décompte est fixé au 1er février 2019 – à savoir lorsqu’il n’y aura plus d’argent pour financer les bons d’alimentation de plus de 38 millions d’Américains
ce que « l’État Secret » et ses alliés radicaux de la gauche prévoient d’exploiter en envahissant les rues de leur pays pour provoquer des émeutes de la faim
afin de dissimuler le début d’une procédure de destitution de Trump et de son Vice-président Mike Pence et installer à leur place celle qui sera prochainement la présidente du parti majoritaire à la Chambre des Représentants : Nancy Pelosi – et dont Trump a reçu le dernier avertissement du porte-parole de « l’État Secret », le New York Times dans son article intitulé « The Inevitability Of Impeachment » dans lequel ces gauchistes proposent « de conclure un marché qui le sortira de ce mauvais pas ».
La suite sur: http://mediaverite.blogspot.com/2018/12/0101-usa.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire