Jeppy Néron
LA CONTRE-ATTAQUE DE TRUMP DÉCAPITE UN DES DIRIGEANTS LES PLUS INFLUENTS DU PARTI DÉMOCRATE EN AMÉRIQUE ALORS QUE LA COMÉDIE DE MUELLER APPROCHE DE SON TERME.
Un nouveau rapport explosif du Service de Renseignement Extérieur (SVR) circulant au Kremlin aujourd’hui mentionne que la contre-attaque anticipée de longue date contre le «deepstate» par le Président Donald Trump a commencé avec la chute de John Dougherty,
un des plus influents dirigeants du Parti Démocrate en Amérique qui contrôle totalement l’État de Pennsylvanie, un des états-clés dans l’élection présidentielle mais qui a été évincé hier, en compagnie de 7 co-inculpés, par une énorme inculpation de 116 chefs d’inculpation au pénal de 153 pages qui leur a été signifiée hier par le redoutable Premier Adjoint du Procureur Jennifer Williams, qui a occupé la fonction de Chef de la Sécurité Nationale et de l’Unité de Cybercriminalité, et continue d’occuper la fonction de Spécialiste de la Cybercriminalité au Bureau de Sécurité Nationale et de Coordinatrice de Gestion de Crise, la décapitation du leadership local du Parti Démocrate intervenant quelques jours à peine après que le Procureur Général des Etats-Unis Matthew Whitaker ait signalé que la comédie de l’enquête sur la collusion Trump-Russie menée par le Conseiller Spécial Robert Mueller approchait de son terme.
La redoutée et influente Premier Adjoint au Procureur Fédéral Jennifer Williams annonce la chute du dirigeant du Parti Démocrate John «Johnny Doc» Dougherty le 30 janvier 2019
Selon ce rapport, le peuple Américain est virtuellement ignorant du fait que l’évènement isolé ayant eu le plus de conséquences à la suite de l’élection-surprise du Président Trump en 2016 face à Hillary Clinton, a été la visite non annoncée et imprévue qu’a rendu le lendemain de son élection à la Tour Trump le Directeur de la National Security Agency (NSA), l’Amiral Mike Rogers pour laquelle le Président Obama a subi des pressions pour qu’il le limoge, ce qu’il n’a pu faire en raison des immenses pouvoirs secrets dont est investi le Directeur de la NSA, l’Amiral Rogers.
Tout comme le SVR constitue une partie vitale du Système de sécurité de la Russie destiné à protéger l’individu, la société et l’état de menaces extérieures en utilisant les moyens et les ressources que stipule la Loi Fédérale, fait remarquer ce rapport, la surveillance des activités et mouvements des officiels du renseignement des États-Unis est une fonction légalement protégée et concernant le Directeur de la NSA l’Amiral Rogers, montre que son service d’espionnage électronique a joué un rôle crucial dans l’affaire de 2009 appelée Les États-Unis contre Colleen LaRose alias «Jihad Jane» et dont l’instruction a été l’occasion d’une étroite collaboration entre le Directeur de la NSA l’Amiral Rogers et le Chef de l’unité de cybercriminalité de la Sécurité Nationale du Département de la Justice, Jennifer Williams qui a d’ailleurs été le principal Procureur dans cette affaire.
En avril 2018, poursuit ce rapport, les analystes du SVR ont noté que le Procureur Jennifer Williams avait brusquement quitté Washington D.C. pour occuper un poste au Bureau du Procureur du District Est de Pennsylvanie où le Président Trump l’avait nommée comme Premier Adjoint du Procureur Général, une initiative pas si surprenante étant donné que Williams avait été assistante de justice auprès de l’Honorable Anthony J. Scirica, Juge à la Cour d’Appel du Troisième Circuit, et de l’Honorable Anita B. Brody, Juge du District Est de l’état de Pennsylvanie mais dont la véritable raison devint plus obscure lorsqu’à son arrivée elle a intégré un groupe de travail très secret dirigé par la Juge en chef de la Cour d’Appel du Troisième Circuit, Maryanne Barry un des Juges Fédéraux les plus influents d’Amérique, qui se trouve également être la sœur du Président Trump.
La Juge en Chef de la Cour d’Appel du Troisième Circuit, Maryanne Barry dirige un groupe de travail secret pour protéger son frère le Président Donald Trump
Au moment où le Président Trump a envoyé le Premier Adjoint au Procureur Jennifer Williams rejoindre le groupe de travail secret dirigé par sa sœur la Juge Maryanne Barry, précise ce rapport, le Parti Démocrate était en train de se venger de sa défaite en Pennsylvanie lors des élections de 2016 qui avaient permis de battre Hillary Clinton par des machinations visant à truffer la Cour Suprême de Pennsylvanie d’agents du Parti Démocrate, qui ont ensuite redessiné les contours des circonscriptions électorales de l’état pour évincer les élus du Parti Républicain dont le cerveau était le puissant dirigeant syndical John «Johnny Doc» Dougherty, qui est à la tête de «l’organisation politique individuelle la plus efficace» du champ de bataille crucial qu’est l’état de Pennsylvanie pour l’élection présidentielle de 2020.
Au moment où le Président Trump a envoyé le Premier Adjoint au Procureur Jennifer Williams rejoindre le groupe de travail secret dirigé par sa sœur la Juge Maryanne Barry, précise ce rapport, le Parti Démocrate était en train de se venger de sa défaite en Pennsylvanie lors des élections de 2016 qui avaient permis de battre Hillary Clinton par des machinations visant à truffer la Cour Suprême de Pennsylvanie d’agents du Parti Démocrate, qui ont ensuite redessiné les contours des circonscriptions électorales de l’état pour évincer les élus du Parti Républicain dont le cerveau était le puissant dirigeant syndical John «Johnny Doc» Dougherty, qui est à la tête de «l’organisation politique individuelle la plus efficace» du champ de bataille crucial qu’est l’état de Pennsylvanie pour l’élection présidentielle de 2020.
Compte-tenu que John «Johnny Doc» Dougherty était à la tête du syndicat qui est la source de financement indépendante la plus importante des campagnes du Parti Démocrate en Pennsylvanie, fait en outre remarquer ce rapport, son inculpation hier par le Premier Adjoint du Procureur Jennifer Williams fait redouter le pire aux Démocrates, étant donné que leurs organisations aussi bien politiques que syndicales dans cet État ont tous été chamboulées mais leurs plus grandes craintes étant que le Président Trump les ait attaqués avec un Procureur qui est un expert de la législation de sécurité nationale et du terrorisme, et non de la corruption politique.
John Dougherty est un maître en matière de Comités d’Action politique.
John «Johnny Doc» Dougherty est un maître en matière de manœuvres de financement de campagnes électorales. A tout instant, il a plusieurs PAC pleinement opérationnels. D’autres PAC sont en sommeil pour un temps, mais ils sont prêts à être réactivés à tout moment.
Aux États-Unis, un comité d'action politique (en anglais, political action committee ou PAC) est le nom communément utilisé pour désigner, indépendamment de sa taille, une organisation privée dont le but est d'aider ou au contraire de gêner des élus, ainsi que d'encourager ou de dissuader l'adoption de certaines lois. Les conditions qui déterminent si une organisation est classée comme PAC, sont fixées par la loi de l'État et par la loi fédérale. Ainsi, selon la loi sur les campagnes électorales fédérales (Federal Election Campaign Act), une organisation reçoit le statut de «comité politique» si elle reçoit des dons ou si elle effectue des dépenses au-delà de 1.000 dollars, et ceci dans le but d'influencer une élection fédérale.
John «Johnny Doc» Dougherty est un maître en matière de manœuvres de financement de campagnes électorales. A tout instant, il a plusieurs PAC pleinement opérationnels. D’autres PAC sont en sommeil pour un temps, mais ils sont prêts à être réactivés à tout moment.
Aux États-Unis, un comité d'action politique (en anglais, political action committee ou PAC) est le nom communément utilisé pour désigner, indépendamment de sa taille, une organisation privée dont le but est d'aider ou au contraire de gêner des élus, ainsi que d'encourager ou de dissuader l'adoption de certaines lois. Les conditions qui déterminent si une organisation est classée comme PAC, sont fixées par la loi de l'État et par la loi fédérale. Ainsi, selon la loi sur les campagnes électorales fédérales (Federal Election Campaign Act), une organisation reçoit le statut de «comité politique» si elle reçoit des dons ou si elle effectue des dépenses au-delà de 1.000 dollars, et ceci dans le but d'influencer une élection fédérale.
116 CHEFS D'INCULPATION
Ce qui est encore plus surprenant dans l’éviction hier par le Président Trump du puissant dirigeant du Parti Démocrate John «Johnny Doc» Dougherty, conclut ce rapport, c’est le nombre élevé de 116 chefs d’inculpation criminels à son encontre et celle de ses co-inculpés, y compris d’avoir menti aux autorités fédérales des États-Unis, auxquels ils pourront répondre après qu’ils se seront rendus à leur convocation une manière de procéder qui contraste énormément avec le traitement que le Conseiller Spécial Robert Mueller a réservé à l’associé de Trump, Roger Stone, qui il y a à peine quelques jours, après avoir été inculpé pour 8 chefs d’inculpation montés de toute pièce, mensonge inclus, a vécu un vrai cauchemar Américain de «Jackboots In The Morning» (les bruits de bottes du matin) lorsqu’un escadron de policiers fédéraux lourdement armés dirigés par Mueller ont opéré chez lui une descente avec des véhicules blindés, des avions et des navires de patrouille qui a été intégralement filmée par les caméras de CNN dont les soi-disant journalistes avaient été tuyautés par Mueller mais qui ont caché aux Américains la partie du film montrant des troupes de choc modernes traînant par les cheveux l’épouse sourde terrifiée de 72 ans de Stone hors de sa maison, pieds nus et en chemise de nuit ce qui fait qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que l’influent Sénateur Républicain Lindsey Graham ait demandé l’ouverture d’une enquête sur la manière dont les forces de l’ordre des États-Unis avaient complètement perdu tout sens de la réalité de nos jours.
De nombreux gouvernements et leurs services de renseignement mènent une campagne active contre les informations contenues dans ces rapports afin de ne pas alarmer leurs citoyens sur les nombreux changements Terrestres catastrophiques et évènements à venir, une attitude que les Sisters of Sorcha Faal (les Sœurs de Sorcha Faal) désapprouvent fortement en étant d’avis que chaque être humain a le droit de connaître la vérité. En raison du fait que nos missions sont en contradiction avec celles de ces gouvernements, la réaction de leurs « agents » a consisté en une campagne de longue haleine de désinformation/détournement destinée à nous discréditer, ainsi que d’autres comme nous.
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