samedi 6 juillet 2019

Les vaisseaux sont vivants !

Super article de défunt Olivier de Rouvroy

Les vaisseaux sont vivants !


Les astronefs de notre Famille galactique sont faits de Lumière vivante. Ce sont en eux-mêmes des êtres conscients et ils n’ont pas besoin d’êtres « fabriqués » pour être opérationnels et se déplacer. Les équipages voyagent en symbiose télépathique avec leurs vaisseaux. Ils forment ensemble un être collectif doué d’une conscience unitaire, capable de se fixer un objectif commun et de s’y conformer. C’est cet être vivant dans sa globalité qui assume le choix de se mouvoir à travers telle ou telle région de ce que nous appelons « l’hyperespace », et qui décide de « disparaître » d’un endroit pour « réapparaître » à celui où il choisit de se projeter.


Les vaisseaux des Galactiques n’ont pas seulement des noms, comme en possèdent nos navires, nos avions et nos fusées. Ils ont aussi des personnalités, comme nous, et une intelligence, comme nous. Ils apportent une réponse adaptée chaque fois qu’un besoin collectif requiert leur présence ou leur intervention à l’intérieur de la bande de fréquences qui leur correspond. Chaque vaisseau est à son équipage ce que la coquille est à l’escargot : la coquille est une projection de l’escargot, mais en même temps, elle fait partie de l’escargot.
Donc, quand les contactés nous disent que nos Frères et Sœurs de Lumière sont sur le point de se manifester en masse et de venir nous visiter à bord de leurs beaux vaisseaux aux couleurs de l’arc-en-ciel, cela représente un effort de groupe, incluant une participation consciente des vaisseaux, de leurs équipages et de l’humanité elle-même. Les vaisseaux, leurs équipages et l’humanité terrestre forment une unité vivante. Ce
ux d’entre nous qui seront capables de joindre leurs énergies à celle des vaisseaux et de leurs occupants pourront sentir le rayonnement de cette union. Ils pourront sans difficulté s’intégrer au groupe qui leur correspond  »vibratoirement » et rejoindre LEUR vaisseau.
Songez-y un instant : vous n’aviez probablement jamais envisagé les choses sous cet angle. Vous supposiez que, le moment venu, au moment de notre basculement dans la cinquième dimension, ils allaient peut-être utiliser une sorte de rayon ou de technologie hyper-sophistiquée pour nous embarquer sur leurs vaisseaux. Non, si nous devons monter à bord, ce n’est pas eux qui décideront de nous « aspirer » à l’intérieur. C’est nous qui le ferons par nous-mêmes ! C’est l’énergie de la joie qui inondera notre cœur, la sensation de participer à la magie de ces retrouvailles cosmiques, qui nous ouvrira grandes les portes ; puis, nous graviterons naturellement ou, plus exactement, nous « léviterons » vers cette sensation de bonheur et de paix que nous partagerons tous ensemble et qui comblera le vide de notre cœur.

Les retrouvailles cosmiques
Les vaisseaux ne sont pas seulement des modes de transport. Ils permettent à toutes les formes de vie présentes à leur bord de s’épanouir. Les majestueux vaisseaux-mères ne sont pas de petits disques ni de petits cylindres mais d’immenses entités sphériques ou parfois cubiques. Les vaisseaux tels que le « Cité de Shan » sont des capsules géantes de la taille d’une planète. Ils sont vivants exactement comme la Terre est vivante, et ils voyagent à travers l’immensité de l’espace, comme la Terre voyage autour du Soleil et à travers l’univers.
Les grands vaisseaux portent le nom de « vaisseaux-mères », car ils sont des mères nourricières pour leurs équipages, comme la Terre est une mère pour chaque être incarné sur son sol. En nous projetant dans la troisième dimension matérielle, nous avons jadis enfanté la Terre. La Terre était au départ notre enfant et elle est devenue notre mère. De la même manière, les vaisseaux sont les enfants de nos Frères galactiques, mais ils sont devenus leurs mères porteuses ou pourrait-on dire, leurs « mères transporteuses » ! Et ils forment ensemble une unité.

Intérieur et extérieur d’un « petit » vaisseau-mère
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Pour le moment, nous vivons encore cloisonnés comme des poupées russes et confinés à l’intérieur d’un espace artificiellement restreint, celui de la 3D. Supposons, par exemple, que nous habitions dans une petite maison située dans un village. Ce village se trouve dans une commune, qui elle-même se trouve dans un département. Le département se trouve à son tour dans une région qui elle-même se trouve dans un pays. Ce pays fait partie d’un continent qui lui-même appartient à une planète. La planète fait à son tour partie d’un système solaire ou d’une constellation qui dépend elle-même d’une galaxie. Une galaxie représente la cellule d’un univers local, tel que Nébadon, le nôtre, qui fait lui-même partie d’un super-univers (Orvonton en ce qui nous concerne) ! Ainsi, nous vivons tous immergés dans l’Universalité, c’est-à-dire dans l’Unité divine qui existe de toute éternité par-delà les divisions illusoires du temps, de l’espace et des dimensions.
Dès lors que nous acceptons la perspective d’un changement imminent de dimension et d’un accès rapide à la multidimensionnalité, c’est que, d’une certaine manière, nous sommes déjà en train de nous embarquer sur les vaisseaux et que nous nous préparons déjà à notre grand retour à la Maison et à notre réunion avec notre Famille spirituelle. La transition actuelle est un point focal, un point de rassemblement pour tous ceux qui sont destinés à retrouver leur Source en l’unité. Et ils y sont destinés tout simplement parce qu’ils l’ont choisi !
Nous sommes de plus en plus nombreux à nous être détachés des valeurs qui nous retenaient à cette vie dont nous avons fait jusqu’à présent l’expérience, déambulant comme des fourmis pour vaquer à des occupations que nous considérons désormais comme absurdes. Et pourtant, nous continuons à nous rendre tous les jours à notre travail et à consacrer beaucoup de temps à des tâches que nous avons de plus en plus de difficultés à accepter et à assumer. Il nous arrive même parfois de nous sentir tellement incompris que nous en arrivons à envisager des actes de désespoir.
C’est que nous avons déjà dépassé un cap que les autres ne sont pas encore tout à fait prêts à franchir. Nous avons déjà conscience que la grande Famille de Lumière est notre véritable Famille. Nous ressentons intuitivement que nous sommes loin d’en être à notre première et unique incarnation sur cette planète, que nous étions présents dès les origines de notre humanité pour former une alliance à partir de laquelle ce monde sur lequel nous marchons aujourd’hui allait être créé. Nous comprenons que nous entretenons une relation spéciale avec la Terre parce qu’elle est en réalité comme notre enfant. Elle est notre création et nous l’aimons de tout notre être, et cela nous fait souffrir de voir ce que certains lui font subir, tentant de s’approprier les dernières gouttes de son précieux sang, avant que tout le système actuel ne s’effondre et qu’elle ne renaisse dans la Lumière.
Nous parlons souvent de la Terre comme si elle était notre mère. D’une certaine manière, c’est vrai ; mais en réalité, c’est nous qui sommes ses parents. La Terre n’existe que parce que nous avons eu besoin de nous constituer un espace 3D adapté à l’expérimentation que nous avions choisi d’entreprendre lorsque nous avons accepté de nous couper de notre Famille galactique originelle. Nous avons donc une responsabilité envers notre création ; nous devons l’assister pour qu’elle naisse à sa prochaine plate-forme d’existence, sur la longue spirale qui remonte jusqu’à la Source.
Des codes de Lumière ont été cachés dans les messages qui nous ont été transmis par les relais de notre Famille galactique, par ceux que nous appelons « les contactés ». Nous utilisons à notre insu la vibration de leurs mots pour élever notre conscience. Lorsque nous lisons ces mots, leurs codes de Lumière passent dans notre corps et se cherchent les codes jumeaux qui leur correspondent à l’intérieur de notre structure cellulaire. Cela fonctionne comme un diapason, un peu à la manière du vaisseau de l’espace qui fonctionne au diapason de son équipage.
Si vous sommes un diapason réglé sur la note LA, rien ne se passera jusqu’à ce que la note LA résonne et que le son LA voyage dans notre direction et nous atteigne. Nous entrons alors en résonance avec cette note ; elle commence à sonner à l’intérieur de nous comme une cloche, et peu à peu elle se met à résonner comme un joyeux carillon. Ce peut être une musique agréable et entraînante. Ce peut être comme un jaillissement de lumière. Mais dans tous les cas, cette musique, cette lumière dira « oui ». « Oui, je sais cela. », « Oui, cela m’est familier. », « Oui, c’est pour moi. », « Cela me correspond. » Ce n’est pas le produit d’une pensée analytique. C’est une RÉPONSE, une résonance et un écho qui répond du fond de notre être, notre propre réponse intérieure à la question : « Le moment est-il venu ? » Oui, le moment est venu, oui nos Frères et Sœurs de l’espace sont là maintenant. Les membres de notre Famille de Lumière sont désormais constamment présents à nos côtés, prêts à tout moment à nous accueillir dans leur cercle.
Nous commençons enfin à comprendre que nous faisons partie de la même Famille spirituelle et nous aspirons de tout notre être à la retrouver. Au fond, le processus est simple et facile à comprendre. Il ne comporte rien de mystérieux ni de surnaturel. On peut appeler cela la technologie de l’amour ou la méthodologie de la force de vie. Il suffit d’ouvrir notre cœur comme une fleur étale ses pétales pour recevoir les rayons du Soleil. Car ils nous inondent en permanence de leur amour ; tout ce que nous avons à faire est de nous ouvrir pour le recevoir.
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Une cité de la Famille de Lumière
Le plus facile pour nous est de ne pas accorder une attention démesurée aux images qui nous parviennent du reste du monde. Il ne s’agit pas de s’isoler systématiquement de ceux qui souffrent ni de se replier dans l’indifférence, mais d’observer la progression des événements avec la distance et le recul nécessaires. Nous pouvons dès à présent faire l’expérience de plus de paix et de béatitude, d’une acceptation plus sereine de nous-mêmes et des conditions de ce palpitant voyage à destination du Nouveau Monde qui nous attend.
Si nous nous identifions trop avec ce que nous observons – la souffrance apparente qui augmente, la folie qui s’exprime autour de nous – nous risquons d’en oublier le son, la note de la Famille de Lumière, cette joie, cette paix et cet amour que nous pouvons ressentir chaque fois que nous nous connectons à eux et à leur vibration. Si nous nous sentons uniquement concernés par la tempête, nous nous retrouverons inexorablement pris dans la tempête, dans ces luttes fratricides qui se propagent partout à travers le monde et qui vont encore s’intensifier à mesure que la transition va s ‘accélérer.
Chaque fois que nous nous retrouvons plongés dans l’inconfort de cette bande de fréquence, il suffit tout simplement de s’en dégager. Relire tel ou tel message d’un contacté, aller faire une promenade dans la nature au lever du Soleil suffit pour se rendre compte que la plupart des événements sordides dont nous sommes témoins ne nous appartiennent pas. Laissons la beauté émerger de derrière la laideur et nous pénétrer. Elle est là. Ouvrons-nous à elle. Désengageons-nous. Laissons tomber tout ce qui ne nous apporte ni joie, ni amour, ni paix. Lâchons prise et laissons l’Intelligence de la Lumière, et de l’Amour, s’occuper des détails !

Texte de Olivier de Rouvroy

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