lundi 20 janvier 2020

Le philosophe Rudolf Steiner parlait d'êtres surnaturels qui se nourrissent d'émotions négatives


Le philosophe Rudolf Steiner parlait d'êtres surnaturels qui se nourrissent d'émotions négatives

Dylan Charles
Sott.net
mer., 24 jan. 2018 10:37 UTC
Commentaire : Cet article déjà publié est aujourd'hui agrémenté d'un commentaire final.

L'anxiété, la dépression et la peur ravagent aujourd'hui une grande quantité d'individus, mais peu prennent le temps de considérer qu'en plus des influences physiques dans nos vies, nous pouvons aussi être sous l'influence d'êtres qui existent dans des dimensions en dehors de notre perception ordinaire.


© Inconnu
Rudolf Steiner, ou la science de l’esprit active dans tous les domaines de la connaissance.Mais il y a bien plus en réalité que ce que nous pouvons voir, sentir, entendre, goûter et toucher. En fait, un bilan de la matière qui compose l'univers révèle qu'environ 73 pour cent de celle-ci est constituée d'énergie noire, et 23 pour cent de matière noire, dont on ne peut ni voir, ni comprendre. De plus, l'œil humain n'est capable de voir qu'environ 0,0035 pour cent du spectre total des rayonnements électromagnétiques. Quand on regarde dans les cieux, 96 pour cent d'entre eux nous sont invisibles. Incluez dans cet invisible les royaumes spirituels et c'est tout un univers de possibilités qui existe au-delà de nos cinq sens.


Très peu de scientifiques sont aujourd'hui prêts à explorer la métaphysique de manière à examiner la vie au-delà de notre perception ordinaire afin d'établir un lien entre le visible et l'invisible.

Pourtant, Rudolf Steiner, l'un des scientifiques, philosophe et ésotériste les plus prolifiques et doués de son temps, consacra une grande partie de son œuvre à observer derrière le voile, partageant sa vision de la nature profonde de la vie et du monde au-delà.

En ce qui concerne l'anxiété et la dépression, Steiner a fait mention d'êtres hostiles dans le monde spirituel qui influencent et se nourrissent de l'émotion humaine ; un concept catégoriquement rejeté par la plupart des gens aujourd'hui. Cependant, cette analyse est pourtant valable pour les chamans et autres personnes qui accèdent aux dimensions spirituelles afin d'alléger la souffrance mentale de leurs patients.

Beaucoup sont familiers avec la notion de vampires qui se nourrissent d'énergie, ou des gens qui aspirent votre énergie et se nourrissent de vos émotions négatives. Sur l'existence d'entités similaires présentes dans d'autres dimensions, Steiner a écrit :
« Il y a des êtres dans les royaumes spirituels pour qui l'anxiété et la peur émanant des êtres humains offrent une nourriture bienvenue. Quand les humains n'ont plus d'anxiété et de peur, ces créatures meurent de faim. Les gens qui ne sont pas encore suffisamment convaincus par cette affirmation pourraient comprendre qu'elle n'a qu'une signification relative. Mais pour ceux qui connaissent ce phénomène, c'est une réalité. Si la peur et l'anxiété irradient d'individus qui se mettent alors à paniquer, ces créatures se nourrissent et deviennent de plus en plus puissantes. Ces êtres sont hostiles à l'humanité.

Les sentiments négatifs, d'anxiété, de peur et de superstition, de désespoir ou de doute, sont en réalité des forces hostiles émanant de mondes extra-sensoriels dont les êtres exercent sur les êtres humains des attaques cruelles tout en se nourrissant de leurs effets. Par conséquent, il est nécessaire qu'une personne qui entre dans le monde spirituel ait en premier lieu surmonté la peur, les sentiments d'impuissance, le désespoir et l'anxiété. Mais ce sont précisément ces sentiments qui appartiennent à la culture et au matérialisme contemporains ; parce qu'il éloigne les gens du monde spirituel, il est particulièrement adapté pour évoquer le désespoir et la peur de l'inconnu chez les individus, appelant ainsi les forces hostiles susmentionnées contre eux. »

~ Rudolf SteinerLes émotions négatives nourrissent les esprits hostiles

Un concept tel que celui-ci n'est pas facilement accepté dans la conversation quotidienne, guidé par un scepticisme rigide et un matérialisme scientifique. Les traditions d'aujourd'hui ont cherché à expulser de nos vies la sagesse métaphysique ancienne et son application pratique, et bien que la recherche scientifique soit exceptionnellement précieuse, la perception spirituelle a toujours fait partie de notre expérience.
« Et pourtant, malgré un scepticisme cynique, toutes les anciennes écoles du mystère, la vraie connaissance chamanique et les enseignements ésotériques - dont une grande partie ont été supprimés et/ou déformés pendant des milliers d'années pour des raisons évidentes - ont transmis cette vérité pour "ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre ", en utilisant leur propre langage et symbolisme, qu'il s'agisse de "La Loi Générale" (le christianisme ésotérique), des Archons (Gnostiques), "Seigneurs de la Destinée" (Herméticisme), Prédateurs/Flyers - "Le Sujet de tous les Sujets" (Chamanisme, Castaneda), "Le Magicien Maléfique" (Gurdjieff), Les Shaïtiens (Sufisme), Les Djinns (Mythologie Arabe), Le Wendigo (La spiritualité des natifs américains), Les Forces hostiles occultes (Sri Aurobindo & La Mère, Le Yoga Intégral), etc. »

~ Bernhard GuentherLes rapports avec des êtres extra-sensoriels ou hyper-dimensionnels font partie de notre histoire depuis longtemps, et sont directement accessibles à chacun d'entre nous lorsque la pratique et l'attention appropriées sont apportées à la matière. Je sais que c'est vrai à partir de mes expériences avec la médecine des plantes du chamanisme où il est tout à fait possible d'entrer dans des états de conscience où des cosmologies entières de la vie existent avec lesquelles il est possible d'interagir.

Se trouver dans l'ornière de la spirale du discours négatif sur soi, de la dépression, de l'anxiété paralysante ou de la peur irrationnelle et incontrôlable, est le signe, comme le souligne Steiner, d'une déconnexion de notre vraie nature spirituelle, exacerbée par les êtres qui opèrent dans les réalités hyper-dimensionnelles. C'est pourquoi ce type de désordres est considéré par certains comme des maladies spirituelles, et tant que la brèche n'est pas guérie avec une attention appropriée accordée au développement de l'esprit, les sentiments ont tendance à s'exacerber et à conduire l'individu plus loin dans la détresse.
« Quand les humains n'ont ni peur ni angoisse, ces créatures meurent de faim. »

~ Rudolph SteinerTraduction : Sott.net
Source de l'article : WakingTimes

Commentaire : Une chose en ce qui concerne le « sujet de tous les sujets », comme le nommait Carlos Castaneda, c'est que l'on peut être bien attrapé en cherchant « là-bas » les raisons pour lesquelles les émotions négatives se manifestent ici dans notre vie. Et l'une des façons les plus sûres de se protéger est d'acquérir des connaissances et une prise de conscience, ce qui signifie aussi assumer la responsabilité de nos états émotionnels malgré toute interférence extérieure. Pour en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez aussi lire Ces mondes qui nous gouvernent, paru aux Éditions Pilule Rouge.

Ci-dessous, un extrait de L'Onde Tome III :
« Pendant des siècles - voire même des millénaires - des religions et une dynamique sociale simplistes ont prévalu sur presque toute la planète. Cette situation était rendue possible par le fait que, lorsqu'il y avait « intrusion » d'un être hyperdimensionnel dans notre réalité - lorsque ces entités « s'invitaient » à dîner, si j'ose dire - le manque de moyens de communication entre tribus et peuples facilitait la dissimulation de l'événement.

Lorsque, bien à l'abri chez nous, nous contemplons notre réalité - y compris notre environnement immédiat - nous remarquons un front « stable ». Les voitures défilent dans la rue, transportant des gens de tel à tel point au gré de leurs activités quotidiennes. Le soleil brille, des enfants passent en bavardant et en riant. Chacun est impliqué dans sa propre vie d'une manière immédiate, en s'y identifiant, convaincu que cette vie est la réalité, qu'elle est ce qui est.

Mais de temps à autre, un événement bizarre survient, et la personne qui le vit s'efforce d'intégrer cette anomalie au continuum espace/temps. Habituellement, l'incident est suffisamment insignifiant pour qu'elle « l'étouffe » et l'oublie - ce qu'elle doit absolument faire, car il jure trop par rapport au cours des événements, à ce qui est admis comme normal. Il doit donc être escamoté, puis oublié.

Il arrive que des anomalies plus flagrantes surviennent dans la réalité - témoignant d'une intrusion du système de contrôle hyperdimensionnel - ou que le « voile » se déchire d'une façon ou d'une autre, ce qui fait alors les gros titres de la presse. Charles Fort a passé de nombreuses années à collecter des articles rapportant ce genre d'incidents dans des journaux ou magazines du monde entier.

Lorsqu'un événement de ce genre a lieu, le « système de croyances en vigueur » se hâte de le « minimiser », si bien que chacun peut continuer à vivre dans ses illusions respectives ou collectives. En outre, puisque ces types d'événements sont locaux, il est aisé de les étouffer. Il était d'ailleurs bien plus aisé de les étouffer dans le passé.

Quand on lit les informations rassemblées par Charles Fort, on constate que la « réalité alien » dont on parle tant de nos jours était tout autant d'actualité à son époque. En fait, on constate qu'elle est en quelque sorte « cyclique ». Tout comme nous avons des cycles de production alimentaire (plantation, croissance, et récolte), les êtres hyperdimensionnels semblent nous moissonner selon quelque loi « saisonnière ».

Par le passé, il était infiniment plus facile d'étouffer la question. Mais avec le temps, les gens se sont cultivés. Des livres, articles et magazines ont été publiés et diffusés. Voyager est devenu plus facile, et les informations en provenance du monde entier faisant état « d'étranges intrusions » dans notre réalité sont devenues accessibles, donnant l'impression générale que quelque chose « n'est pas clair ».

Avant Charles Fort, certains sentaient déjà le « cadavre dans le placard ». Mais monsieur Fort agita carrément ce cadavre sous notre nez, et les réactions furent des plus intéressantes. La machine à censure se mit à tourner à plein régime, utilisant les vecteurs extrêmement efficaces que sont la science et la religion conventionnelles.

Or le cadavre avait répandu son odeur, et certains ne pouvaient plus se contenter de le remettre dans le placard. La puanteur montait par la porte désormais entr'ouverte.

Certains cherchèrent à savoir d'où venait cette pestilence. Ils commencèrent à rassembler connaissances et informations.

On peut même remarquer de quelle manière la machine à censure lança son entreprise de « damage control ». Lorsqu'on étudie l'histoire des mouvements et changements sociaux et religieux, on se rend compte que le « mécanisme de contrôle » se métamorphose à chaque nouvelle découverte ou prise de conscience de l'humanité ; à mesure que les hommes abandonnaient les anciennes religions et les explications simplistes, de nouvelles « religions » se mirent en place. Exactement au bon moment - c'est-à-dire en plein essor de la science et des connaissances sur la nature de la réalité, lesquelles remettaient sérieusement en cause les anciennes vues religieuses - le mouvement spiritualiste fit son apparition, aboutissant aux informations reçues par channeling, lesquelles avaient pour but de colmater les brèches faites dans le réseau de contrôle. Des explications nouvelles, plus élaborées, sur les « mondes supérieurs » furent communiquées dans notre réalité. Et à chaque nouvelle question, le système de contrôle apportait une nouvelle réponse qui aiderait chacun à se calmer, à se détendre et surtout à arrêter de poser des questions !

De nos jours, ce processus est devenu d'autant plus évident. Il y a quelques années, lorsque nous avons commencé à partager les informations cassiopéennes, la plupart des sujets dont nous traitions n'étaient pas même évoquées par les autres « sources ». Aujourd'hui, dès que nous publions quelque chose, « l'autre bord » présente un nouveau candidat qui donne de nouvelles explications destinées à « colmater les brèches » que nous ouvrons dans le mur de la réalité. »

~ L'Onde Tome III, pp. 388-390



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