Un aveu de défaite de l’état profond
Le 3 juin dernier, le Fond Monétaire International (FMI) annonçait qu’il voulait procéder à une réinitialisation monétaire … en novembre prochain.
Pourquoi novembre? On peut tout de suite penser à cause des élections américaines, évidemment puisque, comme toutes les autres institutions internationales, le FMI est sous contrôle globaliste.
Et la chose est un aveu de défaite. Pourquoi? Qui décidera du sort du prochain président américain, qui vote pour l’élire? La population. Donc, les globalistes avouent et reconnaissent que le peuple est souverain et qu’il est impuissant face à sa volonté.
L’état profond reconnaît que, si le peuple est informé correctement, il n’est absolument plus ce qu’il croit être, lui, i.e. une élite, mais qu’il est composé de gens bien ordinaires qui ont du mal, en démocratie, à faire valoir leurs points de vue.
Depuis 4-5 ans, les globalistes accumulent échec sur échec : les réseaux sociaux et internet qui diffusent des informations compromettantes sur eux, élection de Donald Trump aux ÉU, élection de Boris Johnson en Angleterre, les gilets jaunes dans une vingtaine de pays à travers le monde, Notre-Dame de Paris qui ne réussit pas à changer le narratif médiatique, une pandémie qui n’en est pas une et un virus que l’on contrôle avec un vieux médicament peu cher, rendant un futur vaccin injustifiable, arrestation de Jeffrey Epstein et d’un tas d’autres pervers sexuels les impliquants, émeutes raciales subventionnées par Soros dénoncées, etc.
Cette séquence perdante se poursuit maintenant avec les gens qui commencent à nouveau à sortir dans la rue pour contester les mesures sanitaires injustifiées en Allemagne et en Italie. Sans compter les actions légales qui commencent à surgir notamment au Québec (action qui a déjà porté ses fruits) et en France. Encore ici, le peuple s’exprime à l’encontre de la mainmise de l’état profond.
Même s’il continuera à se battre jusqu’à son anéantissement définitif (cf. le Burundi), le vent a déjà tourné de bord et l’état profond ne peut espérer retrouver le contrôle de la situation qu’il avait avant. Pourra-t-il seulement continuer à exister? Encore une fois, rappelez-vous dans quelles conditions s’est fait la chute du mur de Berlin : une volonté populaire irrépressible. Et, pour les plus âgés, à la toute fin des années ’60, en 2 ans en Occident à tout le moins, les églises se sont vidées, les femmes ont commencé à prendre la pilule et à refuser de porter le soutien-gorge, à peu près tout le monde fumait de la marijuana, les hommes se sont laissé pousser cheveux et barbe et la musique populaire a été propulsée dans le cosmos. Ça ressemble drôlement à ce que nous vivons actuellement !
Le plus sage pour le peuple présentement serait de focaliser ses énergies sur le monde qu’il désire, sur une vision claire et limpide des conditions dans lesquelles il veut vivre. Cesser de diffuser les messages que les globalistes veulent nous rentrer dans la tête (v.g. 2è vague, vaccin obligatoire, élimination de l’argent liquide, etc.).
Nous sommes rendus à l’étape d’édifier le monde meilleur que nous avons toujours voulu.
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Le chef d’état de mon pays, pour une raison surprenante, est évacué de son poste. Tout se passe dans la paix, le calme. C’est l’ordre des choses et cela me convient parce que je l’ai choisi.
S’installe à la place un pouvoir de transition qui nous amène dans un monde où la justice et l’honnêteté règnent; où la prospérité se voit partout où l’on pose les yeux.
Prospérité matérielle, intellectuelle, spirituelle. Le bonheur se retrouve dans chaque regard.
Je me sens enfin chez moi.