vendredi 24 juillet 2020

Y-a-t-il assez de Gens suffisamment réveillés pour enrayer les visées du grand dérèglement cognitif qui s’opère à l’échelle mondiale ?


L'Heure du Choix est arrivée !


Y-a-t-il assez de Gens suffisamment réveillés pour enrayer les visées du grand dérèglement cognitif qui s’opère à l’échelle mondiale ?



Le monde est devenu plus fou encore qu’il ne l’était.
Le contexte mondial est à la déstabilisation des structures, des modes de pensée et des fonctions cognitives.
Ceux qui la pilotent visent des objectifs qui n’ont rien d’altruiste et de bienveillant, mais c’est une carte risquée qui pourrait se retourner contre eux.
Le potentiel existe des deux côtés de la lame de trancher une ligne du temps pour deux bien différentes : celle que vise avec froideur l’œil de la matrice, celle qu’appelle à rayonner le cœur libéré de l’esclave affranchi.
La question finalement qui semble importante quant à l’issue à court-terme est celle-ci : quelle est la proportion de gens qui se sont suffisamment réveillés et leur masse sera-t-elle suffisamment critique pour enrayer à terme les visées du grand dérèglement cognitif qui s’opère à l’échelle mondiale ?
Alors que la déstabilisation sociale atteint aux États-Unis des proportions délirantes, orchestrée par ceux qui veulent absolument abattre l’actuel président qui ne sert pas leurs intérêts et démentèle l’état profond, dans la plupart des pays, la population courbe l’échine devant les mesures liberticides de leurs gouvernements. 

Seuls pour le moment les serbes font réellement exception, qui ont fait reculer le pouvoir après deux jours de soulèvement dans les rues.
C’est dans leur nature, ils ne se laissent pas soumettre facilement les serbes.
En France, l’apathie s’installe au son des cigales et les français semblent ne s’ébrouer que pour les soldes d’été.
Ceux qui ont peur ou vivent de l’intérêt de la peur en sont à presser le gouvernement d’imposer le port du masque partout.
Voilà qui est fait, ils se sentent mieux.
Que faut-il pour que les français relèvent la nuque et regardent les simples faits, qui ne sont pas ceux que leurs matraquent sans répit radios, télévisions et journaux ?
Il semble que la première claque n’ait pas été assez forte.
Les faits étant têtus par nature, rappelons-les encore une fois : selon l’OMS elle-même – et on sait à présent que les chiffres du COVID sont largement gonflés – il y a eu en 2017 dans le monde 650.000 décès liés à la grippe saisonnière, alors que sur une période similaire en 2020 on a dénombré 396.000 décès dus au COVID-19.
On en était à 585.000 mi-Juillet 2020, donc très au-delà d’une période comparable avec la grippe.
On entend pourtant tous les jours des journalistes dirent que la grippe tue moins que le COVID.
Ignorance, manipulation, peur et corruption ont bâti le mythe.
L’effet de meute fait le reste.
Autre fait têtu, l’OMS a déclaré début Juin que les patients asymptomatiques étaient finalement très rarement contagieux, en totale opposition avec ce qu’elle avait dit jusque-là.
Autrement dit, de leur propre point de vue réactualisé, distanciation sociale, masques et confinement de masse ne servent strictement à rien.
Mais très vite derrière cette annonce, les médias se sont unanimement chargés de rétablir la ligne officielle et l’OMS a noyé le poisson.
Tout ceci permet au moins de voir qu’il n’y a aucun consensus, qu’il est inventé et maintenu artificiellement dans cette direction par la seule volonté de ceux qui appliquent le plan.
Et cela devrait suffire à s’interroger et à prendre sa distance avec la pensée unique.
Dans ce fatras de mensonges où comme l’avait prophétisé Georges Orwell, "dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire", la France va donc faire partie du troupeau docile des covidés pour qui le port du masque sera obligatoire à peu près partout dès le 20 juillet.





Y’a-t-il quelqu’un qui a publiquement posé la question de l’impact sur l’organisme du port prolongé d’un masque ?
Il existe pourtant pléthore d’études sur le sujet concernant les milieux professionnels qui en utilisent.
Il y a même des réglementations pour l’encadrer strictement tant l’impact est à prendre en compte, mais on voit les médias aux ordres affirmer qu’il n’y a aucun danger à garder un masque FFP2 toute une journée.
Hélas, pour ceux qui s’y soumettront trop longtemps, respirer son propre dioxyde de carbone tout en appauvrissant son oxygène entraînera des symptômes désagréables, avec à terme des conséquences ignorées.
Et quid des personnes souffrant déjà de pathologies respiratoires qui ne pourront le supporter ?
Sont-elles condamnées à vivre enfermées ?
Cela concerne rien qu’en France plusieurs millions de personnes.
Quelqu’un s’en émeut ?
Enfin qui remet publiquement en question l’utilité même du masque devant une propagation par aérosol ?
Là encore pourtant, l’OMS a fini par reconnaître ce mode de propagation du COVID.
Et il y a là aussi pléthore de publications scientifiques qui en démontrent la totale inefficacité (voir au moins CECI).
Mais le terrorisme médiatique sur le sujet est impressionnant, tant par son débit que par sa stupidité.
Personne ne remet plus rien en question, tout le monde prend comme fait acquis les mensonges répétés à longueur de journée, sans la moindre vérification.
Et plus c’est énorme, mieux ça passe.
Est-il possible que les gens acceptent désormais de vivre à distance permanente les uns des autres, sans jamais voir la moitié de leur visage ni pouvoir se sourire, dans la peur de l’invisible petit virus qui malgré tous les efforts pour le rendre terrifiant n’a toujours pas plus tué qu’une grippe saisonnière ?
Voilà qu’à présent on s’effraie d’une soit-disante recrudescence de cas…
Il est évident que plus l’on teste, surtout avec des tests bourrés de faux positifs, plus il y aura de cas, ce qui serait pareil avec la grippe ou n’importe quoi d’autre.
Est-ce que cela a une signification ?
Non.
Jusqu’où le délire collectif va-t-il mener l’humanité à toujours plus d’aveugle obéissance ?
Y-aura-t-il un vrai sursaut ?
Il y a en tout cas une chose contre laquelle les masques protègent efficacement, c’est l’intelligence.
On a beau la chercher, on ne la voit plus nulle part sous les projecteurs médiatiques, elle semble elle aussi confinée à domicile chez celles et ceux qui se sont réveillés et ont commencé à prendre la mesure de ce qui se passe et où ça les mène s’ils ne prennent pas leurs responsabilités.
Le rôle des médias est à la hauteur de la bêtise ambiante.
Il n’y a plus de vrais journalistes dans ces grands médias depuis longtemps, il n’y a plus qu’une meute servile prête à la curée sur ce qu’on lui jette d’en haut, par ignorance, inintelligence, intérêt et vanité.
Ceux qui s’en démarquent en France sont très rares et je leur tire mon chapeau de résister à la mesure de qu’ils peuvent au milieu de ce panier de crabes au pinces de papier.
L’asservissement des médias aux pouvoirs auxquels ils appartiennent (il suffit de regarder les organigrammes de leurs entreprises) est l’une des deux garanties de l’efficacité de la propagande ordonnée.
De ce côté, pas de souci, eux et les "intellectuels" de la petite lucarne ont le doigt sur la couture du pantalon.
L’autre garantie de la propagande, c’est celle de la crédulité du peuple.
De ce côté aussi, tout a été fait dès le plus jeune âge depuis des décennies pour affaiblir considérablement la capacité à penser par soi-même et à s’autodéterminer.
Bref, la situation n’est pas brillante, mais elle a un potentiel de réveil extraordinaire encore trop peu exprimé.
Et il va falloir de grosses claques pour réveiller les dormeurs.
La première à tomber est le tsunami économique qui va détruire l’économie mondiale d’ici la fin de l’année.
C’est voulu, c’était même clairement annoncé depuis des années.







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