Affolé, Biden menace les juges américains
Et si, finalement, Trump l’emportait ? Le camp Biden commence à vaciller et laisse planer le spectre du chaos, en cas de basculement de l’élection.
Preuve que la fraude est bien là et que le tricheur devient fébrile.
Et surtout, preuve que le basculement est très possible !!
Soulignons la qualité exceptionnelle des articles de Maxime Lépante, qui nous livre depuis plusieurs jours des informations de premier ordre, à des années- lumière de la désinformation diffusée par nos médias, qui ne savent que rabâcher, tels des perroquets hystériques : “pas de preuves”, “pas de preuves” !
La vérité est que la fraude est tellement colossale que plus personne, à part Biden, n’ose encore affirmer que ce n’est qu’un pur fantasme de la Maison Blanche. Et c’est bien ce qui va perdre Biden : l’ampleur démentielle de la triche, à des niveaux jamais vus, impossible à cacher, preuve indéniable d’une machination parfaitement orchestrée au plus haut niveau.
On comprend pourquoi Biden n’a pas jugé bon de faire campagne… avec les dés pipés d’avance.
Aucun juge intègre, qu’il soit républicain ou démocrate, ne peut tolérer une fraude électorale pratiquée à l’échelle industrielle avec le logiciel Dominion, ou les énormes malversations locales, indignes d’une grande démocratie.
Il est impensable que la justice fédérale puisse faire passer tranquillement à la trappe ce putsch électoral. Et des juges intègres, il en reste, heureusement.
La bataille judiciaire se poursuit donc dans les 6 États-clés, y compris l’Arizona, avec un Donald Trump très loin de capituler, malgré les dires de la presse occidentale qui instrumentalise tout évènement anecdotique, pour “prouver” que le milliardaire accepte enfin la défaite.
Que Sydney Powell confirme qu’elle ne fait pas partie de l’équipe judiciaire de Trump, et c’est aussitôt la preuve que le navire républicain prend l’eau de tous côtés.
Que Trump autorise finalement une transition en douceur, pour ne pas bloquer l’énorme machine administrative, et c’est la preuve incontestable qu’il accepte donc la victoire frauduleuse du tricheur Biden.
Tels des chacals affamés, les médias se précipitent en meute sur le premier os à ronger.
Bien entendu, il n’en est rien et c’est même tout le contraire. La fraude est de plus en plus palpable et les audits se poursuivent partout, grâce à quelques juges courageux qui font leur job, au grand dam des Démocrates.
Biden devient d’ailleurs menaçant, signe qu’il n’est pas tranquille.
Tandis que Trump, loin de désarmer, appelle ses partisans à inverser le résultat du scrutin frauduleux :
“Nous devons inverser cette élection”, a-t-il déclaré hier. “Les démocrates ont triché. Ça a été un scrutin frauduleux.”
Biden, de son côté, annonce le 25 novembre, lors de son discours de Thanksgiving, que les Américains n’accepteraient pas que les résultats de l’élection du 3 novembre ne soient pas respectés.
C’est le tricheur qui voudrait se poser maintenant en victime ! “Moi ou le chaos”, en quelque sorte !
Autrement dit, il faudrait entériner la fraude, accepter l’inacceptable et laisser un tricheur accéder à la Maison Blanche, pour éviter des émeutes.
Ce qui reviendrait à reconnaître devant le monde entier que les États-Unis sont un État mafieux, capable de trahir le peuple et de truquer une élection majeure en toute impunité. Il ose tout !
Espérons que les juges fédéraux et la Cour suprême mettront un point d’honneur à ne pas reculer et à faire triompher la vérité et la justice, face aux ennemis de la démocratie, capables du pire pour voler sa victoire à Trump.
Je pense que cette sombre saison de divisions et de diabolisation va céder la place à une année de lumière et d’unité , a lancé le Démocrate dans une allocution depuis sa ville de Wilmington, dans le Delaware.
“Nous avons des élections libres et justes”, ose déclarer Biden.
Notre démocratie a été mise à l’épreuve cette année. Et voilà ce que nous avons appris : le peuple de cette nation a été à la hauteur , a-t-il estimé.
En Amérique, nous avons des élections libres et justes, et nous en respectons les résultats. Les habitants et les lois de ce pays n’accepteront pas autre chose , a-t-il prévenu.
La menace est claire. Pas question d’accepter un renversement de la situation, pas question d’accepter une décision de la Cour suprême favorable à Trump, pas question de rendre justice au peuple américain.
Pour le leader démocrate, qui n’a cessé de faire pression sur l’opinion en se déclarant vainqueur prématurément, mettant ainsi le monde entier devant le fait accompli, dans l’espoir d’intimider les juges, il faudrait entériner la fraude pour éviter le chaos !
Et pour faire passer la pilule, Biden promet de tendre la main au camp adverse. Le tricheur veut jouer les grands seigneurs !
Vous voulez des solutions, pas des cris. De la raison, pas de l’hyper-sectarisme. De la lumière, pas des flammes , a-t-il martelé.
Vous voulez que nous nous écoutions les uns les autres à nouveau, que nous nous regardions les uns les autres à nouveau, que nous nous respections les uns les autres à nouveau. Vous voulez que nous travaillions ensemble, Démocrates, Républicains, et Indépendants , a ajouté Biden, qui a promis de tendre la main au camp adverse malgré les divisions sans précédent qui traversent la classe politique américaine.
C’est renversant !
Nous avons assisté à la plus grande escroquerie électorale de tous les temps, et c’est le tricheur qui ose parler de réconciliation, après avoir volé sa victoire au peuple américain !
Même en Afrique, on ne voit pas pareille trahison et pareil mépris du peuple !
Jacques Guillemain
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