MESSAGE DE BENJAMIN FULFORD.
"L'ATTAQUE CONTRE LE LEADERSHIP
DE LA MAFIA KHAZAR S'INTENSIFIE."
La chasse se concentre maintenant sur les chefs de la mafia khazar, tels que les membres de la famille des Habsbourg et leurs hommes de main comme Klaus Schwab des fascistes de l'économie mondiale, le Mossad et d'autres sources.
Ils convient également de dire que le ministre du crime Benjamin Netanyahu a été exécuté pour des crimes de guerre, y compris l'attentat meurtrier de masse contre la centrale nucléaire japonaise de Fukushima le 11 mars 2011.
Pour comprendre à quel point ces développements sont historiques, nous devons revenir au moment où Moïse a reçu les «dix commandements de Dieu». Ce sont les quatre premiers de ces «commandements» qui posent problème.
Ils sont: Je suis l'Éternel, ton Dieu; Ne prend pas d'autre dieux que moi; Ne faites pas d'images ou de ressemblances gravées et ne prononcez pas le nom de l'Éternel en vain.
Ce «Dieu» est celui qui a exigé des paiements en or, argent, huile aromatique, peaux de mouton mortes rouges, etc. En réalité, c'est un groupe qui a caché son système de totalitarisme derrière un concept de «Dieu». La raison pour laquelle ils exigent qu'aucune image gravée ou ressemblance n'en soit faite est qu'ils ne voulaient pas que les gens découvrent «Dieu», c'était juste un groupe d'humains. Les sorciers derrière le rideau. En d'autres termes, le secret est essentiel à leur système de gouvernance.
Il ne s'agit pas de nier l'existence d'une étincelle divine ou d'un Créateur. C'est juste pour affirmer que les dieux monothéistes occidentaux (Allah, Yahvé, Dieu, etc.) sont des camouflages pour des groupes d'esclaves humains. Ils ont un chef secret connu sous le nom de «Pindare» qui est leur dirigeant absolu jouant le rôle de «Dieu». Je me souviens encore de ces gens qui m'ont dit «il n'y a pas de Dieu, nous sommes Dieu», lorsqu'ils m'ont demandé pour la première fois de les rejoindre dans leurs plans génocidaires.
Rappelez-vous, la religion mondiale vient du latin «re ligare» ou pour se regrouper en un seul paquet ou «fascii», d'où le mot fascisme.
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