TÉMOIGNAGE D’UN POMPIER VOLONTAIRE
QUI RENONCE À SON ENGAGEMENT
FACE À LA TYRANNIE SANITAIRE.
«Voilà, c’est fini» chantait Jean-Louis Aubert. Après deux ans et demi d’engagement comme pompier volontaire à côté de chez moi, j’ai rompu mon engagement. C’était il y a quelques mois déjà, en tout début d’année, avant que le pass sanitaire ne soit officiellement acté par les autorités de ce pays qui ont décidé d’enfermer leur propre peuple pour la vie (puisqu’ils recalent même des amendements permettant de mettre fin à l’urgence sanitaire… quand il n’y aura plus d’urgence sanitaire).
C’était il y a quelques mois, car j’avais compris que la messe était dite déjà. Depuis le début de la crise dite «du covid», j’ai vu les autorités, y compris au sein de l’administration chargée des pompiers professionnels comme volontaires (les SDIS) devenir complètement folles, avec des consignes de plus en plus débiles, injustifiées si ce n’est toujours pas l’éternelle peur de devoir rendre des comptes à sa hiérarchie et de se faire taper sur les doigts, ce qui est sans doute la pire maladie (une vraie celle-là) que le système bureaucratique français ait engendrée.
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