...POUTINE VEUT ECRASER LES TRAFIQUANTS D'ENFANTS..
Poutine s'engage à "écraser" les trafiquants d'enfants en Ukraine
Le président russe Vladimir Poutine s'est donné une nouvelle mission en plus de débarrasser l'Ukraine des biolabs financés par l'Occident, a déclaré une source de Mar-a-Lago ayant eu connaissance d'un 5e appel téléphonique en autant de jours entre le dirigeant russe et le président Donald J. Trump.
Poutine s'engage à "écraser" les trafiquants d'enfants en Ukraine
Le président russe Vladimir Poutine s'est donné une nouvelle mission en plus de débarrasser l'Ukraine des biolabs financés par l'Occident, a déclaré une source de Mar-a-Lago ayant eu connaissance d'un 5e appel téléphonique en autant de jours entre le dirigeant russe et le président Donald J. Trump.
Compte tenu des révélations selon lesquelles des trafiquants d'enfants étrangers avaient enlevé des enfants russes et les avaient transportés en Ukraine pour les vendre comme esclaves, Poutine a déclaré dimanche à Trump qu'il avait l'intention d'isoler et de détruire les covens d'esclavage d'enfants sur le sol ukrainien.
Selon Poutine, la Société russe de protection des enfants a interrogé 6 enfants russes, âgés de 12 à 16 ans, qui faisaient partie des 100 enfants multinationaux libérés par Spetznas dans le centre de l'Ukraine vendredi après-midi.
Ils ont partagé des histoires similaires et déchirantes.
Trois d'entre eux ont été enlevés chez eux, de nuit, près de la ville frontalière de Belgorod, qui se trouve à 15 km de la frontière ukrainienne.
Leurs ravisseurs les ont capturés alors que les parents travaillaient ou dormaient ; le sud-ouest de la Russie rurale est en proie à la misère, et les parents, incapables de se payer des baby-sitters, confient souvent à Dieu la garde de leurs enfants pendant qu'ils gagnent péniblement leur vie.
Les trois autres ont déclaré avoir été enlevés dans des centres commerciaux, alors qu'ils étaient momentanément séparés de leurs parents ou tuteurs.
Real Raw News n'a pas reçu d'informations sur les circonstances des autres enlèvements.
Quatre des six enfants ont enduré la captivité pendant une ou deux semaines, mais deux d'entre eux ont eu du mal à estimer le temps qu'ils ont passé en captivité ; l'enfermement prolongé dans une cellule sombre et sans fenêtre avait faussé leur perception du temps et de l'espace.
L'un d'eux a deviné "six à huit semaines". Et sur les six, trois ont dit que leurs geôliers les avaient transportés jusqu'à leur lieu de sauvetage depuis d'autres camps d'internement qui détenaient "beaucoup, beaucoup, beaucoup plus d'enfants".
"Poutine a dit à Trump que, du moins selon le récit des enfants, les trafiquants parlaient tous couramment l'ukrainien, mais seulement un russe épars ou approximatif, et un peu d'arménien.
Ils portaient des masques de ski, de sorte que les enfants ne voyaient jamais leurs visages.
Le nombre total d'enfants présents était de 100, 76 russes, 9 français, 1 suisse, 5 américains, 6 ukrainiens, pas sûr des autres. Apparemment, les enfants ukrainiens ont traduit pour le reste", a déclaré notre source.
Poutine, ajoute notre source, a déclaré que 46 d'entre eux étaient traités médicalement pour un large éventail de maladies : Malnutrition, lacérations, plaies perforantes, dysenterie, déshydratation, infections respiratoires, MST et abus sexuels.
Une jeune fille de 13 ans avait été violemment sodomisée.
"Je vais trouver ceux qui ont fait ça et les écraser, tous", aurait dit Poutine à Trump.
"Poutine prétend vouloir rapatrier tous les enfants, mais comme les pays européens ont fermé l'espace aérien aux vols russes, et que personne ne veut lui parler, il est coincé dans un tonneau.
Trump ramènera nos enfants à la maison", a déclaré notre source.
Dans d'autres nouvelles, Poutine a également déclaré que l'armée russe avait détruit quatre 18-roues que des "terroristes occidentaux" avaient transformés en laboratoires itinérants d'armes biologiques.
De plus, il a déclaré que les histoires fantaisistes à son sujet apparaissant dans les médias occidentaux étaient le fruit d'une invention de la CIA, citant notamment un article du NY Post affirmant que la paranoïa et l'isolement induit par une pandémie l'avaient rendu fou.
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