COMME POUR LA COVID ET LES VACCINS IL VA FALLOIR QUE NOUS PASSIONS NOTRE TEMPS À « DEBUNKER » LES FAKE NEWS DU GOUVERNEMENT ET DES MÉDIAS MAINSTREAM SUR LE « RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE »...
ÇA DEVIENT LASSANT MAIS NOUS NE PLIERONS PAS, LE MENSONGE SERA COMBATTU, LE COMPLOT DÉVOILÉ, PARTAGÉ ET TUÉ DANS L’ŒUF !
Arctique : début d’été le plus froid en 64 ans
ÇA DEVIENT LASSANT MAIS NOUS NE PLIERONS PAS, LE MENSONGE SERA COMBATTU, LE COMPLOT DÉVOILÉ, PARTAGÉ ET TUÉ DANS L’ŒUF !
Arctique : début d’été le plus froid en 64 ans
Nous faisons état, dans cet article très court d’analyse des données factuelles groenlandaises rapportées par l’Institut météorologique danois (le DMI), du phénomène actuel d’augmentation de l’épaisseur de surface de la calotte polaire du Groenland, curieusement ignoré par les fauteurs de bruit médiatique au service de la psychose caniculaire.
La fonte cyclique de l’inlandsis du Groenland a lieu sur une période annuelle très courte dont l’inauguration survient au début du mois de juin. Le gain de masse de surface de glace polaire, mesuré en gigatonnes (c’est-à-dire en milliards de tonnes, 1 Gt, ou 1 × 109 t, soit encore l’équivalent d’1 km3 d’eau), est simplement une fonction des chutes de neige. L’été est désormais commencé dans l’hémisphère nord (nous écrivons ces lignes le 21 juin 2022). En cette période de l’année, le pôle Nord est la région du globe qui reçoit et reflète le plus de rayonnement solaire, jusqu’à 30 % (lors du solstice d’été aujourd’hui) la quantité reçue et reflétée à l’équateur. Pour autant, la neige ne cesse de s’accumuler sur la calotte polaire arctique située au sud du pôle Nord, bien que le cycle saisonnier de fonte ait commencé depuis déjà plusieurs semaines. Dans la zone du pôle Nord proprement dite, y compris sa région méridionale comprenant le Groenland, les températures ont été inférieures à la normale ces dernières semaines, persistant en dessous des valeurs climatiques déterminées à partir de la moyenne de référence de la période 1958-2002. Comme l’indique le graphique ci-dessous de l’Institut météorologique danois (DMI) – représentant la courbe (rouge) des températures moyennes journalières de la zone arctique située au nord du 80e parallèle par rapport à la courbe (verte) des valeurs climatiques journalières compilées au cours de ladite période 1958-2002 –, elles commencent à peine à franchir le seuil du point de congélation (273,15 °K, 0 °C, indiqué par la ligne horizontale bleue).
1. Températures et climat arctiques moyens au nord du 80e parallèle nord, en fonction du jour de l’année1
En l’état actuel des choses, à l’encontre de l’intox réchauffiste toujours portée à reprendre du poil de la bête propagandiste en chaque début d’été, la surface de glace groenlandaise continue donc de gagner en épaisseur, avec une accumulation supérieure à la moyenne (suivant un schéma observé depuis 2017, à l’exception de 2019), comme en attestent les données observationnelles climatiques du Polar Portal en Arctique (enregistrant cette année des records de froid pour le mois de juin).
Le Polar Portal effectue des mesures journalières relatives aux conditions de surface de la calotte polaire du Groenland (analysant ses changements d’altitude, à la baisse ou à la hausse, selon les cycles de fonte ou d’épaississement de l’inlandsis), ainsi qu’aux conditions de la glace de mer constituant les banquises (analysant l’étendue ou la diminution de celles-ci).
Alors que nous approchons désormais de la fin de la saison des fontes arctiques, le bilan de l’anomalie de masse accumulée jusqu’à présent au cours de la période annuelle 2021-2022 établit que la couche glaciaire de l’inlandsis groenlandais continue de s’épaissir (depuis début septembre 2021) ; ce qu’illustre le deuxième graphique ci-dessous, en comparant trois courbes – bleue, grise et rouge – pour indiquer respectivement le bilan de la période annuelle en cours (courbe bleue), celui de la valeur moyenne de la période de 1981 à 2010 (courbe grise), et celui de la période annuelle 2011-2012 (courbe rouge) au cours de laquelle a été observée une augmentation, jusqu’ici inégalée, du taux de fonte la calotte arctique.
En toute logique, le bilan massique de surface (SMB, ou Surface Mass Balance en anglais) mesuré quotidiennement (en Gt/jour) corrobore la pente ascendante de l’anomalie actuelle de masse accumulée depuis 10 mois (comme l’illustre le premier graphique ci-dessous) :
2. Bilan massique de surface par jour (entre le 01/09/21 et le 20/06/22)
3. Bilan de l’anomalie de masse accumulée (entre le 01/09/21 et le 20/06/22)
Voici le lien de référence de ces deux graphiques (nous n’avons fait qu’ajouter les signes jaunes d’emphase) : http://polarportal.dk/greenland/surface-conditions.
Tout le monde aura remarqué la tendance évidemment bien calculée des engeances politico-médiatiques à raviver le débat sur le réchauffement climatique avec l’arrivée de l’été (c’est désormais la routine du mois de juin), en dramatisant les phénomènes caniculaires locaux, là où d’autres régions du monde connaissent des phénomènes contraires, eux aussi localisés, de refroidissement (comme on vient de le souligner avec le cas de la calotte polaire groenlandaise). Curieusement, ça marche à chaque fois ! Parce qu’il fait chaud là où les gens se trouvent à un endroit précis du globe, parce que beaucoup ont la mémoire courte et ne prennent pas la peine de vérifier les archives météorologiques ou les données d’observations professionnelles échappant aux manigances de l’ingénierie de la perception, ils en déduisent – par pré-conditionnement médiatique – que nous avons affaire à une situation « sans précédent »2…
Il est notable que les escrocs GIEC-istes et médiatiques du climat ne semblent pas trop s’intéresser aux phénomènes actuels de refroidissement arctique, trop occupés aux « canicules » localisées de certaines régions d’Europe et aux « grandes sécheresses » annoncées (entre autres fléaux) par le Forum économique mondial3, en droite ligne des avertissements lancés en juin dernier par les Nations unies concernant la « prochaine pandémie », celle de la crise mondiale de la sécheresse4.
Nul n’osera douter (sic) que les récentes inondations massives à grêle abondante au Mexique5, entre autres régions des Amériques et du monde, en constituent les premières prémices apocalyptiques immanquables.
Pour conclure sur une note plus sérieuse, c’est bien la chaleur des courants d’eau océanique, sous double influence solaire (provenant d’en haut) et géothermique (provenant des sous-sols marins), qui contribue directement au processus cyclique de fonte des glaces arctiques, laquelle fonte n’a donc strictement rien à voir avec la quantité de CO2 présente dans l’atmosphère. La quantité de chaleur nécessaire pour faire fondre la glace de l’Arctique ne provient pas de l’air ambiant (dont la capacité thermique massique, en J K-1 kg-1, équivaut à moins d’un quart de la capacité thermique massique de l’eau à l’état liquide), dont la quantité volumétrique devrait autrement dépasser tout ce que l’on peut concevoir pour que s’exerce, selon les lois de la physique, le commencement d’une incidence notable sur l’épaisseur de la glace polaire.
L’absurdité de l’imposture du GEIC-isme climatologiste, particulièrement en ce qui regarde les phénomènes de fonte des glaces dans les régions polaires, doit être dénoncée inlassablement. Plus que jamais aujourd’hui, à l’heure où une telle fraude intergouvernementale est en train de provoquer une famine et une paupérisation d’envergure mondiale, en empêchant des centaines de millions de gens de subvenir à leurs besoins énergétiques et alimentaires fondamentaux… pour subvenir, à leur place, à ceux de la planète…
http://ocean.dmi.dk/arctic/meant80n.uk.php
Les grands épisodes caniculaires en France, depuis 2 000 ans, ont été nombreux. Certaines canicules, bien plus sévères que les chaleurs actuelles en Europe, sont restées dans les esprits (moyennant les annales), quoique les experts contemporains n’ont aucun scrupule à faire comme si elles n’existaient pas, pour continuer sur leur lancée dogmatique GEIC-iste, fondement doctrinal du culte et de la fraude climatique réchauffiste officielle. Particulièrement marquantes, parmi beaucoup d’autres, furent la canicule européenne de 1757 et celle, notamment en France, de l’été 1911 (La canicule de 1911 en France : deux mois et demi de fournaise et 40 000 morts | RetroNews – Le site de presse de la BnF). Ce à quoi nous assistons aujourd’hui, en plein mois de juin, n’est certainement pas une situation climatique extrême sans précédent.
https://www.breitbart.com/2022/05/19/eve-of-destructi..
https://www.theguardian.com/2021/06/17/the-next-pande..
https://snowbrains.com/video-mexico-city-pummeled-by-..
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