Le président Donald J. Trump était à Guantanamo Bay mardi pour assister à l'exécution de Nancy Pelosi,

 

Yolande Angibaud

aujourd'hui à 15:49

.........NANCY PELOSI PENDUE A GITMO.........

...Le président Donald J. Trump était à Guantanamo Bay mardi pour assister à l'exécution de Nancy Pelosi, qui a eu lieu à 10h00, ont déclaré des sources du JAG à Real Raw News.

Le président serait arrivé à GITMO à bord d'un hélicoptère Sikorsky VH-3D Sea King de la marine américaine et aurait été escorté jusqu'au lieu de l'exécution à peu près au moment où le personnel de la base a sorti Pelosi de la cellule de six pieds sur neuf dans laquelle elle vivait depuis son arrivée à Guantanamo Bay le 1er décembre

Comme nous l'avons déjà signalé, Mme Pelosi faisait partie d'un groupe de membres de l'État profond arrêtés après avoir assisté à une fête financée par le contribuable et honorant le socialiste Emmanuel Macron. À l'issue d'un long procès militaire, un panel de JAG a reconnu Pelosi coupable de trahison et de conspiration en vue de commettre un meurtre, la condamnant à être pendue par le cou jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Le personnel de Camp Delta a qualifié Pelosi de prisonnière irascible, juste derrière feu Hillary Rodham Clinton, qui, par coïncidence, vivait dans la même cellule avant sa pendaison en avril 2021. Peut-être le poltergeist d'Hillary a-t-il habité la cellule et hanté Pelosi, lui faisant savoir ce qui l'attendait, une vie de damnation éternelle dans les limbes.

Les gardiens de GITMO ont déclaré qu'une Pelosi belliqueuse avait passé sa première semaine d'enfermement à se désintoxiquer de l'alcool. Pelosi, ont-ils dit, s'asseyait en grelottant dans un coin de sa cellule, enveloppée dans une couverture, son humeur oscillant entre la mélancolie et l'intempérance - parfois catatonique, perdue dans ses propres pensées, et parfois indomptable, hurlant dans des accès de rage débridée et urinant même sur le sol de la cellule.

Mais Pelosi n'a pas pu crier et hurler lorsqu'elle a été extraite de sa cage mardi matin, car les gardiens avaient ajouté à son dernier repas, des gaufres et deux boules de glace, un sédatif qui l'a laissée consciente mais maîtrisée, selon notre source. Néanmoins, elle a été bâillonnée et on lui a attaché les bras et les chevilles pour la conduire à la potence.

Le sédatif n'a duré que peu de temps - Pelosi essayait de se libérer lorsque des Marines l'ont tirée d'un Hummer blindé et l'ont accompagnée jusqu'à la volée de marches peu profonde menant à la plate-forme où un soldat en uniforme attendait l'ordre d'actionner l'interrupteur et où un aumônier de la Marine se tenait prêt à donner les derniers sacrements.

Et puis Pelosi a vu le président Trump. Selon notre source, ses yeux se sont rétrécis et elle a tremblé de fureur apoplectique, tandis que le bourreau lui passait la corde au cou.

À côté de Trump se trouvaient le vice-amiral Crandall et un cadre militaire. Selon notre source, Trump a murmuré des mots à l'oreille de l'amiral, mais est resté stoïque et silencieux. Le vice-amiral Crandall a déclaré qu'il se sentait obligé de faire une dernière déclaration aux condamnés et a demandé à Pelosi si elle se comporterait bien s'il ordonnait qu'on lui retire son bâillon.

Il a averti Pelosi que des accès d'acrimonie ne changeraient rien à son sort.

Nancy a acquiescé, et le bourreau a momentanément retiré son bâillon.
"Allez tous vous faire foutre, surtout vous. C'est de votre faute." Elle regardait le président Trump. "Je représente le vrai président. Ce n'est pas Joseph Biden et ce n'est certainement pas vous. Tuez-moi, et je vous hanterai jusqu'à votre dernier jour."

L'amiral a demandé si elle voulait les derniers sacrements.
Nancy s'est tournée vers l'aumônier. "F*** you too."
"Je suppose que c'est un 'non'", a dit l'amiral.
Finalement, le président Trump a pris la parole : "Bon débarras, Nancy."
Nancy Pelosi a été déclarée morte à 10 h 07 HNE, le 27 décembre 2022.
Pour Trump, sa mort a dû être une catharsis ; elle avait comploté pour l’assassiner non seulement lui mais aussi sa famille, y compris son plus jeune fils, Barron.

Des sources ont déclaré à Real Raw News que Trump a visité les suites de l'attaque du jour de Noël. Il a personnellement promis d'aider à "sécuriser GITMO", mais n'a pas expliqué ce que cela impliquait.

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