SON EVICTION OFFICIELLE N'EST PLUS UN SECRET, COMME QUOI LE DEPART DU BENOIT ETAIT BIEN NECESSAIRE EGALEMENT !
BIENTOT BYE BYE FILS DE SATAN !
Les conservateurs du Vatican élaborent un "plan secret" pour évincer le pape François
BIENTOT BYE BYE FILS DE SATAN !
Les conservateurs du Vatican élaborent un "plan secret" pour évincer le pape François
Un cardinal italien a déclaré au journal italien La Stampa : "Le plan secret sera formulé sur différents axes et phases, mais il aura un seul objectif : placer le pontificat sous un tel stress que François devra démissionner."
Suite au décès du pape émérite Benoît XVI le 31 décembre 2022, les conservateurs au sein du Vatican seraient en train de préparer un plan pour évincer l'actuel pape François.
Selon The Telegraph, les conservateurs du Vatican prévoient de soumettre le pape François à "un tel stress" que le pape en exercice serait contraint de démissionner.
Un cardinal italien a déclaré au journal italien La Stampa : "Le plan secret sera formulé sur différents axes et phases, mais il aura un seul objectif : placer le pontificat sous un tel stress que François devra démissionner."
Le cardinal a déclaré que cette campagne dépendrait de "l'affaiblissement progressif du Saint-Père ainsi que de ses choix doctrinaux, ce qui créera un grand nombre de mécontentements qui pourront être utilisés contre lui."
"Les opposants à François savent qu'à l'heure actuelle ils sont minoritaires, qu'ils auront besoin de temps à la fois pour gagner le consensus et pour affaiblir Bergoglio", a-t-il ajouté, notant le nom précédent de François avant de devenir pontife en 2013.
Le pape, âgé de 86 ans, avait déjà déclaré qu'il démissionnerait si sa santé se détériorait, mais cette démission était jugée improbable tant que son prédécesseur était encore en vie, ce qui a conduit à l'événement sans précédent de trois papes vivant au Vatican.
Le décès de Benoît XVI a ouvert la porte aux conservateurs, qui s'opposent à la position du pape François sur des questions telles que l'avortement, l'homosexualité, le célibat des prêtres, le capitalisme et la communion des divorcés remariés, certains le qualifiant de "communiste", pour commencer à s'opposer à lui.
Le cardinal a ajouté que certains des adversaires du pape agiraient "dans l'ombre", tandis que d'autres critiqueraient plus ouvertement le chef de l'Église catholique.
L'un d'entre eux, l'archevêque Georg Gänswein, qui a été le secrétaire personnel du pape émérite Benoît XVI, s'est montré très critique à son égard.
Dans une interview accordée à un journal allemand, il a déclaré que la décision de François de réprimer l'usage de la messe traditionnelle en latin avait "brisé le cœur" du pape Benoît XVI, rapporte The Telegraph.
"Cela l'a frappé assez durement", a-t-il déclaré à Die Tagespost, qualifiant la messe en latin de "trésor spirituel".
Gänswein a déclaré qu'il n'avait jamais été en mesure d'atteindre un "climat de confiance" avec François.
Parmi les autres critiques conservateurs du pape figurent le cardinal américain Raymond Burke et le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, qui était un ami du pape émérite Benoît XVI.
Les partisans du pape François ont admis qu'un fossé se creuse au Vatican entre conservateurs et progressistes. Monseigneur Vincenzo Paglia, président de l'Académie pontificale pour la vie, un département du Vatican, a déclaré : "Il y a des tensions, comme il y en a toujours eu dans l'histoire de l'Église. Elle n'est pas un bloc monolithique".
D'autres ont cependant insisté sur le fait qu'il y a peu de chances dans un avenir proche que le pape François démissionne.
"Il démissionnera s'il n'est plus capable de faire face aux défis de son pontificat, mais pour l'instant il continue", a déclaré Walter Kasper, un cardinal allemand.
"Pour le moment, il n'est pas prêt à se retirer. Il est évident qu'il y a un clash entre les progressistes et les conservateurs, mais nous devons maintenir le dialogue entre les différents points de vue."
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