Nous ne pouvons pas perdre la Chine, affirment les dirigeants de l'UEL'amitié naissante entre Xi Jinping et Vladimir Poutine effraie les dirigeants de l'Union européenne. Ils réservent désormais des vols pour Pékin.
Les dirigeants européens se bousculent soudain pour se rendre en Chine.
Alors que l'on craint de plus en plus que le dirigeant chinois Xi Jinping ne renforce son soutien à la guerre menée par la Russie en Ukraine, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé jeudi qu'il se rendrait à Pékin pour des entretiens la semaine prochaine. Emmanuel Macron, le président français, suivra lors d'un voyage plus long prévu le 4 avril.
Plusieurs dirigeants de l'Union européenne ont profité d'un sommet à Bruxelles pour tirer la sonnette d'alarme concernant le soutien ostentatoire de la Chine à Vladimir Poutine cette semaine, avertissant qu'ils ne pouvaient pas rester les bras croisés pendant que Pékin et Moscou renforçaient une alliance qui risquait de faire basculer le monde dans une crise plus profonde.
Ces préoccupations font suite au voyage très médiatisé de M. Xi dans la capitale russe, qui a renforcé la position de son ami de longue date, M. Poutine.
Il est intéressant cet article de Politico Deep-State parce que au début de l’article ils nous parlent d’amitié naissante entre Poutine et Xi pour nous dire qu’ils sont amis de longue date à la fin de l’article. Sinon une petite remarque : il semblerait que Xi ait trahi les mondialistes qui avaient tous l’air convaincu qu’il était dans leur camp exactement comme avec Elon Musk. Soit il les a trahi, soit il leur a fait miroiter des choses. Georges Soros était tellement furieux qu’il avait déclaré que Xi Jinping était le plus grand ennemi de l’humanité largement devant Poutine et Donald Trump ce qui veut tout dire.https://www.politico.eu/article/we-cant-lose-china-eu..
POLITICO (https://www.politico.eu/article/we-cant-lose-china-eu..)
Nous ne pouvons pas perdre la Chine, disent les dirigeants de l'UE
La bromance naissante entre Xi Jinping et Vladimir Poutine effraie les dirigeants européens. Ils réservent désormais des vols pour Pékin.
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