L’ex patron d’EDF qui était en guerre contre Emmanuel Macron fait l’objet d’un signalement d’Anticor pour prise illégale d’intérêts dans la renationalisation de l’éergiticien.Ses propos avaient irrité Emmanuel Macron qui, d’ailleurs, lui avait répondu en des termes crus. « C’est absolument inacceptable que les gens qui ont eu la responsabilité des travaux de maintenance du parc (expliquent) aujourd’hui que nous n’avons pas pris nos responsabilités, parce que dès les premiers mois de mon premier mandat, nous avons redonné de la visibilité à la filière », s’était emporté le président de la République, faisant allusion à Lévy.
Cette sortie médiatique, en pleine crise du gaz, semblait avoir été très mal digérée par Macron comme nous l’expliquait d’ailleurs France Info. « En principe, Jean-Bernard Lévy aurait dû partir en mars 2023, atteint par la limite d’âge après deux mandats à tête d’EDF. Mais le climat entre la direction du groupe et l’exécutif s’est dégradé à cause des mesures du bouclier tarifaire. Jean-Bernard Lévy n’a jamais accepté que l’État se serve de l’entreprise pour les financer, en l’obligeant à vendre à prix bradé plus d’électricité nucléaire à ses concurrents. Le PDG a même déposé en mai un recours gracieux pour faire annuler ce dispositif », révèle le média français.Sept mois après ce bras de fer tendu entre Jean-Bernard Lévy et l’Etat, on apprend que l’ex patron d’EDF est visé par un signalement d’Anticor (association de lutte contre la corruption en France). Telle est l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 05 avril du journal Le Monde qui nous explique tout en détail.
Jean-Bernard Lévy, l’ancien PDG d’EDF, aurait-il commis une infraction relevant de la prise illégale d’intérêts dans le cadre de la renationalisation d’EDF ? C’est en tout cas la conviction d’Anticor qui, le 21 mars, a déposé un signalement en ce sens auprès du parquet de Paris, lequel a confirmé au Monde, lundi 3 avril, que ce dernier était bien en cours d’analyse. Créée en 2002 par l’ancien juge Eric Halphen et Séverine Tessier, l’association de lutte contre la corruption s’interroge sur l’indépendance de M. Lévy lors d’un vote ayant validé l’OPA de l’Etat alors que l’ancien président est censeur (conseiller avec voix consultative), au conseil d’administration de la Société générale, une des deux banques, avec Goldman Sachs ayant présenté l’offre de l’Etat », rapporte Le Monde.https://lecourrier-du-soir.com/tensions-en-france-lex-patron-..
Cette sortie médiatique, en pleine crise du gaz, semblait avoir été très mal digérée par Macron comme nous l’expliquait d’ailleurs France Info. « En principe, Jean-Bernard Lévy aurait dû partir en mars 2023, atteint par la limite d’âge après deux mandats à tête d’EDF. Mais le climat entre la direction du groupe et l’exécutif s’est dégradé à cause des mesures du bouclier tarifaire. Jean-Bernard Lévy n’a jamais accepté que l’État se serve de l’entreprise pour les financer, en l’obligeant à vendre à prix bradé plus d’électricité nucléaire à ses concurrents. Le PDG a même déposé en mai un recours gracieux pour faire annuler ce dispositif », révèle le média français.Sept mois après ce bras de fer tendu entre Jean-Bernard Lévy et l’Etat, on apprend que l’ex patron d’EDF est visé par un signalement d’Anticor (association de lutte contre la corruption en France). Telle est l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ce 05 avril du journal Le Monde qui nous explique tout en détail.
Jean-Bernard Lévy, l’ancien PDG d’EDF, aurait-il commis une infraction relevant de la prise illégale d’intérêts dans le cadre de la renationalisation d’EDF ? C’est en tout cas la conviction d’Anticor qui, le 21 mars, a déposé un signalement en ce sens auprès du parquet de Paris, lequel a confirmé au Monde, lundi 3 avril, que ce dernier était bien en cours d’analyse. Créée en 2002 par l’ancien juge Eric Halphen et Séverine Tessier, l’association de lutte contre la corruption s’interroge sur l’indépendance de M. Lévy lors d’un vote ayant validé l’OPA de l’Etat alors que l’ancien président est censeur (conseiller avec voix consultative), au conseil d’administration de la Société générale, une des deux banques, avec Goldman Sachs ayant présenté l’offre de l’Etat », rapporte Le Monde.https://lecourrier-du-soir.com/tensions-en-france-lex-patron-..
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