https://x.com/MDIALIBREVRIFI1/status/1766531903308370..
L'assassinat de Mouammar Kadhafi par les services secrets
français.
C'est ce qu'affirme en 2012 Mahmoud Jibril, Président du Conseil exécutif du Conseil national de transition de Libye (CNT) : un agent étranger, "quasi
certainement français", était infiltré avec les brigades
révolutionnaires libyennes pour tuer Kadhafi.
C'est ce qu'affirme Rami El Obeidi, ancien responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères CNT : [Kadhafi] s’était réfugié dans son fief de Syrte. Là, le raïs aurait essayé de communiquer, grâce à son téléphone satellite Iridium, avec certains de ses fidèles ayant
trouvé refuge en Syrie. Or, Bachar El-Assad aurait transmis le numéro de téléphone aux services secrets français." Avant que l’OTAN le localise pour le bombarder.
Le 20 octobre 2011 à 8 h 30, c’est bien un mirage 2000-D français qui pulvérise de deux bombes le convoi de Kadhafi, à la sortie sud de Syrte. Ce dernier en réchappe miraculeusement, mais la tentative d'assassinat d'État, sur ordre de Sarkozy, ne fait aucun doute.
Une fois le convoi stoppé, ce sont cette fois-ci différentes sources européennes qui valident la présence sur zone de commandos des forces spéciales américaines et françaises qui se sont associées pour le traquer. De nombreux articles journalistiques également, divers et concordants, évoquent sans détour, de 2011 à 2021, qu'un agent des services secrets français aurait été activé sur ordre de Sarkozy pour finir le travail.
Parmi eux, archive.almanar.com du 27 octobre 2011 : "C’est confirmé, Barack Obama et Nicolas Sarkozy ont bel et bien ordonné l’assassinat de Mouammar Kadhafi". L’auteur de l’article, Claude Angeli, reprend "la dialectique morbide et mortifère d’un colonel américain du Pentagone s’adressant à son contact des services secrets français qui indique que ce type en vie le transformerait en véritable bombe atomique".
Plus intéressant encore est le mobile du crime.
1/"Sarkozy et Obama redoutaient que Kadhafi rappelle ses excellentes relations avec la CIA ou les services secrets français […], les contrats qu’il offrait aux uns et aux autres".
2/ Kadhafi aurait pu révéler les véritables raisons de l’engagement de Sarkozy à faire la guerre en Libye, à savoir : "obtenir une plus grande partie du pétrole libyen,
accroître l’influence française en Afrique du Nord, améliorer la
situation politique intérieure en France, offrir à l’armée française une chance de rétablir sa position dans le monde, et répondre à l’inquiétude de ses conseillers (dont Alain Bauer) concernant les plans à long terme de Kadhafi consistant à supplanter la France comme puissance dominante en
Afrique de l’Ouest" (mémorandum de Sydney Blumenthal, ancien collaborateur de Bill Clinton et ami d’Hillary Clinton).
Mais aussi le "trésor de Kadhafi" – 143 tonnes d’or et presque autant d’argent, soit 7 milliards de dollars – qui aurait été découvert par les services de renseignement français. Ou encore la création par la Libye d’une monnaie adossée à l’or qui aurait gravement concurrencé le monopole de la banque centrale occidentale.
3/ Kadhafi aurait pu révéler le
financement libyen de la campagne présidentielle de Sarkozy. Sachant que le Renseignement français avait déjà eu vent d’un possible financement libyen avant 2011, selon l’ex-directeur de la DGSE, Alain Juillet (proche d’Alain Bauer), comparant au passage les proches de Sarkozy en Libye à "un milieu de voyous".
4/ Les injures publiques de Kadhafi à l'encontre du Président français : "Ce Sarkozy est un criminel de guerre qui a entaché l’histoire de la nation française et détruit les rapports de son pays avec la Libye et les pays musulmans. C’est un retardé mental. […] En menant une croisade contre le peuple libyen,
il a entraîné son pays dans une guerre perdue. Celui-là n’est pas
français, il faut que le peuple bannisse ce criminel qui n’est pas
français.
[Car] C’est grâce à moi qu’il est arrivé à la présidence".
Toutes sources
L'assassinat de Mouammar Kadhafi par les services secrets
français.
C'est ce qu'affirme en 2012 Mahmoud Jibril, Président du Conseil exécutif du Conseil national de transition de Libye (CNT) : un agent étranger, "quasi
certainement français", était infiltré avec les brigades
révolutionnaires libyennes pour tuer Kadhafi.
C'est ce qu'affirme Rami El Obeidi, ancien responsable des relations avec les agences de renseignements étrangères CNT : [Kadhafi] s’était réfugié dans son fief de Syrte. Là, le raïs aurait essayé de communiquer, grâce à son téléphone satellite Iridium, avec certains de ses fidèles ayant
trouvé refuge en Syrie. Or, Bachar El-Assad aurait transmis le numéro de téléphone aux services secrets français." Avant que l’OTAN le localise pour le bombarder.
Le 20 octobre 2011 à 8 h 30, c’est bien un mirage 2000-D français qui pulvérise de deux bombes le convoi de Kadhafi, à la sortie sud de Syrte. Ce dernier en réchappe miraculeusement, mais la tentative d'assassinat d'État, sur ordre de Sarkozy, ne fait aucun doute.
Une fois le convoi stoppé, ce sont cette fois-ci différentes sources européennes qui valident la présence sur zone de commandos des forces spéciales américaines et françaises qui se sont associées pour le traquer. De nombreux articles journalistiques également, divers et concordants, évoquent sans détour, de 2011 à 2021, qu'un agent des services secrets français aurait été activé sur ordre de Sarkozy pour finir le travail.
Parmi eux, archive.almanar.com du 27 octobre 2011 : "C’est confirmé, Barack Obama et Nicolas Sarkozy ont bel et bien ordonné l’assassinat de Mouammar Kadhafi". L’auteur de l’article, Claude Angeli, reprend "la dialectique morbide et mortifère d’un colonel américain du Pentagone s’adressant à son contact des services secrets français qui indique que ce type en vie le transformerait en véritable bombe atomique".
Plus intéressant encore est le mobile du crime.
1/"Sarkozy et Obama redoutaient que Kadhafi rappelle ses excellentes relations avec la CIA ou les services secrets français […], les contrats qu’il offrait aux uns et aux autres".
2/ Kadhafi aurait pu révéler les véritables raisons de l’engagement de Sarkozy à faire la guerre en Libye, à savoir : "obtenir une plus grande partie du pétrole libyen,
accroître l’influence française en Afrique du Nord, améliorer la
situation politique intérieure en France, offrir à l’armée française une chance de rétablir sa position dans le monde, et répondre à l’inquiétude de ses conseillers (dont Alain Bauer) concernant les plans à long terme de Kadhafi consistant à supplanter la France comme puissance dominante en
Afrique de l’Ouest" (mémorandum de Sydney Blumenthal, ancien collaborateur de Bill Clinton et ami d’Hillary Clinton).
Mais aussi le "trésor de Kadhafi" – 143 tonnes d’or et presque autant d’argent, soit 7 milliards de dollars – qui aurait été découvert par les services de renseignement français. Ou encore la création par la Libye d’une monnaie adossée à l’or qui aurait gravement concurrencé le monopole de la banque centrale occidentale.
3/ Kadhafi aurait pu révéler le
financement libyen de la campagne présidentielle de Sarkozy. Sachant que le Renseignement français avait déjà eu vent d’un possible financement libyen avant 2011, selon l’ex-directeur de la DGSE, Alain Juillet (proche d’Alain Bauer), comparant au passage les proches de Sarkozy en Libye à "un milieu de voyous".
4/ Les injures publiques de Kadhafi à l'encontre du Président français : "Ce Sarkozy est un criminel de guerre qui a entaché l’histoire de la nation française et détruit les rapports de son pays avec la Libye et les pays musulmans. C’est un retardé mental. […] En menant une croisade contre le peuple libyen,
il a entraîné son pays dans une guerre perdue. Celui-là n’est pas
français, il faut que le peuple bannisse ce criminel qui n’est pas
français.
[Car] C’est grâce à moi qu’il est arrivé à la présidence".
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