Un enfant n’est pas un cadeau.
Il n’est pas non plus un compagnon désigné pour un frère ou une sœur, ni le petit-enfant que les grands-parents désirent avec tant de ferveur.
Un enfant n’est pas une tâche à accomplir. Il ne vient pas pour réaliser nos rêves non réalisés, ni pour donner un sens à nos vies. Elle ou il a sa propre vie.
Un enfant ne remplace pas des projets abandonnés ni des personnes perdues. Il n’est le sauveur de personne, ni le remède à une relation.
Un enfant ne vient pas pour combler des vides. Il n’est ni un pansement, ni un compagnon constant, ni un messie.
Un enfant n’est pas le fruit d’un caprice, mais d’un désir profond. C’est une personne avec sa propre vie dès le commencement.
Il arrive avec sa propre empreinte, son tempérament et ses envies d’être.
Nous l’accompagnerons dans sa découverte, lui permettrons de s’exprimer librement, de choisir qui il veut être et ce qu’il aime faire.
Nous accepterons dès le début qu’il ne doit pas répondre à nos idéaux, à nos injonctions ni combler nos vides.
Nous le prendrons dans nos bras, lui prêterons notre corps, lui donnerons la main et laisserons la distance nécessaire pour qu’il explore le monde.
Et bien que cela nous fasse mal de le voir s’éloigner, nous l’attendrons chez nous pour que, s’il revient, il trouve notre étreinte sans reproches, sans culpabilité, remplie de liberté.
Mon enfant, je te libère de l’obligation de me sauver, de prendre soin de moi, de me rendre heureux et de sentir que "tu me dois quelque chose".
Daniel
www.lamagitdureiki.com
Il n’est pas non plus un compagnon désigné pour un frère ou une sœur, ni le petit-enfant que les grands-parents désirent avec tant de ferveur.
Un enfant n’est pas une tâche à accomplir. Il ne vient pas pour réaliser nos rêves non réalisés, ni pour donner un sens à nos vies. Elle ou il a sa propre vie.
Un enfant ne remplace pas des projets abandonnés ni des personnes perdues. Il n’est le sauveur de personne, ni le remède à une relation.
Un enfant ne vient pas pour combler des vides. Il n’est ni un pansement, ni un compagnon constant, ni un messie.
Un enfant n’est pas le fruit d’un caprice, mais d’un désir profond. C’est une personne avec sa propre vie dès le commencement.
Il arrive avec sa propre empreinte, son tempérament et ses envies d’être.
Nous l’accompagnerons dans sa découverte, lui permettrons de s’exprimer librement, de choisir qui il veut être et ce qu’il aime faire.
Nous accepterons dès le début qu’il ne doit pas répondre à nos idéaux, à nos injonctions ni combler nos vides.
Nous le prendrons dans nos bras, lui prêterons notre corps, lui donnerons la main et laisserons la distance nécessaire pour qu’il explore le monde.
Et bien que cela nous fasse mal de le voir s’éloigner, nous l’attendrons chez nous pour que, s’il revient, il trouve notre étreinte sans reproches, sans culpabilité, remplie de liberté.
Mon enfant, je te libère de l’obligation de me sauver, de prendre soin de moi, de me rendre heureux et de sentir que "tu me dois quelque chose".
Daniel
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