lundi 8 juillet 2024

Alerte de 15 minutes pour la ville ! Le plan de l'esclavage révélé alors que 300 millions de vies ont été sacrifiées et que les gouvernements utilisent de fausses données climatiques pour voler des terres !



Alerte de 15 minutes pour la ville ! Le plan de l'esclavage révélé alors que 300 millions de vies ont été sacrifiées et que les gouvernements utilisent de fausses données climatiques pour voler des terres !

8 juillet 2024
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Les villes intelligentes, les villes du quart d’heure et la migration forcée des citoyens ruraux vers les centres urbains ont été minutieusement planifiées pendant des décennies, sous couvert de progrès mais visant fondamentalement le contrôle et la soumission. Il s’agit d’un jeu d’échecs mondial orchestré par des mains invisibles, qui nous manipulent comme des pions vers un avenir où la liberté n’est qu’une illusion.


La Chine a déjà démontré la brutalité de ce programme en déplaçant 300 millions de paysans vers les villes, les privant de leurs terres ancestrales, de leurs moyens de subsistance et de leur dignité. Il ne s’agit pas d’une urbanisation bénigne, mais d’une éradication impitoyable de l’indépendance rurale, forçant les populations à vivre dans des espaces urbains exigus où elles peuvent être facilement surveillées et contrôlées.

Les conclusions explosives de Patrick Wood sur l’Australie et la Nouvelle-Zélande révèlent que le discours sur le climat n’est qu’une façade pour imposer un avenir draconien de villes intelligentes. Ces nations ne sont que des terrains d’essai pour les ambitions techno-totalitaires de l’élite mondiale. Nous en avons été témoins pendant la pandémie de COVID-19 avec les mesures draconiennes prises au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Australie, et ces pays sont désormais à l’avant-garde d’une nouvelle vague de contrôle autoritaire sous couvert d’environnementalisme.

Le projet de « Retraite gérée », dévoilé par la chercheuse indépendante Kate Mason, est un complot sinistre visant à déclarer certaines zones inhabitables sur la base de modèles de changement climatique exagérés. Cette stratégie trompeuse utilise des données fabriquées pour forcer les gens à quitter leurs maisons et à se jeter dans les griffes des technocraties urbaines.

L’industrie des assurances, partie intégrante de cet empire corrompu, déclare ces propriétés « non assurables », dévalorise les terrains et contraint les propriétaires à les vendre à perte. Les banques, complices de ces pratiques, refusent d’accorder des prêts hypothécaires pour ces propriétés, garantissant ainsi que ces zones sont propices au développement de futures villes intelligentes.

À Melbourne, le quartier de Kensington Banks a été qualifié de zone inondable, ce qui a provoqué une chute vertigineuse des prix de l’immobilier. Mason prédit que ce n’est qu’un début, car les promoteurs se préparent à démolir ces zones et à construire de nouveaux complexes urbains intelligents « résilients ». L’objectif est clair : déplacer les habitants, raser leurs maisons et construire des centres urbains surchargés de surveillance.

La Nouvelle-Zélande est confrontée à une attaque similaire, les habitants des zones côtières résistant à l’abandon forcé de leurs maisons sous prétexte de la montée du niveau de la mer. Des vétérans comme Tim Rees et Tania Lees dénoncent ces mensonges, soulignant que les changements naturels ne soutiennent pas les affirmations du gouvernement. Pourtant, le gouvernement, soutenu par les secteurs des assurances et des banques, fait pression pour que les retraits soient organisés, ce qui impose aux contribuables des coûts exorbitants.

Les révélations de Mason relient la modélisation du changement climatique, les politiques d’assurance et la prolifération de logements à haute densité. Ces développements ne visent pas à accueillir des populations mais à les contrôler. Les villes intelligentes, avec leurs systèmes interconnectés et leur surveillance incessante, représentent l’avenir de la vie urbaine où chaque action est surveillée, les données récoltées et les libertés systématiquement supprimées.
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Le rôle de l’Insurance Council of Australia dans ce projet, qui fonctionne selon le modèle de partenariat public-privé et s’aligne sur les Objectifs de développement durable des Nations Unies, n’est pas une coïncidence. Il s’inscrit dans une stratégie plus vaste visant à remodeler la société sous le couvert de la durabilité. La vision des Nations Unies pour les villes intelligentes, exposée dans leur brochure « Centering People in Smart Cities », décrit un avenir dans lequel les gouvernements locaux et régionaux exercent des contrôles draconiens sur leurs populations.

L’étude de 2022 du Conseil australien du climat prédit que d’ici 2030, une maison ou un bâtiment commercial sur 25 ne pourra plus être assuré en raison d’événements météorologiques extrêmes. L’étude prône des « relocalisations gérées » et une augmentation des investissements publics dans la résilience, en plaidant pour la reconstruction des communautés afin qu’elles puissent résister aux futurs changements climatiques. Ce discours, fièrement promu par le Forum économique mondial, est une tentative à peine voilée de normaliser les déplacements de population et la création de villes intelligentes.

L’objectif est évident : consolider le pouvoir, contrôler les populations et transformer le monde en un réseau de villes intelligentes où la liberté n’existe pas. Les preuves sont indéniables, des relocalisations forcées en Chine aux dévaluations immobilières dues au changement climatique en Australie et en Nouvelle-Zélande. Telle est la réalité actuelle. Il est impératif de reconnaître et de résister à cette prise de pouvoir orchestrée avant que les derniers vestiges de notre autonomie ne soient éradiqués.

Les villes du quart d’heure, présentées comme pratiques et durables, ne sont rien d’autre que des ghettos modernes conçus pour nous enfermer dans des limites étroites, où chaque mouvement est suivi et chaque action scrutée. La promesse de quartiers piétonniers et d’équipements de proximité masque une vérité plus sombre : ces villes sont des cages, qui restreignent notre liberté sous couvert d’efficacité et d’écologie.
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La volonté de créer ces prisons urbaines est implacable, menée par une coalition de technocrates et d’élites mondiales qui considèrent l’humanité comme de simples données à gérer et à contrôler. La rhétorique du changement climatique et de la durabilité n’est qu’un écran de fumée pour un programme bien plus sinistre : la création d’un État de surveillance mondial où chacun de nos faits et gestes serait surveillé et où chacune de nos actions serait dictée par une élite irresponsable.

Il est temps d’agir. La dystopie croissante des villes intelligentes menace d’anéantir nos libertés, nos identités et notre humanité même. Nous devons nous lever, résister et revendiquer notre droit de vivre sans surveillance et sans contrôle constants. La bataille pour notre avenir est là, et nous ne pouvons pas nous permettre de la perdre.


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