MIGRANTS ET L'ACCORD DE L'UE.
ON NOUS ENDORT !
NICOLAS DUPONT AIGNAN RÉTABLIT LA VÉRITÉ.
Migrants : l'accord de l'UE signe "la fin de Schengen, la fin d'un système sans frontière nationale" estime Nicolas Dupont-Aignan
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Un bon résumé de ce qui s'est passé ces 2 jours derniers.
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Un bon résumé de ce qui s'est passé ces 2 jours derniers.
Sommet de Bruxelles sur les migrants : une victoire de l'Italie ?
Débat sur le plateau de Points de Vue autour des conclusions du sommet de Bruxelles et les impasses européennes par rapport à la crise migratoire
"Un théâtre de guignols".
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Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, était l'invité, vendredi, de "L'interview politique" sur franceinfo. Il est revenu sur l'accord conclu à Bruxelles sur les questions migratoires.
Les 28 dirigeants de l'Union européenne se sont mis d'accord, jeudi 28 juin, sur plusieurs grands principes censés mieux gérer la crise migratoire. L'accord prévoit notamment d'explorer une "nouvelle approche" controversée avec la création de "plateformes de débarquements". De son côté, l'Italie a annoncé que ses ports "seraient fermés tout l'été" aux bateaux des ONG, y compris pour leur ravitaillement en carburant.
Marseille a accueilli le navire errant pour un ravitaillement.
"C'est la fin de Schengen", a réagi vendredi le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan. "C'est la fin d'un système sans frontière nationale, déguisé, pour sauver la face des dirigeants européens."Selon le député de l'Essonne, le système sera "intenable" et aboutira "au retour des frontières nationales.
" Face aux multiples naufrages de bateaux de migrants en Méditerranée, Nicolas Dupont-Aignan accuse les ONG "d'alimenter la spirale infernale des passeurs." Il plaide plutôt pour "traiter la cause des phénomènes" de migration.
franceinfo : Est-ce que l'accord signé par les 28 est un bon accord ?
Nicolas Dupont-Aignan : Non. Quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup. En vérité, c'est la fin de Schengen, la fin d'un système sans frontière nationale, déguisé, pour sauver la face des dirigeants européens, sur la base du volontariat. C'est un système intermédiaire, intenable, qui aboutira très vite au retour des frontières nationales, où chaque pays est responsabilisé pour éviter les migrations, et où une coopération européenne est indispensable avec les États tiers de l'autre côté de la Méditerranée pour éviter des naufrages.
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