SANS L’IMMIGRATION, CHAQUE FRANÇAIS
SERAIT PLUS RICHE DE 1.500 EUROS PAR AN.
Je reviens sur un sujet existentiel : le plus scandaleux mensonge d’Etat, à savoir cette immigration de masse qui serait une « richesse pour la France », alors que son coût démentiel détruit le niveau de vie des Français et conduit notre pays aux portes du tiers-monde.
Coût = 100 milliards par an, au bas mot ! Premier poste budgétaire !
Sans l’immigration, chaque Français serait plus riche de 1.500 euros par an. Ce qui représente tout de même 6.000 euros pour une famille de 4 personnes !
Gérard Pince avance même le chiffre de 2.000 euros annuels par Français.
Or, chaque Français, bébés compris, est endetté de 32.000 euros, donc 128.000 euros pour une famille de 4 personnes.
En cause, l’immigration de déshérités non qualifiés, totalement inutiles à une économie moderne, avec une croissance molle et 6,5 millions de chômeurs.
32.000 euros de dette par citoyen, c’est 30 années d’immigration démentielle.
Sujet tabou, limite secret-défense. Ni l’Insee, ni l’Ined, ni la Cour des comptes n’ont voulu se pencher sur le sujet. Les Français se font saigner à leur insu.
Pourtant, il faut savoir que le coût de l’immigration est devenu le premier poste du budget de l’Etat, devant l’Enseignement, le budget Défense et la charge de la dette.
Si nos services publics s’effondrent, si nos routes sont délabrées et si la France voit sa dette augmenter chaque année, c’est parce que nous avons des millions d’assistés à charge, toujours plus nombreux. Les caisses sont vides car tout passe dans l’immigration. Ceux qui nient cette réalité sont des menteurs.
6,4 millions de retraités ont perdu entre 380 et 500 euros par an avec la CSG, pendant qu’on paie une retraite à des étrangers n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France.
5 mls de Français n’ont pas de mutuelle et diffèrent leurs soins, mais on dépense 1 milliard par an pour soigner 300.000 sans papiers.
Nous avons 140.000 SDF qui dorment sous les ponts, mais l’Etat loge 43.000 immigrés à l’hôtel, dont 25.000 sans papiers. (+ 206% en 6 ans !!)
L’hébergement d’urgence coûte 3,5 milliards par an.
Diverses études, qui commencent à dater, donnaient déjà une moyenne de 80 milliards par an, ce qui explique notre déficit et représente l’essentiel de notre dette accumulée depuis 30 ans.
Car non seulement nous nous endettons pour financer le poids d’une immigration insuffisamment productive et largement déficitaire pour la comptabilité nationale, mais les intérêts alourdissent gravement la facture.
Toutes les études citées ci-dessous datent d’avant l’invasion de 2015 et sont donc très en dessous de la réalité.
Le chiffre de 80 milliards d’euros est donc la fourchette basse du coût de cette immigration qui coule le pays et va ruiner les Français dans les 30 prochaines années. La vérité est sans doute plus proche de 100 milliards par an.
Jamais la France n’a accueilli autant d’immigrés qu’en 2017. Et à 50.000 euros le mineur isolé, ou 13.000 euros le demandeur d’asile, la facture n’est pas près de s’alléger ! (Cour des comptes)
Chacun peut retrouver les différentes études ci-dessous (Observatoire des migrations), présentées par des auteurs particulièrement qualifiés.
Pierre Milloz, docteur en droit, ancien élève de l’ENA et inspecteur général du Ministère de l’Industrie, fit paraître en 1990 un rapport sur le coût de l’immigration réitéré en 1997.
Jacques Bichot, professeur des universités et membre honoraire du Conseil Economique et Social, et Gérard Lafay, professeur émérite à Paris II, ont, au début des années 2000 dans le cadre de l’Institut de Géopolitique des Populations.
Jean Paul Gourevitch, expert international en ressources humaines, a fait paraître depuis 2008 plusieurs monographies pour Contribuables Associés dont la dernière, la n°27, a été consacrée à ce thème en novembre 2012.
Jean-Yves Le Gallou, ancien élève de l’ENA et haut fonctionnaire, s’inspirant de Maurice Allais a calculé le coût additionnel des 200.000 entrées annuelles d’immigrants.
Yves-Marie Laulan, démographe, géopoliticien, ancien économiste du FMI et de la Banque mondiale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire