dimanche 20 janvier 2019

Antoine Zébulon: Peu importe la difficulté des événements à venir et présents,

Peu importe la difficulté des événements à venir et présents, n'ayez plus peur d'être qui vous êtes, d'incarner la justice peu importe les circonstances et les conséquences car une forme d'oppression ne s'arrêtera pas à une demande de refus de cette dernière. Tous les acteurs sont de concerts. Le résultat est la somme de ces derniers. Ils ont déjà anticipé les révoltes et les tentatives de soulèvement.
La stratégie se doit d'être de taille face à la leur qui est préparée depuis des siècles. ça concerne des siècles d'esclavage sur cette planète. La gauche, la droite on s'en contre carre le ciboulot car c'est l'humain qui exprime sa souffrance et sa volonté de grandir, pas un parti politique ou une quelconque forme de limitation bien que temporaire.


Le réveil est très difficile mais salvateur pour enfin retrouver sa liberté sur cette si belle planète. N'ayez pas peur du sang et de la violence, elle fait partie d'un résultat d'un déni massif, d'une colère trop longtemps gardée en soi. Si il y a incompréhension, il y a souffrance, nous sommes en pleins dedans.
La nouvelle terre se créer dans les cœurs et c'est comme une vague, on peut glisser dessus comme se faire engloutir, chacun y trouve un équilibre en fonction de ses expériences.
On ne peut arriver à une libération de l'humanité sans passer par la tempête inévitable de l'effondrement de siècles de souffrances et d'emprises, les débris font mal, mais le paysage est dégagé. Les humains sont de plus en plus conscients de l'Essentiel mais beaucoup ont nécessité de le comprendre dans le contexte dans la souffrance, car, si elle est vécue en conscience, elle fait grandir et ramène à l'essentiel.
On ne peut juger un situation subjectivement parce que l'on a peur, que l'on redoute, que l'on aime pas ci ça, cela ne dépend pas de nous.
Puissions nous traverser cette tempête de libération avec force, courage et amour. 
Si il y avait quelques mots à dire : Le jeu en vaut tellement la chandelle !