vendredi 19 juin 2020

Étude Deutsche Bank sur les Risques Naturels !


Étude Deutsche Bank sur les Risques Naturels !



Apocalypse, Guerre mondiale, accidents nucléaires, éruptions volcaniques : La Deutsche Bank se penche sur ce qui pourrait arriver !





Filibert : La Deutsche Bankse se penche sur les événements extérieurs qui pourraient arriver, mais il est connu que le séisme le plus important se situera dans la banque elle-même affublée de produits dérivés pourris, d'une valeur supérieure au PIB Allemand, qui pourraient la mettre au tapis et bien d'autres par effet de dominos !
Par cette étude, cherche-t-elle à trouver des alibis pour expliquer son écroulement prochain ?

À bien des égards, 2020 est déjà une année qui a connu pratiquement tous les pires résultats : une pandémie mondiale comme on n’en avait pas vu depuis la grippe espagnole de 1918, un krach des marchés et une récession économique aussi brutale que la Grande Dépression de 1929, une intervention de la Fed qui fait honte au plan de sauvetage de 2008 et, pour couronner le tout, une nouvelle guerre froide.
Mais selon la Deutsche Bank, les résultats de la "grosse queue" ne font que commencer.
Comme l’écrivent "allègrement" les stratèges de la banque Henry Allen et Jim Reid, les risques de crise tels que le Covid-19 sont heureusement rares par rapport aux autres chocs du marché.
Cependant, notent-ils, de tels événements "sont plus fréquents que ce que la plupart des gens pensent, les pandémies n’en étant qu’un exemple.
Dans cet article, nous examinons divers risques de crise qui pourraient provoquer une autre crise mondiale, et nous évaluons la probabilité qu’ils se produisent."
La banque constate ensuite qu’il y a une chance sur trois qu’au moins un des quatre principaux risques extrêmes se produise au cours de la prochaine décennie : une pandémie de grippe majeure tuant plus de 2 millions de personnes, une éruption volcanique catastrophique à l’échelle mondiale, une éruption solaire majeure ou une guerre mondiale.
Cela suppose qu’il y ait un :
2 % (1 sur 50) de probabilité annuelle qu’une pandémie de grippe tue 2,2 millions de personnes
0,15 % (1 sur 667) de probabilité annuelle d’une superéruption volcanique de type VEI-7
1,06% (1 sur 94) de probabilité annuelle d’une éruption solaire aussi importante que celle de Carrington en 1859.
0,625% (1 sur 160) de probabilité annuelle d’une guerre mondiale, une hypothèse inférieure à ce qui s’est produit historiquement mais qui reflète un paysage plus globalement interconnecté et coopératif aujourd’hui.

Si ces probabilités sont indépendantes et que trois des quatre événements sont naturels, alors il y a 33,5 % de chances qu’au moins une guerre ait lieu au cours de la prochaine décennie.
Et si l’on étend cette période à deux décennies, il devient plus probable que non (55,7 %) qu’au moins un de ces événements se produise.
Cette note examine les conséquences possibles de chacun de ces événements, ainsi que certains risques extrêmes encore plus importants qui se sont produits dans le passé et qui pourraient également causer des ravages à l’échelle mondiale s’ils se produisaient aujourd’hui.
Nous présentons ci-dessous un extrait des conclusions du rapport :






Risque n° 1 : Les pandémies !
Comme l’a montré la crise actuelle, les pandémies sont l’une des plus grandes menaces auxquelles nous sommes confrontés.
Cependant, ce qui est particulièrement frappant à propos du Covid-19, c’est qu’il a été en fait relativement bénin par rapport à d’autres pandémies graves au cours de l’histoire. Le bilan mondial de Covid-19 s’élève à plus de 430.000 morts à ce jour.
Mais en fait, c’est moins que les pandémies de mémoire d’homme.
Par exemple, la pandémie de 1957-58, connue sous le nom de grippe asiatique, et la pandémie de 1968, connue sous le nom de grippe de Hong Kong, ont toutes deux été estimées à plus d’un million de morts dans le monde.
C’est plus du double du nombre de décès mondiaux confirmés à ce jour par le coronavirus.
En outre, toutes deux ont eu lieu alors que la population mondiale était inférieure à la moitié de ce qu’elle est aujourd’hui, ce qui rend l’impact par habitant encore plus grave.




Filibert : Avec une alimentation saine, certains compléments alimentaires adaptés, un réseau sanitaire efficace, une eau et un air non pollués, il est possible d'éviter toutes les Pandémies, mais Big Pharma ne veut pas que nous renforçions notre système immunitaire car il vit des maladies et non de la bonne santé !



Suite de l'article, cliquez ici !