Démasqué ! La CIA orchestre des coups d'État et des assassinats dans le monde entier pour saboter les BRICS !
29 juillet 2024
AGENDA CACHÉ
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Dans les bas-fonds de la géopolitique mondiale, un récit sinistre se déroule – un récit méticuleusement orchestré par la CIA, visant à paralyser l’ascension des BRICS et à maintenir la domination incontestée de l’Occident.
Les récents troubles en Bolivie ne sont pas seulement une secousse localisée, mais la manifestation d’une stratégie bien plus sombre et profonde employée par les services de renseignements américains. Le coup d’État avorté contre le président Luis Arce est un exemple flagrant de ce programme impitoyable.
Dépassons la façade de la rhétorique diplomatique et dévoilons la vérité brute et brutale : la CIA a longtemps été la marionnette de l’instabilité mondiale, organisant coups d’État et assassinats avec une précision effrayante et un détachement froid.
Les vastes réserves de lithium de la Bolivie – la bouée de sauvetage de la révolution énergétique verte à venir – sont trop vitales pour que les États-Unis les laissent aux caprices d’un gouvernement qui penche vers les BRICS et, par extension, vers un axe moins contrôlable par l’hégémonie occidentale.
L'orchestration en Bolivie reflète un schéma si souvent répété qu'il est devenu un motif grotesque dans le manuel de stratégie de la CIA. Considérez les implications : au moment même où la Bolivie se rapproche des BRICS, affirmant sa souveraineté et ses alliances potentielles avec des puissances comme la Russie, un coup d'État est déclenché de manière opportune. Le timing ? Impeccable. L'exécution ? Défectueuse, heureusement. Mais l'intention ? Claire comme de l'eau de roche et sinistre.
Il ne s’agit pas d’un acte spontané d’insubordination militaire. Il s’agit d’une manœuvre calculée, encouragée et peut-être facilitée par une CIA connue pour saper les régimes qui osent défier les doctrines économiques et politiques prescrites par les États-Unis. Des rues de Téhéran en 1953 aux couloirs de Santiago en 1973, les ombres des opérations de renseignement américaines s’étendent de façon longue et menaçante.
Le général Juan José Zuñiga, figure du coup d’État, n’était peut-être qu’un pion, préparé pour son rôle, acculé dans un coin par des promesses ou des menaces que seuls ceux qui sont au plus profond du pouvoir peuvent comprendre. Son ascension soudaine et le stratagème qui s’en est suivi en disent long sur les mécanismes secrets à l’œuvre, où des individus sont propulsés sous les feux de la rampe pour être sacrifiés sur l’autel de la stratégie géopolitique.
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Le discours qui envahit les plateformes comme X, autrefois connue sous le nom de Twitter, où les utilisateurs accusent avec véhémence la CIA d’avoir soutenu le coup d’État, témoigne d’une prise de conscience mondiale face à ces tactiques clandestines. Il ne s’agit pas de simples théories du complot, mais des déductions d’une population mondiale de plus en plus consciente des machinations qui manipulent leurs gouvernements et érodent leurs souverainetés nationales.
Ne soyons pas naïfs : l’importance stratégique de la Bolivie va au-delà de ses richesses minières. Elle représente un nœud crucial dans l’influence croissante des BRICS, une coalition qui symbolise le passage à un ordre mondial multipolaire, un défi direct à l’emprise monopolistique longtemps détenue par l’Occident.
En déstabilisant la Bolivie, la CIA souhaite envoyer un message clair et effrayant à toutes les nations envisageant un réalignement géopolitique similaire : s’aligner sur les BRICS et faire face à un chaos orchestré.
L’intervention agressive de la CIA ne vise pas seulement à contrôler le lithium ou à étouffer les alliances. Elle vise à étouffer l’idée même d’un monde où divers blocs économiques peuvent coexister – un monde où le Sud global peut s’élever comme un formidable contrepoids aux puissances traditionnelles. Chaque coup d’État déjoué, chaque régime déstabilisé sert cet agenda plus vaste et plus sombre.
Alors que les dirigeants internationaux expriment leur soutien à Arce et que le ministre bolivien des Affaires étrangères appelle à une position unifiée contre ces forces perturbatrices, nous assistons à la définition des contours d’une bataille plus vaste.
Cette bataille ne se limite pas aux montagnes et aux plaines de Bolivie : c’est une confrontation mondiale contre la tyrannie de l’impérialisme secret, un appel à l’action pour chaque État, chaque citoyen qui rêve d’un monde gouverné par la multiplicité plutôt que par le monopole.
Le scénario qui se déroule en Bolivie est un sombre rappel des efforts que font certaines puissances pour maintenir leur suprématie. Il témoigne des stratégies secrètes, souvent impitoyables, employées pour garantir qu'aucune puissance émergente, aucune coalition comme les BRICS, ne puisse envisager de prendre position sur la scène internationale sans faire face à la subversion.
Il nous faut regarder au-delà des écrans de fumée et du chaos orchestré. Nous devons voir le monde non pas tel qu’il est dépeint dans les reportages et les communiqués diplomatiques édulcorés, mais tel qu’il fonctionne réellement : dans l’ombre, avec des marionnettistes comme la CIA qui tirent les ficelles et façonnent le récit mondial à leur guise.
La bataille pour l’âme de la Bolivie n’est que la dernière escarmouche d’une guerre beaucoup plus vaste : une guerre contre l’émergence d’un monde véritablement multipolaire.
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