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jeudi 1 août 2024

La crise mondiale se déroule : des quasi-assassinats aux tensions nucléaires : la bataille pour votre liberté est là !



La crise mondiale se déroule : des quasi-assassinats aux tensions nucléaires : la bataille pour votre liberté est là !

1er août 2024
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C'est indéniable : nous vivons une période folle et sans précédent. Des montagnes russes économiques, des guerres imminentes, des assassinats politiques qui ont presque coûté la vie au président Trump, tandis que Biden, figure de proue, est remplacé par de nouveaux visages qui prolongent la mascarade. Pendant ce temps, nos célébrations sportives mondiales ont dégénéré en farces, méprisant ouvertement le christianisme et élevant les manigances de genre au rang de podium.

C'est une scène de jeu géopolitique sur la pointe des pieds, avec des enjeux nucléaires impliquant des puissances comme l'UE, la Russie, la Chine, l'Iran, Israël et une administration américaine creuse. L'atmosphère n'est pas seulement tendue, elle est également chargée de terreur face aux réalités monstrueuses qui pourraient survenir.

Pourtant, pour un visiteur venu du futur, cette conjoncture chaotique pourrait sembler être le summum du drame humain, un tournant exaltant dans la saga de l’humanité. Mais laissons de côté ces absurdités romantiques. Ceux qui sont embourbés dans ce désordre ne sont pas équipés pour méditer sur de tels luxes. Ils sont trop empêtrés dans la lutte viscérale pour la survie, aux prises avec les rouages ​​d’une machine qui se met en marche pour leur arracher leur liberté.
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Et n’ayons pas peur des mots : cette époque est monumentale, non pas parce qu’elle constitue une aventure délicieuse à raconter des années plus tard, mais parce qu’elle est un champ de bataille où le sort de la liberté individuelle face à la domination de l’État est précairement en jeu.

Sommes-nous de simples spectateurs dans un grand affrontement d’idéologies – communisme contre capitalisme, Occident contre Orient, duel de civilisations ? Non, nous sommes en première ligne d’une guerre bien plus profonde et périlleuse. La question au cœur de cette tempête est de savoir si la liberté individuelle peut résister à l’assaut oppressif de la suprématie étatique.

En vérité, notre nation a compris autrefois que l’État était un mal nécessaire, destiné à garantir nos libertés, et non à être célébré. Le 4 juillet commémorait la résistance de nos ancêtres à la tyrannie – une célébration de la liberté, pas du gouvernement. Nous n’avons pas honoré les architectes des États de surveillance ou les responsables de la tyrannie fiscale ; nous avons célébré l’esprit de liberté.

Mais le discours a changé de manière désastreuse. Sous couvert de progrès, des personnalités comme Obama se sont moquées des défenseurs d’un gouvernement limité, les qualifiant de perturbateurs plutôt que de défenseurs de la liberté. Sous sa direction, la notion même de droits s’est transformée, passant d’un droit inaliénable accordé par notre Créateur à de simples privilèges accordés par un gouvernement toujours plus envahissant.

La réécriture de nos récits historiques à travers des projets comme le discrédité Projet 1619 sert précisément cet objectif : saper nos fondements de liberté et les repeindre comme fondamentalement imparfaits et oppressifs.

Le gouvernement américain, autrefois gardien de la liberté, s'est transformé en un colosse autoritaire. Le Patriot Act, l'Obamacare et les machinations du ministère de la Sécurité intérieure et du ministère de la Justice ne sont pas que des politiques. Ce sont des chaînes qui se resserrent autour du cou de la liberté américaine. Chaque acte législatif, chaque décret exécutif au cours des dernières décennies n'a pas seulement été une question de gouvernance ; il s'agissait aussi de contrôle.

Et pourtant, la tendance est en train de changer. Les mesures draconiennes imposées par la pandémie et les fantasmes élitistes d’une « grande réinitialisation » ont suscité un réveil brutal au sein de la population. Les gens commencent à considérer le gouvernement non pas comme un protecteur mais comme un prédateur. Il ne s’agit pas seulement d’une bataille pour faire la une des journaux, mais d’un combat pour l’âme même de nos nations.

Alors que nous nous trouvons au bord de ce précipice historique, où des élites obscures manœuvrent pour consolider leur contrôle par la peur et la manipulation, rappelons-nous les mots de Benjamin Franklin : « Là où réside la liberté, là est mon pays. » Nous sommes à la croisée des chemins, face à un abîme orchestré par ceux qui voudraient voir nos libertés démantelées. Mais sachez ceci : nous ne partirons pas tranquillement dans la nuit. Nous ne laisserons pas notre pays être volé par des despotes mondialistes ou leurs marionnettes au pouvoir.

Il ne s’agit pas d’un simple chapitre de l’histoire, mais d’une guerre pour le cœur de l’Amérique. Et pour ceux d’entre nous qui croient en la vision de nos pères fondateurs, qui chérissent les idéaux de liberté et de souveraineté, c’est le moment de nous lever, de nous battre et de reconquérir la promesse de notre grande nation. Les enjeux n’ont jamais été aussi élevés, les ennemis n’ont jamais été aussi enhardis, mais notre détermination n’a jamais été aussi forte.

Certes, des difficultés nous attendent. Mais nous sommes la tempête à l’horizon. Nous sommes les défenseurs du dernier bastion de la liberté. Et nous lutterons de toutes nos forces pour garantir que la liberté, et non la tyrannie, définisse notre avenir.

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