BENJAMIN FULFORD. LA DÉFAITE D’ISRAËL NE SAURAIT TARDER
ALORS QUE L’OTAN LUI RETIRE SA PROTECTION.
le 4 juin 2018
Le changement tectonique du paysage géopolitique mondial se poursuit à un rythme effréné, alors que la Mafia Khazar satanique est évincée systématiquement de tous les centres du pouvoir mondial, selon de multiples sources concordantes. La situation en est arrivée au point où le grand manitou des Khazars, Israël, pourrait bien être bientôt libéré de l’emprise des satanistes, affirment des sources du Pentagone.
En Europe, les changements de gouvernements de la semaine dernière en Italie, en Espagne et en Slovénie, signifient que seul un noyau dur composé de la France, de l’Allemagne et des Pays-Bas demeure sous le contrôle des Khazars, selon les sources.
La libération de l’Occident est nécessaire pour garantir que les négociations entre l’Orient et l’Occident qui se tiendront à Singapour la semaine prochaine ne se terminent pas par un ordre mondial chinois unique en remplacement de la Mafia Khazar au sommet de la hiérarchie mondiale, affirment les sources.
Commençons par examiner la situation d’Israël, où le dirigeant sataniste suprême, Benyamin Netanyahou, à l’instar de son prédécesseur Adolf Hitler, est maintenant réfugié dans un bunker dans l’attente de son inéluctable défaite. La déclaration publique la semaine dernière du Secrétaire Général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, selon laquelle l’alliance ne se porterait pas au secours d’Israël en cas d’attaque par l’Iran a été le signe apparent du changement de régime imminent en Israël.
Plus important encore est ce qui n’a pas été dit, selon des sources du Pentagone, qui est que «l’OTAN ne défendra pas cette entité Sioniste illégitime contre l’ours (Russe)». En tout cas, Netanyahou et son régime ont perdu le soutien de la plupart des vrais Juifs (par opposition aux cercles satanistes), en raison de leur comportement meurtrier.
La dénonciation publique d’Israël se produit alors que l’Arabie Saoudite se prépare à proclamer Mutaib ben Abdullah* comme son nouveau dirigeant, en remplacement de l’agent Sioniste Ben Salman, qui a été assassiné le 21 avril, affirment des sources du Pentagone.
*MUTAIB Ben ABDULLAH BeN ABDULAZIZ, est un des 34 enfants et le troisième fils du Roi Abdullah et de Munira Al Otaishan, né à Riyad le 26 mars 1952. Diplômé de l’Académie militaire de Sandhurst, il a gravi les échelons pour devenir Ministre de la Garde Nationale, chef de la Garde Nationale et Commandant des académies militaires Saoudiennes. En tant qu’officier commandant extrêmement compétent, érudit et ambitieux, entretenant de forts liens professionnels avec les militaires Américains, il est un des principaux candidats à la fonction suprême dans son pays. (Source : Site officiel de la Maison des Saoud).
C’est important parce que cela signifie que le pétrole Saoudien, le principal soutien du pétrodollar, n’est plus aux mains des Sionistes, selon les sources. Il est certain que Ben Salman, qui apparaissait quotidiennement dans la presse jusqu’à ce que des coups de feu ne soient entendus dans son palais le 21 avril, a disparu de la vue du public. Il faudra néanmoins attendre le communiqué officiel pour confirmer ce qu’affirment ces sources.
Cependant, une autre source du Pentagone s’est manifestée la semaine dernière avec des informations de nature à affecter la direction et l’actionnariat de la plupart des multinationales occidentales cotées en Bourse. Selon cette source, les soutiens militaires du gouvernement de Trump envisagent de restituer à Lee Wanta** et ses associés le contrôle de 26.000 milliards de $ de fonds dont ils prétendent avoir été privés illégitimement par la faction Bush de la Mafia Khazar. Wanta a été invité à Washington D.C. cette semaine pour discuter de ces fonds, affirment les sources. «S’ils veulent restituer ces fonds à Wanta, ils vont devoir les reprendre à Vanguard», selon les sources. Vanguard (Bush ?), avec State Street (Rockefeller ?) et Blackrock (Rothschild ?) contrôlent la majorité des multinationales occidentales.
La tentative des militaires Américains de prendre le contrôle de Vanguard, et probablement de State Street et de Blackrock, pourrait faire partie des préparatifs en vue de la confrontation avec l’alliance Eurasienne pour le contrôle du système financier mondial. Dans ce contexte, le sommet de la semaine prochaine entre le Président des États-Unis Donald Trump et le dirigeant Nord-Coréen Kim Jong-Un, aura un enjeu bien plus important que simplement la paix dans la Péninsule Coréenne. Selon les Illuminati Gnostiques, Kim Jong-Un serait en fait … le dirigeant d’une alliance qui contrôle la Chine ainsi que l’essentiel de l’Asie Orientale.
Quoi qu’il en soit à propos de Kim, un regard sur la situation mondiale dans son ensemble ne laisse aucun doute que les États-Unis, dominés par le complexe militaro-industriel occidental, et une alliance Eurasienne vont négocier une nouvelle manière de diriger la planète.
La clé pour savoir qui va sortir vainqueur de la négociation semble de plus en plus être détenue par l’Inde. L’Inde possède une population jeune équivalente en nombre à celle de la Chine qui vieillit rapidement. C’est pourquoi les États-Unis ont essayé de convaincre l’Inde de rallier une alliance avec eux, le Japon, l’Australie et l’Indonésie pour «contenir la Chine». Les États-Unis ont de ce fait renommé leur Commandement du Pacifique en Commandement Indo-Pacifique dans le cadre de leur appel à l’Inde.
Cependant, les Chinois semblent avoir l’avantage, du fait que l’Inde a rejoint la Russie et la Chine en tant que membre de l’Organisation de Coopération de Shanghai, une alliance militaire et économique Eurasienne.
La semaine dernière, le Premier Ministre Indien Narendra Modi, s’exprimant lors du Dialogue de "Shangri La" à Singapour, a déclaré clairement que l’Inde n’était pas intéressée par le jeu des grandes puissances, en affirmant qu’une «Asie des rivalités nous freinera tous. Une Asie de la coopération façonnera ce siècle».
Nous vous recommandons de lire la totalité du discours pas trop long de Narendra Modi grâce au lien ci-dessous :
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