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mardi 5 juin 2018

ISLAMISATION DE LA JEUNESSE FRANÇAISE, DANS DES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES PRIVÉS. Voici la preuve que les Frères Musulmans appartiennent à la secte franc-maçonne.

ISLAMISATION DE LA JEUNESSE FRANÇAISE, 
DANS DES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES PRIVÉS. 
Voici la preuve que les Frères Musulmans appartiennent à la secte franc-maçonne.


Maryam Pougetoux. 
Porte-parole voilée de l’UNEF. 
France. Les preuves du financement saoudien de l’islamisation de l’université par l’UOIF
Les sujets de l’islamisation de l’université, financée hier par des saoudiens, sont devenus aujourd’hui des acteurs de l’islamisation de la jeunesse dans des établissements privés, avec l’aide du Qatar et aussi avec l’argent du contribuable. La stratégie d’islamisation secrète, depuis plus de 30 ans, en phase avec l’agenda de conquête de la frérosalafiste internationale, est toujours en marche !

L’UOIF[1] truste aujourd’hui des financements qataris[2] pour son projet d’islamisation de la jeunesse française, dans des établissements scolaires privés, fédérés au sein de la FNEM (Fédération Nationale de l’Enseignement privé Musulman). La même UOIF était financée par des fonds saoudiens pour islamiser l’université française et former ses futurs cadres selon les standards des Frères Musulmans. Des étudiants des années 1990, fruits de cette islamisation par l’argent saoudien, sont devenus de hauts responsables au sein de la mouvance islamiste, à l’échelle européenne, nationale, régionale et locale. D’autres sont devenus dirigeants et enseignants au sein d’établissements scolaires privés, payés à chaque fin de mois par les deniers publics. Ce billet apporte des preuves matérielles de ce financement saoudien et dévoile, pour la première fois, le contenu exact d’un projet d’islamisation de la société, datant de 1995, depuis l’université française.


Sayyid Qotb et sa "base" solide 
Les premiers Frères Musulmans de l’hexagone ne sont pas nés français. Pour la majorité, ils sont venus des pays arabes - Tunisie, Egypte, Syrie, Algérie, Maroc, Soudan, Palestine, Pakistan, Irak, etc. - poursuivre leurs études dans différentes universités françaises. Ils ont acquis la nationalité, quelques années plus tard, par voie de naturalisation, souvent après mariage avec des femmes françaises musulmanes. Dès leur installation en France, ils ont répandu leur idéologie islamiste dans des mosquées, des salles de prière et dans des campus universitaires.
Dans chaque grande ville universitaire, il y avait des cellules fréristes faisant de la prédication islamiste leur cheval de bataille pour se constituer une « base » solide ; agrandir les rangs ; attirer de nouveaux adeptes et gagner en visibilité. L’islam, ses lieux de culte, ses festivités et sa pratique ont servi de principaux leviers de diffusion et de captation idéologique.
En parallèle, les frères s’accaparaient progressivement de nouveaux « territoires » et avaient mis en place un tissu associatif communicant, à l’échelle locale comme à l’échelle nationale, européenne et mondiale, pour assurer le financement et gérer, au mieux, le quotidien islamiste local en phase avec le projet global du Tanzim international.

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