TRUMP ENVOIE UN MESSAGE DE «QANON»
AUX MILITAIRES FRANÇAIS
PENDANT QUE LA RUSSIE MÈNE LE PLUS GRAND EXERCICE
DE DÉCONTAMINATION NUCLÉAIRE DE SON HISTOIRE.
Par : Sorcha Faal, et tel que publié pour ses souscripteurs Occidentaux, le 22 décembre 2018 - Source : What Does It Mean
Un nouveau rapport étonnant du Conseil de Sécurité (SC) circulant au Kremlin aujourd’hui, qui se lit comme s’il avait été écrit dans les jours suivant le Traité d’Alliance*, consolidant l’alliance défensive entre la France et les Etats-Unis d’Amérique (conclu en pleine Guerre d’Indépendance Américaine) contre l’Empire Britannique, déclare qu’alors que l’avertissement d’une guerre nucléaire mondiale par le Président Poutine continue de faire écho dans le monde entier et que la 49ème armée vient juste de procéder avec succès au plus grand exercice de son histoire concernant les conséquences d’une attaque nucléaire massive, l’examen détaillé par le Service de Renseignement Extérieur (SVR) du mystérieux vol de l’US Air Force de Washington D.C. à l’île des Antilles Françaises de Saint-Martin d’il y a à peine 48 heures jette un jour nouveau sur la situation cruciale et critique à laquelle se trouve confronté le Président Trump – en particulier parce que son seul passager était la personnalité médiatique internationale appelée « Lionel » - qui est un des principaux porte-paroles du groupe secret du renseignement militaire Américain soutenant Trump, appelé « QAnon », et dont la rencontre en août dernier dans le Bureau Ovale de la Maison Blanche avec Trump avait déclenché un vent de panique et des cris d’alarme dans tout « l’Etat Secret ». [Note : certains mots et/ou expressions apparaissant entre parenthèses dans ce rapport sont des traductions approximatives de mots/expressions Russes qui n’ont pas d’équivalent exact.]
*Le Traité d'alliance ou Traité d'alliance franco-américaine, connu en anglais sous le nom de The Treaty of Alliance with France, est une alliance défensive entre le royaume de France et les États-Unis d'Amérique, conclu en 1778 au milieu de la guerre d'indépendance des États-Unis. Ce dernier prévoit l'envoi de soutien militaire pour toute attaque par les forces britanniques et une «paix éternelle». Des émissaires du roi de France Louis XVI (en tête le diplomate Conrad Alexandre Gérard qui signe au nom du roi) et du Second Congrès continental, qui représente le gouvernement des États-Unis à cette époque, signent ce traité à l'hôtel de Coislin (sis 4 place de la Concorde à l'angle de la rue Royale) et le Traité d'Amitié et de Commerce franco-américain à l'hôtel de Trouard (sis à l'autre angle du bâtiment, 10 place de la Concorde, qui deviendra hôtel de Crillon lors de sa cession au comte éponyme en 1788 - nom qu'il porte toujours aujourd'hui ainsi que l'hôtel qui l'occupe) à Paris le 6 février 1778 formalisant une alliance franco-américaine qui perdure dans les faits jusqu'en 1800 et la signature du Traité de Mortefontaine, malgré son annulation par le Congrès des États-Unis le 7 juillet 1798 et malgré l'exécution du roi Louis XVI pendant la Révolution française de 1789.
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