Article assez extraordinaire publié dans le journal Le Monde dans lequel on nous explique que la capitale française est le terrain de jeu favori des services secrets sionistes qui font pratiquement ce qu’ils veulent et agissent à leur guise. 


En d’autres termes, il n’y a absolument plus aucune souveraineté territoriale étant donné que le Mossad se permet d’organiser une opération d’assassinats ciblés à Dubaï ) à partir d’un QG installé dans une chambre d’hôtel parisienne ! On savait déjà que la France était sous domination sioniste puisque la bombe atomique avait été subtilisée sous le nez et la barbe du général De Gaulle grâce à un réseau de sayanim très important, mais force est de croire que cette domination sioniste est encore plus puissante aujourd’hui.

« Cette ville, c’est la cour de récréation du Mossad, se plaint un ancien du service « H » de la DGSI, chargé de surveiller ses agissements en France. Si les Chinois et les Russes sont nos ennemis, il ne faut pas oublier que les Israéliens et les Américains demeurent offensifs. »


Pour résumer la situation, les services secrets israéliens commettent des assassinats ciblés en les préparant sur le sol français sans qu’ils ne soient jamais dérangés par l’État résolument passif et laissant faire depuis des décennies. Ce comportement est extrêmement dangereux car il peut amener des représailles sur le territoire français de la part des personnes ayant été ciblées par le Mossad. Encore une fois, cette complicité criminelle n’a aucune logique et ne sera jamais dans l’intérêt de la France et de son peuple. Tout ceci n’est rendu possible que par la trahison de citoyens français, coupables d’intelligence avec une puissance étrangère, en fait des agents secrets israhelliens dormants, les sayanim !

« Le Monde » consacre une série à des métropoles où se joue le grand jeu de l’espionnage international.
Aujourd’hui, la capitale française, où le service israélien est très actif.
De la fenêtre de l’hôtel, on voit le métro aérien parisien franchir la Seine sur le pont de Bercy. Grâce aux wagons illuminés, on distingue même les passagers. Sur l’autre rive se dessinent les formes imposantes du Palais omnisports. Il est bientôt 17 h 30, ce 19 janvier 2010, et la nuit est déjà là. Mais les personnes présentes dans cette chambre transformée en « QG » opérationnel, avec écrans d’ordinateur et téléphones cryptés, ne sont pas d’humeur à contempler la ville : leur attention est tout entière concentrée sur un autre hôtel, à 7 000 kilomètres de là, l’Al Bustan Rotana de Dubaï, où se joue un scénario digne d’un film d’espionnage.
Les tueurs attendent le feu vert pour franchir le couloir, pénétrer dans sa chambre et lui injecter un produit mortel
Là-bas, dans la chambre 237, leurs collègues du Mossad, le service secret israélien, se tiennent prêts à passer à l’action. Deux équipes de deux tueurs sont mobilisées, soutenues par trois autres agents, dont une femme, chargés de la sécurisation des lieux et de la logistique. Dans la chambre 230, située juste en face, leur cible vient de rentrer de son shopping. Enregistré à son arrivée à Dubaï sous le nom de Mahmoud Abdul Raouf, il s’agit en réalité de Mahmoud Al-Mabhouh, responsable de l’achat des armes pour le Hamas, mouvement islamiste palestinien. Les tueurs attendent le feu vert pour franchir le couloir, pénétrer dans sa chambre et lui injecter un produit mortel.
Leur tâche accomplie, ils quittent l’Hôtel Al Bustan Rotana à 17 h 46, heure de Paris. Le cadavre de la chambre 230 ne sera découvert que dix-sept heures plus tard. Même si les premières conclusions évoquent une mort naturelle, le doute s’installe. Grâce à l’intense réseau de surveillance du pays, les autorités émiraties parviennent à repérer les membres du commando, au total une trentaine de personnes. Juste après l’assassinat, on voit ainsi, sur les images de vidéosurveillance de l’hôtel, deux des tueurs patienter devant l’ascenseur. Par rapport aux images de leur arrivée, le premier a remonté les manches de sa chemise, désormais froissée. Le second a le poignet et la moitié de la main gauche entourés d’un bandage ; sans doute le signe du recours à la force. […]

Jacques Follorou – Le Monde