dimanche 26 avril 2020

L’Institut Pasteur confirme que le Coronavirus n’est pas plus mortel qu’une grosse grippe; réclame bizarrement l’extension du confinement pour tout le temps

L’Institut Pasteur confirme que le Coronavirus n’est pas plus mortel qu’une grosse grippe; réclame bizarrement l’extension du confinement pour tout le temps

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Avril 2020
Finalement, après un mois à prêcher dans le désert, la vérité finit par émerger au sujet de cette grosse grippe : ce n’est qu’une grosse grippe.
Moins de 6% des Français ont été infectés par le coronavirus, un niveau très insuffisant pour éviter une deuxième vague épidémique si toutes les mesures étaient intégralement levées après le 11 mai, selon des estimations publiées ce mardi 21 avril par l’Institut Pasteur.


“Pour que l’immunité collective soit suffisante pour éviter une deuxième vague, il faudrait 70% de personnes immunisées. On est très en-dessous”, explique l’auteur principal de l’étude, Simon Cauchemez. Par conséquent, “au sortir du confinement, si on veut éviter une deuxième vague importante,des mesures doivent être maintenues”, ajoute-t-il.
La perspective d’un rebond de l’épidémieobligera à un déconfinement très progressif à partir du 11 mai, a d’ailleurs prévenu dimanche le Premier ministre Édouard Philippe, selon qui les Français ne retrouveront “pas tout de suite et probablement pas avant longtemps” leur “vie d’avant”.
Réalisée par l’Institut Pasteur en collaboration avec l’agence sanitaire Santé publique France et l’Inserm, l’étude se base sur des modélisations mathématiques et statistiques.
Ces outils permettent de croiser les données sur les décès et sur la probabilité de mourir quand on est infecté, afin de parvenir à une estimation de la part de population infectée (5,7%). “L’intervalle d’incertitude est important, entre 3 et 10%”, note Simon Cauchemez.
Mais “que ce soit 6%, 10% ou même 20%, ça ne change pas vraiment la nature du problème, qui est que dans tous les cas, on sera très loin des 70% dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème”, souligne-t-il.
La faible part de population infectée est due au confinement lui-même, relève l’étude, selon laquelle “le nombre moyen de personnes infectées par un cas est passé de 3,3″ avant le confinement ”à 0,5 pendant”.
Juste pour que les choses soient claires : ces blouses blanches se plaignent que l’immunité collective soit inexistante en France en raison de la petite minorité de Français qui a effectivement été contaminée jusqu’ici.
Ils expliquent ensuite que c’est à cause du confinement de la population si aucune immunité collective n’a pu se former puisque les gens ont justement été isolés pour ne pas contracter le Coronavirus.
Ce qui signifie, grosso modo, que nous sommes certains de retourner à la case départ, i.e. une seconde vague.
Ils en concluent que la seule façon de répondre à l’absence d’immunité collective générée par le confinement est de prolonger le confinement.
Il n’y a que deux options : soit ces gens sont fous soit ce sont des saboteurs stipendiés par des intérêts occultes, lesquels poursuivent un agenda qui n’a aucun lien avec cette grosse grippe.
Le but du confinement, mesure prise par de nombreux autres pays, était d’empêcher un afflux massif de patients au même moment, qui aurait dépassé les capacités du système hospitalier.
Par ailleurs, l’étude estime que 0,5% des personnes infectées meurent. “La létalité varie avec l’âge et le sexe”, commente Simon Cauchemez. “Les hommes sont bien plus à risque de décéder lorsqu’ils sont infectés que les femmes (ils ont un risque 50% supérieur aux femmes) et ce différentiel augmente avec l’âge”, poursuit-il. Ainsi, le taux de décès est de 13% chez les hommes de plus de 80 ans.
Enfin, ces travaux montrent que le risque d’hospitalisation est de 2,6% pour les personnes ayant été infectées. Il augmente fortement avec l’âge pour atteindre 31% chez les hommes de plus de 80 ans.

0,5%

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Et dire que même le chiffre de 3% était ridiculement ridicule.
Mais ce n’est pas 3%, c’est 0,5%.
Si c’est la presse juive qui le disait, c’est que c’était faux
D’après les gens de l’Institut Pasteur, ce virus a bel et bien le taux de létalité d’une grosse grippe et n’affecte que quelques vieillards et quelques gens obèses. Ce n’est pas une extrapolation, c’est exactement la conclusion de leur étude.
Pourtant ces docteurs réclament le maintien du confinement pour soi-disant échapper à cette grosse grippe, confinement dont ils disent par ailleurs qu’il empêche la formation d’une immunité collective sans laquelle ce petit jeu pourrait durer des années.
Je ne suis pas sûr d’être sûr de ce que je lis.
C’est illogique jusqu’à l’absurde.
Peut-être que je ne lis pas ce que je lis. Peut-être que je suis dans une dimension parallèle où j’ai l’impression de lire ce que je lis alors qu’en réalité je ne lis pas ce que pense lire.
Ou alors je lis vraiment ce que je lis et c’est la France qui est devenue, en elle-même, une dimension parallèle.
La presse qui parle de cette étude ne relève même pas l’absurdité de sa logique.
Au contraire, elle en conclut qu’il faut maintenir le confinement pour éviter cette deuxième vague de grosse grippe.
Ces gens ne cherchent même plus à bâtir un semblant de raisonnement cohérent. Ils veulent continuer à alimenter la psychose collective pour maintenir ce confinement. Si d’aventure le confinement est réduit le 11 mai, ce sera de 10% et ça ne sera que temporaire.
Cela recommancera à l’automne. Puis au printemps 2021.
Parce que le véritable but de ce confinement est d’instaurer une dictature sanitaire aux mains des cercles globalistes et que cette grosse grippe qui tue quelques vieux est une excuse.

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