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  Christine Rousseau Aujourd'hui à 9:27 Vous vous êtes abonné John Fitzgerald Kahlooni Jr. Aujourd'hui, j'attends que l'huma...

jeudi 2 juillet 2020

Qui est « Q »?

Qui est « Q »?
Les alternos politiques affirment que « Q » est une équipe composée de gens du renseignement et de l’armée américaine qui ont fait faux bond i.e. qui se sont rebellés contre leur hiérarchie et qui travaillent maintenant contre l’état profond qui contrôlait, un doigt dans le nez, les gouvernements et les institutions publiques jusqu’en 2016. On nomme souvent ces rebelles des « white hats », des chapeaux blancs. J’adhère en partie à cette affirmation.

Ce sont donc eux (et pas uniquement le président américain comme croient certains !) qui ont élaboré la stratégie pour, dans un premier temps, faire élire Trump et, par la suite, détruire cet état profond. Il serait très naïf et de croire que cette stratégie s’est uniquement faite la veille des élections de 2016. « Q » travaillait dans l’ombre depuis longtemps déjà. Il existait donc une « organisation », à tout le moins, un leadership fort, pour réunir cette élite de l’intelligence et de l’armée. Ce commandement était excessivement bien structuré et travaillait déjà en coulisses bien avant qu’on aille voir Trump pour lui proposer le poste qu’il occupe présentement. Qui ou quoi pouvait rallier ces hauts gradés?
Bien souvent, les présidents américains sortent d’un chapeau quelques mois avant les élections. On ne les a pas vu avant et puis, soudain, pouf, ils prennent les devants de la scène, deviennent populaires et se font finalement élire. La presse organise le tout. C’est le cas, entre autres des Clinton et de Obama. Ce ne sont pas des gens qui ont traîné des années dans l’opposition et gravi les échelons un à un comme c’est le cas, par exemple, au Québec. J’imagine ailleurs aussi.
Trump aussi, pouf, il s’est fait élire. Bien qu’il eût des vues politiques depuis longtemps, son accession au pouvoir a surpris tout le monde. Comme il ne fait pas partie du sérail de l’état profond, c’est d’autant plus surprenant. Comment a-t-il pu se faire élire alors? Il faut bien se rendre compte qu’il a réussi malgré le fait que toute la machine électorale et la presse est sous contrôle de l’état profond depuis belle lurette. Comment a-t-il pu déjouer ces gens pour « rentrer » comme on dit au Québec? Qui a été assez intelligent pour piéger ceux qui piègent depuis des dizaines, des centaines d’années? C’est pratiquement inhumain, non?
Creusons donc le sujet et commençons à nous servir de notre gros bon sens au lieu de strictement notre logique.
On connaît la CIA, le FBI et la NSA, entre autres, comme services de renseignements américains. Ce qu’on sait moins – ou ignore simplement – c’est que chaque corps d’armée (terre, air, mer) possède également son service d’intelligence. ET TOUS CES SERVICES SE COMPÉTITIONNENT L’UN CONTRE L’AUTRE POUR ACQUÉRIR LE PLUS DE POUVOIR POSSIBLE (LIRE : EN SAVOIR PLUS QUE L’AUTRE ET DOMINER). LEUR COLLABORATION EST QUASI NULLE ! Pour une, la CIA, à cause de flous dans la loi qui l’a créée et sous prétexte de sécurité nationale, n’a jamais été sous l’autorité de la présidence. Sous l’autorité de qui alors?
Il est de notoriété publique que ce sont les Marines qui sont allés chercher Trump. C’est le corps d’armée le plus proche des présidents, celui qui est le plus loyal envers ce poste.
Michaël Salla possède un doctorat. C’est un ancien prof d’uni, spécialiste en politique internationale, notamment américaine. Il anime maintenant depuis quelques années son site : exopolitics.org. Il a écrit de nombreux livre dont 3 sont notamment traduits en français et publiés aux éditions Ariane, à Outremont, au Québec. Il se penche particulièrement sur la relation des dirigeants de notre monde avec des représentants de civilisation stellaires. À la lecture de ses livres et des articles qu’il publie régulièrement sur son site, on apprend que les Marines ont toujours entretenu une relation particulière et suivie avec certaines d’entre elles, notamment celle qui a rencontré le président Eisenhower et que l’on désigne habituellement sous le nom de « Nordiques ». Pour s’en convaincre, on visionne ou lit les articles concernant William Tompkins, un lanceur d’alerte, dont parle Salla.
Il devient alors un secret de polichinelle de se rendre compte que des gens d’ailleurs épaulent « Q » et sont, probablement, de grands conseillers sur la stratégie à employer pour faire élire quiconque et le protéger par la suite. Cela explique bien la « perfection » de chaque mouvement de l’équipe de Trump (parce que Trump n’est que le messager, le mec de la com, le vendeur en quelque sorte, dans l’équipe). Ça explique également pourquoi le président américain n’a pas encore été assassiné ! Pour ces civilisations stellaires, nous sommes des petits enfants à éduquer. Une autre civilisation stellaire qui nous côtoie maintenant depuis 70 ans, les Ummites, affirment qu’il ne faudrait que 200 d’entre eux pour contrôler la Terre. Ils ont compris comment fonctionne Internet en 1 h 30. Combien de temps pensez-vous que ça leur prendrait pour contrôler la toile? Facebook? On peut tout savoir des Ummites en quelques clics de souris.
Quel est l’intérêt des « Nordiques » dans tout cela? Cette civilisation stellaire, beaucoup plus ancienne que la nôtre et plus spirituelle, n’a qu’une raison d’exister : aider les autres civilisations dans l’univers. Or, comme la Terre est sur le point d’ascensionner i.e. de s’élever en 5è densité, son rôle est de faire en sorte qu’un maximum d’individus réussissent cette ascension.
PS : Certains alternos politique sont en pamoison devant Trump et ses coups d’éclats. Effectivement, il fait un bon job. Par contre, il faut bien se rendre compte que Poutine a réussi à mâter l’état profond dans son pays depuis longtemps déjà et qu’il travaille depuis 2008, avec ses collaborateurs du BRICS, à mettre sur pied un nouveau système de fonctionnement planétaire (qui n’est pas du tout le NOM !).
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Le chef d’état de mon pays, pour une raison surprenante, est évacué de son poste. Tout se passe dans la paix, le calme. C’est l’ordre des choses et cela me convient parce que je l’ai choisi.
S’installe à la place un pouvoir de transition qui nous amène dans un monde où la justice et l’honnêteté règnent; où la prospérité se voit partout où l’on pose les yeux.
Prospérité matérielle, intellectuelle, spirituelle. Le bonheur se retrouve dans chaque regard.
Je me sens enfin chez moi.