Dans un message posté sur son compte Telegram ce mardi 7 juin, l’ancien président russe Dmitri Medvedev n’y est pas allé de main morte contre la troïka satanique USA-OTAN-UE :
« Je les déteste », écrit Medvedev. « Ce sont des bâtards et des dégénérés. Ils veulent la mort pour nous, pour la Russie. Et tant que je vivrai, je ferai tout pour les faire disparaître. »
« L’Occident est odieux, criminel et immoral » poursuit l’ancien président, ajoutant : « La Russie a assez de puissance pour remettre à sa place tous ces ennemis déchaînés contre notre pays ». A bon entendeur ?
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Un point de vue que nombre d’ « Occidentaux par la force des choses » partagent totalement. La Russie a résisté à plus de 70 années de nihilisme bolchevique :
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Après l’effondrement du régime communiste, l’économie russe a été cédée à l’encan à une cinquantaine d’oligarques – dont on remarquera qu’une grande partie possédait également la citoyenneté israélienne –. Une grave crise économique a entraîné une forte augmentation des inégalités économiques entre 1988-1989 et 1993-1995. Le PIB de la Russie était la moitié de celui affiché par l’URSS au début des années 1990. Après des années d’errement, sous Gorbatchev puis sous Eltsine (cf. le groupe des sept banquiers qui possédait à lui seul la moitié de la richesse russe), la Russie a trouvé en Vladimir Poutine l’homme providentiel qui l’a fait renaître de ses cendres.
Dès le début de son mandat présidentiel, Vladimir Poutine afficha de façon déterminée son intention de lutter contre la maffia des oligarques, dont la mainmise sur l’économie russe a plongé le peuple dans la misère et le désespoir. La plupart de ces oligarques ont été mis au pas ou poursuivis par la justice et condamnés. Quelques-uns, tels Boris Berezovski ou Vladimir Goussinski, se sont enfuis à l’étranger.
Grâce au volontarisme de Vladimir Poutine, la Russie s’est relevée économiquement et militairement :
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Le peuple russe a retrouvé sa fierté nationale. La législation ainsi que la réglementation financière et économique ont fait des progrès notables. Les réseaux sociaux jouissent d’une plus grande liberté en Russie qu’en France. De nombreux blogueurs émettent depuis des plateformes russes. C’est le cas de notre site, Riposte Laïque, qui aurait été interdit depuis belle lurette s’il était resté en France. L’internet russe est beaucoup plus contestataire que ne l’est l’internet français.
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La folle politique belliciste des faucons de l’Otan et de leurs valets européens, à l’encontre de la Russie, a transformé la colombe Medvedev, dont les positions étaient relativement pro-occidentales lorsqu’il était président de la Fédération de Russie de 2008 à 2012, en un farouche ennemi – et avec juste raison – du bloc atlantiste.
Que M. Medevedev sache que la Russie a de nombreux alliés en Occident, et que tous les Européens, malgré le déluge de propagande qu’ils subissent quotidiennement de la part des médias aux ordres, désapprouvent formellement la politique va-t’en guerre des Etats-Unis et de l’Union européenne dans l’affaire ukrainienne.
Il suffit de jeter un œil sur l’extension progressive de l’Otan aux frontières de la Russie pour voir qui dans l’affaire est le véritable « pousse au crime » :
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Comme le dit fort bien Jacques Guillemain dans cet article :
Les Occidentaux peuvent nier les promesses de non-élargissement faites à Gorbatchev en 1991,
Ils peuvent nier que Gorbatchev a accepté la réunification de l’Allemagne sous réserve de ne jamais élargir l’Otan à l’Est,
Ils peuvent nier les multiples violations des accords de Minsk, censés assurer la paix au Donbass,
Ils peuvent nier les 14 000 morts du Donbass entre 2014 et 2022,
Ils peuvent nier que l’Ukraine préparait son offensive contre les séparatistes pour le 8 mars 2022,
Ils peuvent nier qu’il y ait des nazis dans l’armée ukrainienne, tout en voyant un nid de nazis chez Reconquête ou au RN,
Ils peuvent nier les exactions et crimes de guerre perpétrés par le régiment Azov au Donbass, dénoncées par Amnesty International et Human Right Watch,
Ils peuvent nier que Zelensky soit un mafieux corrompu, cité dans les Panama Papers,
Ils peuvent nier que ce que refuse Poutine, c’est exactement ce que Kennedy a refusé à Cuba en 1962,
Ils peuvent livrer à Kiev des armes sophistiquées qui tueront des soldats russes,
Ils peuvent monter toutes les scènes de crime de guerre imaginables pour diaboliser les soldats russes,
Ils peuvent mettre la Russie au ban des nations et l’accuser de tous les maux,
Ils peuvent multiplier les sanctions illégales,
Ils peuvent piller les réserves de change de la banque de Russie,
Ils peuvent traiter tous les Russes comme des pestiférés,
Ils peuvent humilier les sportifs et les artistes russes en les écartant des compétitions internationales et du monde de la culture,
Ils peuvent diaboliser Poutine, ils peuvent vociférer que c’est un fou et un boucher, ils peuvent rêver de sa destitution, ils peuvent tout dire et tout faire…
Mais rien n’empêchera Poutine de gagner cette guerre, parce que pour lui, la sécurité de la Russie exige tous les sacrifices et que 90 % des Russes sont sur la même longueur d’onde. »
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Henri Dubost
In girum imus nocte ecce et consumimur igni
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Un point de vue que nombre d’ « Occidentaux par la force des choses » partagent totalement. La Russie a résisté à plus de 70 années de nihilisme bolchevique :
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Après l’effondrement du régime communiste, l’économie russe a été cédée à l’encan à une cinquantaine d’oligarques – dont on remarquera qu’une grande partie possédait également la citoyenneté israélienne –. Une grave crise économique a entraîné une forte augmentation des inégalités économiques entre 1988-1989 et 1993-1995. Le PIB de la Russie était la moitié de celui affiché par l’URSS au début des années 1990. Après des années d’errement, sous Gorbatchev puis sous Eltsine (cf. le groupe des sept banquiers qui possédait à lui seul la moitié de la richesse russe), la Russie a trouvé en Vladimir Poutine l’homme providentiel qui l’a fait renaître de ses cendres.
Dès le début de son mandat présidentiel, Vladimir Poutine afficha de façon déterminée son intention de lutter contre la maffia des oligarques, dont la mainmise sur l’économie russe a plongé le peuple dans la misère et le désespoir. La plupart de ces oligarques ont été mis au pas ou poursuivis par la justice et condamnés. Quelques-uns, tels Boris Berezovski ou Vladimir Goussinski, se sont enfuis à l’étranger.
Grâce au volontarisme de Vladimir Poutine, la Russie s’est relevée économiquement et militairement :
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Le peuple russe a retrouvé sa fierté nationale. La législation ainsi que la réglementation financière et économique ont fait des progrès notables. Les réseaux sociaux jouissent d’une plus grande liberté en Russie qu’en France. De nombreux blogueurs émettent depuis des plateformes russes. C’est le cas de notre site, Riposte Laïque, qui aurait été interdit depuis belle lurette s’il était resté en France. L’internet russe est beaucoup plus contestataire que ne l’est l’internet français.
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La folle politique belliciste des faucons de l’Otan et de leurs valets européens, à l’encontre de la Russie, a transformé la colombe Medvedev, dont les positions étaient relativement pro-occidentales lorsqu’il était président de la Fédération de Russie de 2008 à 2012, en un farouche ennemi – et avec juste raison – du bloc atlantiste.
Que M. Medevedev sache que la Russie a de nombreux alliés en Occident, et que tous les Européens, malgré le déluge de propagande qu’ils subissent quotidiennement de la part des médias aux ordres, désapprouvent formellement la politique va-t’en guerre des Etats-Unis et de l’Union européenne dans l’affaire ukrainienne.
Il suffit de jeter un œil sur l’extension progressive de l’Otan aux frontières de la Russie pour voir qui dans l’affaire est le véritable « pousse au crime » :
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Comme le dit fort bien Jacques Guillemain dans cet article :
Les Occidentaux peuvent nier les promesses de non-élargissement faites à Gorbatchev en 1991,
Ils peuvent nier que Gorbatchev a accepté la réunification de l’Allemagne sous réserve de ne jamais élargir l’Otan à l’Est,
Ils peuvent nier les multiples violations des accords de Minsk, censés assurer la paix au Donbass,
Ils peuvent nier les 14 000 morts du Donbass entre 2014 et 2022,
Ils peuvent nier que l’Ukraine préparait son offensive contre les séparatistes pour le 8 mars 2022,
Ils peuvent nier qu’il y ait des nazis dans l’armée ukrainienne, tout en voyant un nid de nazis chez Reconquête ou au RN,
Ils peuvent nier les exactions et crimes de guerre perpétrés par le régiment Azov au Donbass, dénoncées par Amnesty International et Human Right Watch,
Ils peuvent nier que Zelensky soit un mafieux corrompu, cité dans les Panama Papers,
Ils peuvent nier que ce que refuse Poutine, c’est exactement ce que Kennedy a refusé à Cuba en 1962,
Ils peuvent livrer à Kiev des armes sophistiquées qui tueront des soldats russes,
Ils peuvent monter toutes les scènes de crime de guerre imaginables pour diaboliser les soldats russes,
Ils peuvent mettre la Russie au ban des nations et l’accuser de tous les maux,
Ils peuvent multiplier les sanctions illégales,
Ils peuvent piller les réserves de change de la banque de Russie,
Ils peuvent traiter tous les Russes comme des pestiférés,
Ils peuvent humilier les sportifs et les artistes russes en les écartant des compétitions internationales et du monde de la culture,
Ils peuvent diaboliser Poutine, ils peuvent vociférer que c’est un fou et un boucher, ils peuvent rêver de sa destitution, ils peuvent tout dire et tout faire…
Mais rien n’empêchera Poutine de gagner cette guerre, parce que pour lui, la sécurité de la Russie exige tous les sacrifices et que 90 % des Russes sont sur la même longueur d’onde. »
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Henri Dubost
In girum imus nocte ecce et consumimur igni
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