mardi 26 juillet 2022

Pendant ce temps au Canada

 

Kyra Drg
Pendant ce temps au Canada

« Des menottes comme celles-co ont été utilisées pour emporter des enfants des Premières Nations à leur famille et dans les écoles pensionnats où ils subissaient de terribles abus. 6 000 de ces enfants sont morts dans ces écoles.


Nous devons arrêter de faire semblant que cela n’est pas arrivé. »

Non, elles n’existent pas en tant que simple décoration. Ces chiffres sont également un estimé sur ce que l’on SAIT. Combien encore qu’on ne sait PAS. Les coupables ne sont nul autre qu’[eux].

t.me/LesPatriQts
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On précise avec l’article précédent : il y a beaucoup de cas de disparition d’enfants des Premières Nations qui ne sont jamais revenus à leur famille dont on ne sait pas où ils sont allés qui ont été rapportés et compilés avec le temps, au moins quelques dizaines de milliers.

Nous avons récemment vu des histoires concernant des corps d’enfants décédés enfouis dans des sites de l’Ouest canadien, mais il en reste d’autres sites à découvrir, sans aucun doute. Ces quelques milliers de morts ne sont que la pointe de l’iceberg.

Un réel génocide contre les Premières Nations a eu lieu et [ils] ont voulu (et veulent encore) à tout prix le cacher. Ces enfants des Premières Nations ont subit des sévices incroyables qui visaient à « briser » les générations futures et celles à ce moment-là. Lorsque l’on vit des traumatismes dans l’enfance qui ne sont pas « soignés » ou pris en charge rapidement, ils peuvent causer des dommages générationnels à plus long terme qui se perpétuent de génération en génération. Même que beaucoup plus de gens qu’on peut le penser en sont atteint et le passe à leurs enfants, et ainsi de suite. En guérissant nos propres traumatismes, nous permettons à toute une lignée de génération de guérir : ce pourquoi l’introspection et le travail sur soit est PRIMORDIAL.

[Ils] visaient à couper complètement ces enfants de leurs familles au niveau de la culture, des liens familiaux, des langues ou dialectes mais surtout à stopper la transmission du savoir ancestral et de la spiritualité.

Traditionnellement, le savoir ancestral se transmet surtout oralement par les aînés qui sont respectés vers les plus jeunes qui apprennent. Cette chose précieuse était une arme contre [eux], car ils ne pouvaient pas instaurer leur « matrice » comme nous l’avons aujourd’hui. Les Premières Nations savaient (ainsi que de nombreux peuples « anciens » sur terre, provenant de d’autres continents) qu’il ne fallait pas abandonner ce savoir ancestral et cette spiritualité, coûte que coûte. Ce savoir ancestral comprend entre autre nos origines (sur plusieurs plans), des moyens de se soigner avec la nature, comment vivre en communauté et bien d’autres choses.

[Ils] ne veulent absolument PAS que nous ayons accès à tout ça. [Ils] veulent que nous restions dans l’ignorance de notre pouvoir, notre force intérieure. [Ils] nous veulent divisé entre nous et déconnecté de notre âme et de la spiritualité.

Peut-être que maintenant vous comprendrez mieux comment les Premières Nations ont eu raison de se battre pendant toutes ces années contre les gouvernements et comment ils en ont souffert. Nous devons retourner aux sources et ils peuvent certainement nous y aider, car plusieurs d’entre eux ont su protéger ce savoir ancestral et se souviennent.

Nous devons tous nous souvenir.
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Les traumatismes générationnels

« Ne sous-estimez jamais un briseur de cycle.

Non seulement ont-ils vécu des années de traumatisme générationnel, mais ils ont fait face au traumatisme et se sont battus pour dire : « Cela s'arrête avec moi. «

C'est courageux. C'est puissant. Cela a un coût important.

Ne sous-estimez jamais un briseur de cycle. »

« La douleur traverse les lignées familiales jusqu'à ce que quelqu'un soit prêt à la guérir en lui-même. En traversant l'agonie de la guérison, vous ne transmettez plus le calice empoisonné aux générations suivantes. C'est un travail incroyablement important et sacré. »

t.me/LesPatriQts
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