LES INCENDIES ET SÉCHERESSES SONT UNE VOLONTÉ POLITIQUE POUR NOUS IMPOSER LEUR NOUVEL ORDRE MONDIALE... Voici les preuves
En 2009 Pékin réalise des épandages (chemtrails) en provoquant artificiellement des chutes de neige dans le but de lutter contre la sécheresse prolongée...
En 2009 Pékin réalise des épandages (chemtrails) en provoquant artificiellement des chutes de neige dans le but de lutter contre la sécheresse prolongée...
Et en 2022 tous les incendies partout dans le monde ... RIEN CQFD.
Voir article.
Article :
A Pékin, des chutes de neige sont provoquées artificiellement pour lutter contre la sécheresse
La "manipulation" décidée par les autorités chinoises est l'objet de nombreuses critiques.
A défaut de pouvoir contrôler le temps qui passe, les Chinois s'efforcent de maîtriser le temps qu'il fait : les autorités pékinoises l'ont prouvé en provoquant artificiellement des chutes de neige dans le but de lutter contre la sécheresse prolongée sévissant dans la région de la capitale. Les habitants se sont réveillés, dimanche 1er novembre, sous les flocons, ce qui a permis au quotidien anglophone Global Times de titrer, en "une" de son édition locale : "Halloween blanc sur Pékin".
Mais cette opération a déclenché une tempête de critiques : les 17 millions de Pékinois n'avaient pas été prévenus et la neige a provoqué de nombreux accidents de circulation, cloué deux cents avions au sol et transformé les immeubles en glacières, selon les médias chinois. "La décision arbitraire du gouvernement n'a pas pris en compte les intérêts de la population, affirmait, mercredi 4 novembre, le China Daily. On devrait réfléchir aux dangers potentiels de la dispersion de produits chimiques dans les nuages."
Secret d'Etat
La technique pour provoquer des précipitations est assez simple. Les Chinois y ont recours avant des cérémonies telles que les fêtes nationales, afin d'éviter que des intempéries ne viennent gâcher les festivités. Samedi 31 octobre, quelque 150 fusées contenant de l'iodure d'argent ont été tirées dans les nuages depuis huit endroits. Ce produit chimique provoque une réaction qui fait tomber la pluie... ou la neige. Et comme la température a chuté, peu après, à - 2 °C, il s'est mis à neiger sur Pékin, les provinces avoisinantes du Hebei, du Liaoning, de Jilin et sur la ville de Tianjin.
Mais la baisse brutale des températures ne s'est pas accompagnée de la mise en route du chauffage central pour les habitants des immeubles gérés par la municipalité. Les services de chauffage de la capitale ont dû se mobiliser de toute urgence pour mettre en route le chauffage dans les résidences, bien avant la date réglementaire du 15 novembre.
Le département à l'origine de cette affaire possède une appellation quasi orwelienne : le Bureau de modification du climat dans Pékin. C'est son directeur, Zhang Qiang, qui a révélé la "manipulation", affirmant dans la presse qu'il "faut saisir toutes les occasions pour augmenter les précipitations, car il n'est pratiquement pas tombé une goutte de pluie sur Pékin en octobre". La saison des pluies s'achève fin août et les pluies se font plus rares en automne.
Les questions relevant du contrôle du climat restent-elles partiellement considérées comme secret d'Etat en Chine, de la même manière qu'avant les Jeux olympiques d'été de 2008, les responsables du Bureau de la qualité de l'air avaient reçu ordre de ne pas divulguer les taux de pollution dans Pékin ?
Les articles publiés par l'agence de presse China News et reproduits dans Le Quotidien du peuple ne disent pas que la neige du 1er novembre a été déclenchée de manière artificielle : ils mettent en lumière le fait qu'il n'avait pas neigé sur Pékin aussi tôt dans la saison depuis vingt ans, mais soulignent que "le degré de probabilité de neige reste, début novembre, de 21 %".
Bruno Philip
https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/11/06/a-p..
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