Article épinglé

Aujourd'hui, j'attends que l'humanité commence à voir la vraie vérité.

  Christine Rousseau Aujourd'hui à 9:27 Vous vous êtes abonné John Fitzgerald Kahlooni Jr. Aujourd'hui, j'attends que l'huma...

lundi 22 juillet 2024

Révélé : les traitements contre le cancer cachés que Big Pharma vous a cachés !



Révélé : les traitements contre le cancer cachés que Big Pharma vous a cachés !

22 juillet 2024
MÉDICAL
Des organisations et institutions puissantes tentent activement de censurer Gazetteller.com. Nous vous encourageons vivement à partager cette information avec le monde entier.

PARTAGER



Les tumeurs, ces gardiennes silencieuses nichées dans le corps humain, recèlent une vérité si évidente, mais systématiquement occultée par un système médical avide de profit. Pour le patient qui ne se doute de rien, un diagnostic de cancer est un glas, un cri de guerre qui le conduit involontairement dans les griffes d’une industrie qui prospère non pas grâce aux remèdes, mais grâce à la prolongation de la maladie.


Pourquoi, me demanderez-vous, la communauté médicale insiste-t-elle pour « tester » les tumeurs, pour percer ces défenses naturelles que notre corps a méticuleusement construites ? La réponse est aussi simple que sinistre : l’argent. Une fois la tumeur percée, les cellules qu’elle contient – ​​telle une boîte de Pandore ouverte – se propagent avec une voracité aussi calculée que catastrophique.

Le rôle du sucre dans le sang dans la saga du cancer est tout aussi pernicieux. Des taux élevés de sucre dans le sang créent un environnement optimal pour que les cellules cancéreuses se développent et prolifèrent. Comme le carburant pour le feu, le sucre nourrit ces cellules malignes, leur permettant de prospérer et de se développer. Le lien entre un taux élevé de sucre dans le sang et l’augmentation de l’activité cancéreuse est bien documenté, mais il est criminellement sous-estimé par la médecine conventionnelle.

Il s'agit de maintenir un taux de sucre dans le sang stable et sain qui ne favorise pas le développement du cancer. Cela nécessite d'éviter systématiquement tous les sucres, sachant que cette simple mesure pourrait affamer le cancer.

En réalité, le cancer n’est pas la bête rampante et incontrôlable que nous font croire ceux qui profitent de notre souffrance. C’est un parasite, rien de plus, rien de moins. Et comme tout parasite, il peut être éradiqué grâce aux bons traitements, des traitements naturels, peu coûteux et impitoyablement réprimés par les pouvoirs en place.

Prenons le cas de l’ivermectine et du fenbendazole, deux puissants agents antiparasitaires que l’industrie pharmaceutique préfèrerait que vous ne connaissiez pas. Pourquoi ? Parce que traiter le cancer de manière efficace et peu coûteuse ne remplit pas les caisses de ceux qui s’enrichissent grâce à la chimiothérapie et à la radiothérapie, des traitements qui dévastateurs pour l’organisme, déciment le système immunitaire et condamnent à mort plus souvent qu’à guérir.

Et puis il y a le sucre, le carburant dont les cellules cancéreuses se nourrissent. Arrêtez de nourrir la bête et elle mourra de faim. C'est une équation simple, qui ne nécessite ni prescription ni approbation d'un médecin. Pourtant, cette vérité simple et puissante est enfouie sous une montagne de désinformation et de double langage médical.

Le peroxyde d’hydrogène, une substance aussi humble qu’efficace, est un autre élément de la véritable guérison. Son application délivre une bouffée d’oxygène – l’ennemi le plus redouté du cancer – directement aux cellules atteintes. Pourquoi alors une substance aussi facilement disponible ne fait-elle pas partie du protocole standard de traitement du cancer ? Parce qu’un patient guéri est un client perdu.

Le pouvoir d'un environnement alcalin est un autre secret balayé sous le tapis des traitements conventionnels contre le cancer. L'eau alcaline, surtout lorsqu'elle est agrémentée de citron, transforme votre corps en une forteresse impénétrable aux avancées insidieuses du cancer. Mais bien sûr, la promotion d'un remède aussi facilement accessible ne fait pas avancer le programme d'une industrie fondée sur la maladie, et non sur le bien-être.

Les bains détox, une autre méthode simple mais extrêmement efficace pour purger le corps du cancer et des innombrables toxines dont nous sommes bombardés quotidiennement, sont ridiculisés et considérés comme de la pseudo-science. Mais comment l’élimination systématique des toxines, y compris des nanoparticules inquiétantes qui envahissent notre corps, peut-elle être considérée comme autre chose qu’essentielle ?

Et n'oublions pas la vitamine B17, une substance naturelle présente dans les graines des fruits que nous mangeons. Cachée au grand public, décriée par ceux qui craignent son efficacité, la vitamine B17 est l'incarnation même des remèdes interdits. Disponible uniquement pour ceux qui osent regarder au-delà du discours dominant, elle représente une clé pour se libérer des griffes du cancer.

Le récit tissé par Big Pharma est celui de la peur, de la dépendance et de l’impuissance. Avant que ce mastodonte ne prenne le contrôle, les traitements contre le cancer étaient simples et dépourvus des effets secondaires invalidants que les traitements actuels entraînent si souvent. Le peroxyde, simple et efficace, était autrefois le témoignage d’une époque où les traitements étaient administrés pour guérir, et non pour créer des patients à vie.

Nous nous trouvons à un carrefour où la vérité est à notre portée, mais continuellement occultée par ceux qui la craignent le plus. La lutte contre le cancer ne se limite pas à la maladie elle-même, mais aux institutions mêmes qui prétendent la combattre. On nous dit de faire aveuglément confiance, de suivre des protocoles qui conduisent à davantage de souffrances, d’ignorer les murmures de vérité qui parlent de remèdes simples et naturels.

Alors que la vérité s'infiltre, telle la lumière à travers les fissures d'un mensonge bien établi, elle nous invite à remettre en question le statu quo, à questionner les motivations de ceux qui guident nos décisions en matière de santé. La véritable maladie n'est pas le cancer, c'est la cupidité. Et il est grand temps de trouver un remède.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire