LES MANIPULATEURS DU MARCHÉ MONÉTAIRE :
NOUS VIVONS COMME DES SERFS MÉDIÉVAUX.
JOUER AVEC L’ASSOUPLISSEMENT QUANTITATIF
ET LES TAUX D’INTÉRÊT NÉGATIFS.
Nous vivons comme des serfs médiévaux. Les Banques Centrales ne sont pas soumises à des audits de leurs comptes
Le Système Financier Quantique (SFQ) a des comptes pour chaque être humain sur cette planète
La véritable monnaie est liée à l’or
Le Grand Éveil est proche
Gagner de l’argent tout à s’appauvrissant en réalité
Les cours de la bourse ont atteint des sommets historiques. Mais à y regarder à deux fois, en termes de véritable monnaie, garantie par l’or, de dollars d’avant 1971, les cours n’ont cessé de perdre de leur valeur depuis le début de ce millénaire.
Nous assistons actuellement à l’épisode le plus remarquable de l’histoire financière. Les investisseurs pensent gagner de l’argent alors qu’ils ne font que s’appauvrir.
Le Président Donald J. Trump déclare à la Cabale Internationale de l’Etat Secret réunie à Davos que l’économie des Etats-Unis se porte de façon « spectaculaire », alors que de nombreux pays ne se sont jamais remis de la crise de 2008-2009. Soyez conscient et éveillé pour assister au jeu de démolition financier à venir à l’échelle mondiale.
La Fed a clairement fait le bon choix en choisissant de gonfler le marché repo* à coups d’injection de centaines de milliards d’argent frais toutes les nuits. Autrement, l’économie mondiale, le marché boursier, tout le système financier mondial auraient été précipités dans l’Abîme.
*Un repo, dont les noms juridiques en français sont notamment pension livrée ou pension de titres, est la contraction utilisée aux États-Unis pour l'expression "Sale and Repurchase Agreement", ou accord de rachat ou opération de pension, importants instruments financiers du marché monétaire. Il s'agit en substance de l'habillage, sous la forme juridique de deux transactions en sens inverse et décalées dans le temps (une cession au comptant suivie d'un rachat au terme de l'opération), du refinancement d'actifs financiers égociables (obligations, BTAN, certificats de dépôt, actions, etc.) à un taux d'intérêt négocié entre les deux parties contractantes, le prêteur des titres et le prêteur du numéraire. Wikipédia
Elle poursuivra certainement son activité dans ce sens la semaine prochaine et dans les semaines à venir. Les Feds disposent de 6.000 milliards de $ de prêts à court-terme à «échanger» au cours des six prochains mois. C’est le coût des excédents de dépenses des gouvernements pour les guerres, les subventions gaspillées, les cadeaux, les activités inutiles, et autres gaspillages.
Jouer avec l’assouplissement quantitatif et les taux d’intérêt négatifs
C’était Gideon Gono, qui, en tant que gouverneur de la banque centrale du Zimbabwe, avait commencé à imprimer des milliers de milliards de billets de dollars du Zimbabwe à partir de 2003, et ce faisant, a ruiné l’économie de son pays. Le Président Mugabe du Zimbabwe a proposé un dollar garanti-or. Et il a eu uniquement recours à la planche à billets, dit-il, parce qu’il avait besoin de payer son armée. N’était-ce pas le bon choix ? S’il n’avait pas payé son armée, les soldats auraient perpétré un carnage et se seraient emparés du gouvernement.
Et puis, il y a eu Rudolf von Havenstein qui était le Gouverneur de la Banque Centrale Allemande avant, durant et après la Première Guerre Mondiale. Bien qu’il ait été au service de son pays pendant 15 bonnes années, il a laissé le souvenir de l’architecte de la désastreuse hyperinflation des années 1921 à 1923. Son nom est souvent évoqué de nos jours pour avertir les banquiers centraux qui jouent avec le feu en utilisant l’assouplissement quantitatif et les taux d’intérêt négatifs. Il a également présidé à un des épisodes les plus notoires de l’histoire de l’hyperinflation, en Allemagne au début des années 1920.
L’actuelle crise financière n’a qu’un précédent : le Crash de Wall Street de 1929 et la Grande Dépression des années 1930 qui a suivi, qui a détruit l’avenir de toute une génération et préparé le terrain aux horreurs de la Deuxième Guerre Mondiale. Pourtant, le désastre économique aurait pu être évité, sans les décisions prises par un petit nombre de banquiers centraux. Rudolf von Havenstein n’était-il pas pratiquement dans la même situation que l’actuel chef de la Réserve Fédérale Américaine, Jerome Powell ? Et n’a-t-il pas également fait «ce qu’il fallait faire» ? Von Havenstein se trouvait face à un véritable dilemme. S’il avait refusé d’imprimer la monnaie nécessaire pour financer le déficit, il aurait risqué de voir grimper fortement les taux d’intérêt, alors que le gouvernement s’efforçait d’emprunter à toutes les sources. Le chômage de masse qui s’ensuivrait, pensait-il, provoquerait une crise intérieure économique et politique. Von Havenstein était-il stupide ? Malfaisant ? Pas plus que le reste d’entre nous. Peut-être a-t-il fait le bon choix. Mais les résultats furent désastreux. Parce qu’imprimer de la nouvelle monnaie c’est tromper les gens qui ont gagné, épargné et fait confiance à l’ancienne monnaie. Sachant que c’est de la fausse monnaie, et ce qui arrive quand un pays essaie de payer ses dépenses avec de la fausse monnaie, quelle espèce d’idiot ferait une chose pareille ?
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