Article épinglé

Aujourd'hui, j'attends que l'humanité commence à voir la vraie vérité.

  Christine Rousseau Aujourd'hui à 9:27 Vous vous êtes abonné John Fitzgerald Kahlooni Jr. Aujourd'hui, j'attends que l'huma...

dimanche 11 février 2018

Un mystérieux Russe a-t-il soutiré 100 000 dollars à la CIA en promettant des informations compromettantes sur Trump? L'agence de renseignements américaine dément

Un mystérieux Russe a-t-il soutiré 100 000 dollars à la CIA en promettant des informations compromettantes sur Trump? L'agence de renseignements américaine dément

Un mystérieux Russe a-t-il soutiré 100 000 dollars à la CIA en promettant des informations compromettantes sur Trump? L'agence de renseignements américaine dément

La CIA a catégoriquement démenti samedi les informations du New York Times selon lequel un mystérieux Russe a extorqué 100.000 dollars à l'agence de renseignements américaine en lui faisant notamment miroiter des informations compromettantes sur Donald Trump.


Le président américain s'était saisi, quelques heures avant le démenti, de cette histoire rocambolesque qui caractérise selon lui le parti pris des élites de Washington à son encontre.

"L'histoire fictionnelle selon laquelle la CIA s'est fait soutirer 100.000 dollars est absolument fausse", a affirmé la Central Intelligence Agency dans un courriel à l'AFP. Ce genre de commentaire est hautement inhabituel de la part d'une agence qui cultive le secret, mais qui a ajouté samedi que "les personnes flouées ici sont James Risen et Matt Rosenberg", les auteurs de la publication dans le NYT vendredi.

Cet article met en scène des agents de la CIA tentant durant une bonne partie de l'année dernière de récupérer auprès de leur "contact" russe des programmes d'intrusion informatique volés à la NSA, l'agence de sécurité nationale américaine.

Des liens avec le monde des cyber-criminels 

Le Russe, qui n'est pas identifié mais aurait des liens avec le monde des cyber-criminels et les renseignements russes, avait selon le journal appâté les agents américains en mettant en ligne une offre de ces "outils" via un réseau opaque appelé les "Shadow Brokers" (intermédiaires de l'ombre).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire