vendredi 26 avril 2019

Le Triangle Sacré d’où sortira le Grand Monarque: Israël, France, Québec


Le Triangle Sacré d’où sortira le Grand Monarque: Israël, France, Québec
Avr 25, 2019


LE TRIANGLE SACRE : ISRAEL, FRANCE, QUEBEC



« Il existe, pour faciliter à l’homme la compréhension du monde, une géographie sacrée, mise en place par la Providence. Il suffit de la décrypter, pour comprendre alors le déroulement du plan de Dieu pour l’humanité […]. Il existe donc un triangle sacré, dont les pointes sont Israël, la France et le Québec […].

Ce sont dans ces trois pays que se passeront les événements les plus importants de la fin de ce siècle, qui fait déjà partie de la fin des Temps, fin dans laquelle nous sommes déjà engagés depuis 1917 […].

Le temps des tribulations commencera en 1991…, disait sœur Lucie de Fatima à ses neveux, venus la visiter à Coimbra au Portugal en 1989.

Il est bon de souligner que cette année-là, la guerre du Golfe (janvier 1991) et la guerre de Yougoslavie (juin 1991) eurent lieu.
PREMIERE POINTE DU TRIANGLE SACRÉ : ISRAEL

Ce petit pays de 26.000 km2, peuplé d’environ 6 millions d’habitants, ne cesse de faire parler de lui. Il n’y a pas un jour, en effet, où on ne parle pas d’Israël et de la crise palestinienne dans la presse internationale.

Il y a Israël et il y a les nations. Israël est un peuple à part. Il est dit dans la Bible : « Ce peuple (Israël) qui demeure à part et ne sera pas compté parmi les nations » ( Nb 23,9).

Israël est la « pierre d’angle » rejetée par les nations.

Il y a un mystère Israël, car Israël renaît mystiquement en 1917, par la déclaration de Lord Balfour et renaît juridiquement de ses cendres, tel un Phénix, en 1948, à l’époque du temps de la fin des Nations. Ben Gourion fondera l’État d’Israël le 14 mai 1948.

Il y eut la déportation du peuple juif à Babylone en 598 av. J.-C., qui était le signe du commencement du temps des Nations.

Il y a aujourd’hui le retour du peuple juif à Jérusalem (en 1967, qui est le signe de la fin du temps des Nations.

À ce propos, il est bon de noter que la guerre des Six Jours de 1967, est une guerre eschatologique, qui signe la fin des Temps.

En effet, il est dit dans la Bible : Un jour égale mille ans.

Nous sommes donc arrivés à la fin du sixième millénaire. Nous allons rentrer dans le septième millénaire, qui est le septième jour, le jour de Repos, demandé par la Vierge à La Salette.

Israël est enfin rentré sur sa terre, mais n’a pas encore été rétabli. C’est seulement lors que le Messie, Christ-Roi, reviendra parmi nous […] que le rétablissement d’Israël se fera, mais à quel prix. Israël devra s’agenouiller devant son Messie, qui arrive très bientôt. Il se fera malheureusement casser les deux jambes pour y arriver.

Les tribulations de ce peuple seront terribles.

Les Arabes gagneront la première manche et les lieux saints seront occupés. Mais Israël ne périra jamais, puisqu’il fait partie du plan de Dieu.
SECONDE POINTE DU TRIANGLE SACRÉ : LA FRANCE

La France naquit peu après la chute de Rome (476) grâce au roi Clovis, qui reçut l’héritage d’Israël le jour de son baptême et de son sacre à Reims en 496. Il descendait en effet du roi David par les femmes.

Il fut le premier roi des royaumes chrétiens. Mais il devait renouer avec Rome, ce qui fut fait en 507 à Tours, lorsqu’il reçut d’Athanase, l’empereur d’Orient, les attributs de la souveraineté romaine. Il devint alors un des plus ardents défenseurs de l’Église.

Ce petit pays qu’est la France se trouve être le cœur de l’Empire d’Occident. C’est pourquoi elle est souvent attaquée de l’extérieur par les guerres et de l’intérieur par les révolutions.

La Providence lui a donné la forme d’un hexagone, dans lequel s’inscrit parfaitement l’étoile de David, signe prédestiné parmi les nations. Elle a reçu, sur le plan invisible et mystique, l’héritage d’Israël à travers le sacre de ses rois.

La France est appelée la fille aînée de l’Église, car elle est la première nation des temps historiques, qui soutiendra Rome et le pape, son chef spirituel, pendant 13 siècles.

Son histoire est surnaturelle et providentielle, elle qui sera sauvée plusieurs fois par des femmes, comme Sainte Geneviève, Sainte Jeanne d’Arc, au cours de son histoire mouvementée.

La France a eu 69 rois, il en manque un, pour parfaire le nombre sacré 70, celui des 70 justes d’Israël, des 70 nations de la Terre. Le 70 ième et dernier roi de France sera le Grand Monarque.

Je rappelle que l’effigie du profil de Louis XVI en buste est imprimée avec le sang du Christ sur le suaire de Turin, à l’emplacement du coup de lance qui perfora son cœur. Il aura fallu attendre près de 2000 ans (1981) pour recevoir ce signe, qui est le témoignage de l’amour de Dieu pour notre Roi-Martyr, lieutenant du Christ et évêque hors les murs, qui versa son sang lui aussi pour son peuple. Ce signe prodigieux nous confirme la filiation davidique de nos rois de France.
LE MYSTÈRE DES FLEURS DE LYS



La description des Armes de France, se lit comme suit :

« D’azur, aux trois fleurs de lys d’or, dont deux en chef et une en pointe.»

L’origine de la fleur de lys reste mystérieuse pour la plu­part des historiens. Ils manquent d’imagination et ils oublient qu’elle figure sur des monnaies juives d’il y a plus de 2000 ans.



En fait, elle est d’inspiration davidique et représente l’aspect caché du sceau du roi David.

En effet, le lys est une fleur à six pétales, s’inscrivant parfaitement dans cette étoile. Dans les armoiries de France, le lys est représenté en coupe, qui est aussi le symbole du cœur.

C’est donc une représentation cryptée de l’étoile du roi David, […], que nous trouvons sur les Armes de France, indiquant dans le langage muet de l’héraldique le lien mystique ininterrompu entre David, second roi d’Israël et nos rois de France, qui sont ses héritiers.

Lire aussi : L’origine juive de la fleur de Lys

La France est donc bien la fille spirituelle d’Israël.

C’est à la France de relever l’héritage, mais elle ne le pourra pas seule. Le Québec devra lui venir en aide.
TROISIÈME POINTE DU TRIANGLE SACRÉ : LE QUÉBEC

Le 20 avril 1534, Jacques Cartier partira de Saint-Malo, pour aller découvrir de nouvelles terres à l’Ouest au nom du roi François 1er.

Le 24 juillet 1534, le Malouin fera ériger sur la pointe de Penouille, à Gaspé, une croix de bois de près de neuf mètres de haut, marquant par un acte solennel la prise de possession du continent nord-américain.

« Le XXIII (ième) jour dudict moys, nous fïsmes faire vne crois, de trente piedz de hault, qui fut faicte devant plusieurs d’eulx, sur la poincte de l’entrée dudit hable, sous le croysillon de laquelle mismes vng escusson en bosse, à troys fleurs de lys, et dessus, vng escripteau en boys, engravé en grosse lettre de forme, où il y avait, VIVE LE ROY DE FRANCE. Et icelle croix plantasmes sur ladicte poincte devant eulx, lesquelz la faire et planter. Et après qu’elle fut eslevé en l’air, nous mismes tous à genoulx, les mains jointes, en adorant icelle devant eulx, et leur fismes signe, regardant et leur monstrant le ciel, que par icelle estoit nostre redemption, dequoy ils firent plusieurs admyradtions, en tournant et regardant icelle croix ».

Le Québec sera tout de suite et à jamais sous la protection de la Vierge. Une des toutes premières villes du Canada français s’appellera Ville-Marie, avant de s’appeler Montréal (Mont-Royal, c’est-à-dire le mont du Roi).

Les prophéties parlent «d’un jeune prince, quittant une île à l’étranger». C’est donc de l’île de Montréal que pourrait sortir le Grand Monarque, puisque c’est l’île du roi.

Il est tout à fait significatif que les cendres de la statue miraculeuse de Notre-Dame-de-Liesse, brûlée à la Révolution, se trouvent au Québec depuis 1877 (église du Gesù, 1202 rue de Bleury, Montréal).

Le pèlerinage de Notre-Dame-de-Liesse est un des plus anciens de France. Louis VII, Charles VII, Jeanne d’Arc (qui était une demi-sœur du roi Charles VII), Louis XI, François 1″ et bien d’autres illustres personnages y viendront se recueillir.

Ce signe est « un signe parmi les signes » que le Québec est la fille spirituelle de la France royale et éternelle. En droit royal, le roi ne meurt jamais. Aujourd’hui, nous savons qu’il dort quelque part.
LE MYSTÈRE DES DRAPEAUX D’ISRAËL ET DU QUÉBEC



Mais il y a un autre signe, encore plus grandiose, c’est celui du drapeau du Québec et de son cousin éloigné, le drapeau d’Israël.

Les couleurs mariales sont le bleu et le blanc, couleurs que nous retrouvons dans les drapeaux du Québec et d’Israël.

Ce sont les drapeaux de la Vierge Marie. Je rappelle que cette dernière descend du roi David par la fille d’Éléazar qui épousa Lévi.

Etudions la description héraldique du drapeau du Québec qui est la suivante :

« D’azur, à la croix d’argent, franc-cantonnée de quatre fleurs de lys d’argent.», c’est-à-dire : fond bleu portant une large croix blanche, ayant aux quatre coins de la croix, quatre fleurs de lys blanches.

Puis, il est intéressant de lire la description héraldique du drapeau d’Israël qui est la suivante :

« D’argent, aux deux faces d’azur, portant en abîme une étoile de David d’azur.», c’est-à-dire : fond blanc portant deux larges bandes bleues, une en haut et une en bas, ayant en son milieu une étoile de David bleue.

On voit alors que les couleurs des deux drapeaux sont identiques, mais inversées et que les meubles sont similaires (bandes, fleurs de lys = étoile de David).

Voilà encore un lien supplémentaire – le lien des drapeaux – invisible aux yeux des hommes, mais liant Israël, la France et le Québec par un pacte de fidélité aux desseins du Créateur.

On retrouve bien dans les trois drapeaux, la fleur de lys (sous la forme de l’étoile de David dans le drapeau israélien), les couleurs bleue et blanche (couleur or, dans les armes du roi de France).

Au début de la colonisation de la Nouvelle-France, on utilisa le drapeau bleu à croix blanche. Ensuite, on verra le régiment de Carignan à la bataille de Carillon en 1758, précédé d’un pavillon bleu à croix blanche, timbré de quatre fleurs de lys blanches, mais posées obliques en canton.

Ce drapeau de Carillon sera hissé pour la première fois en 1902 sur le presbytère de Saint-Jude, près de Saint-Hyacinthe.

Le drapeau dans sa forme actuelle (les fleurs de lys en canton sont droites et non plus obliques) sera hissé sur le Parlement de Québec sur ordre du Premier ministre du Québec, Maurice Duplessis, le 21 janvier 1948.

Cette date doit attirer notre attention pour plusieurs raisons.

La première, c’est que le 21 janvier 1793, à 10h20 tombait la tête de Louis XVI sur la place de la Concorde. C’est donc le jour anniversaire de la mort du roi, que le drapeau du Québec, drapeau royal par excellence, monte dans le ciel de la ville de Québec.
La deuxième, c’est que l’année 1948 est une année capitale. C’est celle de la fondation de l’État d’Israël, qui eut lieu le 14 mai 1948. Ce lien Québec-Israël est permanent à travers les symboles (les drapeaux) et le temps (1948).

L’année 1948 est, pour moi, la date de la fondation mystique du Québec. Ensuite, viendra sa fondation juridique dans quelques années d’ici, lorsque le Québec aura acquis son indépendance, ce qui ne saurait trop tarder.

Israël, sur le plan mystique, est donc la mère de la France, qui est sa fille aînée.

La France, fille aînée de l’Église, à son tour, met au monde le Québec et en devient ainsi la mère. Paradoxalement, ce sera le Québec, – petite fille d’Israël et fille de la France -, mis de côté pour les temps de la Fin, qui se portera au secours de sa grand-mère ISRAËL et de sa mère LA FRANCE grâce à la mission salvatrice du Grand Monarque, qui partira, lui, de Nouvelle-France (donc, du Québec).
QUÉBEC : « LA PORTE ÉTROITE »

Nostradamus nous confirme la mission prédestinée du Québec dans un présage, VIII, de juin 1555:

Loin près de l’Urne le malin tourne arriéré,
Qu’au Grand Mars feu donra empeschement :
Vers l’Aquilon au midy la grand fiersl,
Flora tiendra la porte en pensement.

Commentaire :

Loin (du jour où j’écris), lorsque l’on approchera de l’ère du Verseau ( près de l’Urne), le mal reculera, car une grande guerre (Mars, Dieu de la Guerre) empêchera par le feu (les méchants d’avancer).

Une grande fièvre s’emparera (des peuples) du nord de l’Europe (Aquilon, vent du nord) jusqu’à ceux de la mer Méditerranée (midy). Ceux, qui ont pour emblème la fleur de lys (Flora), c’est-à-dire les Québécois, tiendront leur porte ouverte (Kebek, en langue huronne, veut dire porte étroite), afin de panser les blessés et soutenir leur Mère, la France.

Si le Québec attend l’heure de son destin, Israël, lui, attend son rétablissement, c’est-à-dire la reconnaissance du Messie par son peuple. Une des douze tribus d’Israël dispersées, la tribu perdue d’Éphraïm, composée, entre autres, de la France, du Québec, l’aidera dans ce moment difficile.

Tous ces plans divins sont éminents dans leur réalisation. Heureusement, qu’au dessus des hommes, il y a le Créateur et ses plans magnifiques. C’est une grande espérance que de savoir que la Paix arrive pour tous les peuples de la terre très bientôt.

Je rappelle, enfin, que la devise du blason de la ville de Québec « DON DE DIEU FERAY VALOIR », dont la nef ressemble étrangement à celle du blason de la ville de Paris, nous indique que le Québec mettra en valeur (feray valoir) un don de Dieu, c’est-à-dire qu’elle produira un Dieudonné, qui n’est rien d’autre que le futur Grand Monarque, annoncé plusieurs fois dans les textes prophétiques sous ce vocable de «Dieudonné», pour nous souligner que c’est Dieu seul qui nous le donnera et non les hommes (politiques).

Note de Miléna : Il est incroyable de voir que le forces sombres ont mis en place un « Dieudonné », grand ennemi des juifs et d’Israël… L’anti-Grand Monarque et sa quenelle de veau…!



SOURCE : http://jeanderoquefort.free.fr/israel_france_quebec.html

De l’ouvrage « Le Grand Monarque, selon les prophéties » :

– extrait des pages 115 à 123 :

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