Un journaliste mexicain expose le contrat de Joe Biden sur la traite des êtres humains
23 oct. 2020
Après le débat présidentiel d'hier soir, un journaliste mexicain a immédiatement déposé une vidéo en direct, pour répondre aux mensonges meurtriers de Joe Biden.
Oscar "El Blue" Ramirez est un journaliste d'investigation mexicain, basé à Tijuana. Il donne un excellent aperçu du pacte des Nations unies que Joe Biden et Barack Obama ont signé. Ce pacte a conduit à un afflux massif de trafic d'enfants et à la mise en cage de plus de 20 000 enfants sous l'administration Obama.
El Blue donne un témoignage de première main sur le réseau Coyote du crime organisé dans le domaine du trafic d'enfants. Il décrit l'industrie massive du marché noir qu'Obama/Biden ont créée en signant le Pacte mondial des Nations unies pour l'ouverture des frontières.
Les fausses familles qui ont résulté de ce pacte sont le résultat d'un texte mal conçu avec des failles assez larges pour y construire des camps de concentration.
Selon El Blue, 72 000 enfants victimes de trafic ont été sauvés sous l'administration de Donald Trump grâce aux efforts déployés pour déterminer si l'enfant était bien un descendant biologique du soi-disant "parent" qui avait payé des coyotes pour l'utilisation de l'enfant.
El Blue affirme également qu'Antifa est impliqué dans le cartel des trafiquants.
L'arrêt effectif de la traite mondiale des êtres humains par Trump a écrasé la "vache à lait" de la traite internationale.
Les coyotes perdent des enfants esclaves lorsque les tests ADN vérifient l'origine réelle de l'enfant. Des enfants issus des profondeurs de l'Amérique du Sud sont ainsi miraculeusement rendus à leurs parents.
Les coyotes ont utilisé ces mêmes enfants à maintes reprises, comme une ancre pour garder un étranger en situation irrégulière aux États-Unis assez longtemps pour qu'il disparaisse à l'intérieur du pays. L'enfant est alors récupéré par les coyotes et renvoyé dans les régions frontalières du Mexique, pour être recyclé dans une autre fausse famille et envoyé à nouveau, par la frontière entre les États-Unis et le Mexique.
Les viols et les tortures sont monnaie courante car l'enfant est une propriété achetée... enfin, plutôt une propriété louée. Et ces enfants vivent dans une peur perpétuelle à cause de la présence mondiale des cartels de trafiquants d'êtres humains sur le marché noir, même aux États-Unis.
