ALFRED KINSEY, LE SCIENTIFIQUE DES VIOLS D'ENFANTS
dimanche, 06 mai 2018 11:45
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Note du Bonnet :Voilà sur quoi se base le guide québécois « Apprentissage en éducation à la sexualité ». C’est une partie des recherches du pédophile Alfred Kinsey qui servent de support à ce guide.On comprend mieux pourquoi le guide préconise l’anus comme organe sexuel chez les enfants de 7-8 ans. Rappelons également que Kinsey était un adepte de Crowley dit "La Bête" et ami du luciférien Kenneth Anger. (photo de gauche : Kinsey et Anger dans l'Abbaye Thelema, lieu de culte pour les adaptes de Crowley en Italie)
Le point sur Alfred Kinsey, qu'on appelle toujours le "père de la révolution sexuelle", ou le "pionnier de la recherche sur la sexualité", un pseudo scientifique aux méthodes barbares qui pourtant passe pour une référence en matière de sexualité. Si aujourd'hui, la théorie pédophile qui veut que les enfants recherchent des rapports sexuels avec les adultes n'est pas encore enterrée, c'est aussi parce que beaucoup de recherches se basent encore sur les délires de Kinsey.
Zoologue spécialiste de l’étude des insectes, Alfred Kinsey s’est targué d’étudier les penchants sexuels humains, nous dit-on. Il a donc publié les « rapports Kinsey », qui hélas servent toujours de référence, notamment aux pédophiles, mais aussi aux adeptes de la « théorie du genre », qui sont aujourd’hui en train d’imposer des cours sur la sexualité de plus en plus tôt chez les enfants. Au nom de quoi? Eh bien de la modernité.
En 1947, il ouvre à l’université de l’Indiana l’Institute for Research in Sex, rebaptisé ensuite l’Institut Kinsey pour la recherche sur le sexe, le genre et la reproduction. L’année suivante, il publie sa première étude, Sexual Behaviour in the Human Male, très largement financé par la fondation Rockefeller. En 1954, vient son étude sur la sexualité des femmes.
Le problème avec Kinsey, c’est que ses sujets d’étude étaient principalement des délinquants sexuels et des prostituées, et qui se sont fait avoir puisqu’il s’agit de prisonniers, et que Kinsey a oublié de le dire en faisant passer ses sujets d’étude pour représentatifs de la société dans sa globalité. Du coup, le vice de ces pervers est passé, et passe toujours, pour la « norme ». D’ailleurs, un film à gros budget de 2004 a fait l’apologie de ses théories, avec Liam Neeson dans le rôle de Kinsey[1].
Comment en est-on arrivé là ?
Pour Alfred Kinsey, « le seul acte sexuel non naturel est celui qu’on ne peut faire ».
Kinsey a été l’un des premiers à banaliser l’homosexualité, mais aussi l’acte « pédophile ». Logiquement, il a été repris par divers lobbies gays. Il avait aussi des pratiques de sexe en groupe, de sado masochisme, et encourageait ses collaborateurs à faire de même. Cela donnait lieu à des séances de partouzes filmées auxquelles lesdits collaborateurs étaient pour ainsi dire obligés de participer.
Mais, Kinsey a surtout planché sur ce qu’il appelait la « sexualité infantile ». Avec des tests grandeur nature.
L’échantillonnage
Dès 1954, l’American Statistical Association a critiqué l’échantillonnage de Kinsey. Un groupe de trois chercheurs a déclaré : « Une sélection aléatoire de trois personnes aurait probablement été plus représentative qu'un groupe de 300 choisi par M. Kinsey ». Plus de 25% de ses témoignages provenaient de prostituées et d’agresseurs sexuels condamnés.
En dehors de cela, Kinsey poussait ses collaborateurs ou même sa femme à des pratiques sexuelles de groupes et à tous les excès en la matière. Evidemment, tout était filmé, et le fonds d'archives de l'Institut Kinsey est digne de celle d'un musée du porno. Beaucoup de ses anciens proches ont expliqué que les moeurs au sein de l'équipe étaient des plus débridées. Tout ce petit monde faisait également partie des échantillons de Kinsey, et leurs partouzes entraient dans ses recherches.
Et tout cela n'empêchait pas Kinsey de se présenter comme un brave père de famille conservateur, à la vie des plus banales.
Dans « Sexual sabotage », le professeur Judith Reisman dénonce les conséquences de ces études biaisées dès le départ, et la manière dont l’industrie médiatique a propagé ces « valeurs ».
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