vendredi 26 octobre 2018

Donald Trump s’apprête à prendre le contrôle de la Réserve Fédérale des mains des Rothschild


Donald Trump s’apprête à prendre le contrôle de la Réserve Fédérale des mains des Rothschild





Le président Donald Trump a pris des mesures pour prendre le contrôle total de la Réserve fédérale appartenant à Rothschild afin d’éliminer la réglementation paralysante qui retient le pays depuis tant d’années.


La Réserve Fédérale a été le boulet du peuple américain, créant une dette et une réglementation stricte sur la nation.


Trump affirme que la hausse des taux d’intérêt de la Réserve fédérale et le ralentissement de la croissance de la masse monétaire entravent la croissance de l’économie américaine.





Selon CNBC : Après que ces deux sont placés au conseil d’administration de la Fed, le président en nommera deux autres pour les suivre.



PUBLICITÉ





Essentiellement, il est possible que six des sept membres du conseil d’administration soient mis en place par Trump.


Le Comité fédéral de libre-échange compte 12 membres et définit la politique monétaire du pays.


Sept d’entre eux sont membres du Conseil des gouverneurs. Cinq autres sont des présidents de banques de district de la Réserve fédérale.


Outre le chef de la banque fédérale de New York, qui a été nommé par le président, les quatre autres ne peuvent occuper leur poste de président de banque de district que si le conseil d’administration de Washington accepte leur embauche.


L’un d’entre eux, le président de la Fed Bank à Minneapolis, Neel Kashkari, plaide déjà pour qu’il n’y ait pas d’autres hausses de taux.


Suite à l’adoption de la loi Dodd Frank en juillet 2010, la Fed s’est vu conférer d’énormes pouvoirs pour réglementer le secteur bancaire.


Il s’est empressé de mettre en œuvre un certain nombre de nouvelles règles. La Fed a mis en place un système qui pénaliserait les banques qui ne respectent pas ses nouvelles règles.


Ces règles comprennent la fixation de limites quant à la taille d’une banque individuelle ; combien d’argent les banques devaient investir dans les fonds fédéraux et les Trésors en pourcentage de leurs actifs ; quels prêts étaient souhaitables et lesquels ne l’étaient pas ; où les banques devaient obtenir leur financement et bien plus y compris combien les banques pourraient verser à leurs investisseurs sous forme de dividendes.





Ces règles ont considérablement ralenti les investissements des banques dans l’économie (la règle Volcker) et elles ont eu un effet paralysant sur les prêts bancaires sur les marchés du logement (d’autres agences ont eu un impact ici aussi).


Ainsi, de tous les organismes gouvernementaux, la Fed a peut-être été la plus restrictive. Le président a déjà pris des mesures pour corriger ces excès en mettant en place un nouveau gouverneur de la Fed (Randal Quarles) pour réglementer le secteur bancaire.


Troisièmement, tuer la croissance économique.


Au deuxième trimestre de 2018, la croissance de la masse monétaire non désaisonnalisée (pour le 2ème trimestre) a été nulle.


C’est vrai, la masse monétaire n’a pas augmenté du tout.


C’est parce que la Fed réduit son budget de 50 milliards de dollars par mois. En outre, la Fed a relevé les taux d’intérêt sept fois depuis le quatrième trimestre 2015. On suppose qu’il y aura cinq autres hausses de taux à venir.


Il s’agit de la politique monétaire la plus restrictive depuis que Paul Volcker a dirigé l’institution au milieu des années 1980. On se souviendra que ses politiques ont conduit à des récessions successives. La politique monétaire actuelle de la Fed est directement en conflit avec les objectifs économiques du président.


De plus, le Trésor estime que 415 milliards de dollars d’intérêts sur la dette fédérale seront versés au cours du présent exercice.


Une meilleure estimation pourrait être de 450 milliards de dollars si les taux continuent d’augmenter. Il y a beaucoup de ponts, de tunnels et d’emplois qui pourraient être créés avec cet argent.


Ensuite, il y a l’inflation. Elle est susceptible de grimper si la Fed assouplit ses politiques.


Si cela se produit, le remboursement de la dette fédérale sera plus facile.


Sur une note moins souhaitable, les taux d’intérêt plus élevés font baisser la valeur des biens immobiliers. Des taux plus bas qui stimulent l’inflation augmentent la valeur des biens immobiliers.


Résultat : Le président peut prendre et prendra le contrôle de la Fed.


Il peut être rappelé que lorsque la loi a été rédigée créant la Réserve fédérale, le secrétaire du Trésor a été désigné comme le chef de la Réserve fédérale. Nous allons revenir à cette époque. Que cela vous plaise ou non, la Fed est sur le point d’être politisée.


Source: Neon Nettle, le 26 juillet 2018 – Traduction Nouvelordremondial.cc