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jeudi 16 janvier 2020

Un texte Coup de Poing qui frappe au coeur et saigne à blanc, du Monde Diplomatique.

 De Clarine Faure............... .. ..... Un texte Coup de Poing qui frappe au coeur et saigne à blanc, du Monde Diplomatique.
(qui semble se réveiller d'un long coma - quand je pense à la qualité de ses dossiers de futurologie du tournant des années 90, qui avaient anticipé TOUT ce qui se déroule aujourd'hui !).
Le journaliste démontre avec habilité comment la permissivité va de pair avec la tyrannie, les extrêmes se rejoignant et se renforçant dans un cercle vicieux :
Les Flics éjaculant de violence à la tronche des Gilets Jaunes (ou pas) ont tous les droits ;
les blancs-becs incultes, vagissants et pourrissants du Gouvernement ont tous les droits ;
la Haute finance apatride, les Banksters adeptes de la criminalité en col blanc et les Multinationales boursicotant le Cours de la Vie ont tous les droits :
les Illuminés islamistes rêvant d'égorger l'Européen de souche et de violer, oups, voiler sa femme, ont tous les droits ;

les Enragés nihilistes et assistés de banlieue et d'ailleurs, désireux de combler le vide sidéral de leur existence en le répandant charitablement autour d'eux à coups de barres à mine, ont tous les droits ;
Les LGBTQ ZZZ qui veulent frénétiquement soumettre la majorité à leurs excentricités minoritaires, pour ne pas dire microcospiques, ont tous les droits ;
par contre, le citoyen de base, la personne ordinaire (mon Dieu, comme c'est vulgaire et affligeant !)
a le seul droit de fermer sa gueule et serrer les fesses, et tous les devoirs et tous les torts réunis.
Je récapitule : les dérives ont tous les droits, la normalité (qui signifie : être dans la norme) est discriminée et ghettoïsée.
Cela risque de finir par réveiller et énerver, à défaut d'éveiller complètement ...
(ce pourquoi l'installation de la 5G dont le 1% est obsédé est aussi pressante et oppressante)"
/ (...)
Pendant ce temps, Macron continue son soliloque halluciné :
« La haine, la violence et l’irrespect, on a le droit de le faire dans une dictature »,
phrase tout à fait étonnante en soi, qu’il faudrait soumettre simultanément à des linguistes et des politologues,
dont il ne voit pas en tout cas que, projectivement, elle ne parle que de lui, de son gouvernement, de sa police et du régime dans lequel il est en train de nous faire entrer.
Avec la démolition pure et simple du langage, le renversement projectif est l’une des propriétés les plus inconscientes et les plus systématiques de la langue macronienne.
Dont la vérité d’à peu près tous les énoncés peut être restaurée par la simple opération de la mise sens dessus dessous.
Ainsi l’obsession pour les « radicalisés » et la « radicalisation » est-elle le reflet inversé d’un bloc de pouvoir qui, depuis ses sommets gouvernementaux jusqu’à ses trolls, a franchi tous les caps de la radicalisation
- dont la rage à imposer au corps social qui n’en veut pas une réforme entièrement taillée d’après les intérêts de la finance n’est jamais que la dernière illustration.
De même la fixation sur le terrorisme externe est-elle devenue l’opportunité d’un terrorisme interne - d’État.
Un ancien de la préfectorale, ayant eu à connaître des opérations de maintien de l’ordre, était dans la rue le 9 janvier ;
interrogé par Arrêt sur Images, c’est lui qui, entre autres sauvageries, a filmé le tir de LBD à bout portant.
On n’a pas exactement affaire à un ennemi des institutions.
Qui n’en raconte pas moins que, traumatisé par ce qu’il a vu, il a dû s’asseoir, en pleurs, sur le trottoir.
Puis livre le fin mot de l’affaire : « Le but était de terroriser ».
Terrorisme extérieur, terrorisme intérieur…
C’est qu’à un moment, il faut bien prendre les mots au sérieux, et les décoller de leurs usages habituels où les pouvoirs aiment les enfermer.
« Sont interdits les actes ou les menaces de violence dont le but principal est de répandre la terreur parmi les populations civiles »,
indiquent, à propos du terrorisme, les protocoles additionnels de la Convention de Genève.
On cherche ce qui, dans l’entreprise systématique, menée à grande échelle par la police et le gouvernement, dans cette entreprise d’intimidation, d’effroi et de découragement de l’exercice normal des droits politiques fondamentaux par la menace physique, ne tombe pas sous cette définition.
Et pour tout dire, on ne trouve pas.
Qui sont les radicalisés ? Qui sont les criminels ? Qui sont ceux qui terrorisent ?
Et qui est légitime ? "
/
Elsa Prohom
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Mon Dieu quel texte !
C'est d'une plume réaliste…
Renseignez-vous de la « double-contrainte » qui rend fou.
Tout est d'or et déjà à double-tranchant, et c'est à chaque seconde de nos vies, que nous devons rester fixés sur l'Amour et La Lumière qui arrivent en notre cœur qui s'ouvre comme une fleur au matin du grand Réveil !
Ouverture de conscience il y a !
On prend du recul… 🙂
Clarine

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